Cyrillo

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Chez le m�decin avec mon fr�re.

Depuis plusieurs jours, Martin, mon jeune fr�re de 18 ans, se plaint d'une douleur l�g�re mais persistante au niveau de l'aine. Comme il fait pas mal de sport, il a d'abord cru � un faux mouvement et qu'apr�s quelques jours de repos, tout rentrerait dans l'ordre. Mais cela dure depuis trois semaines et il a d�cid� de consulter un m�decin. En rentrant chez moi, il m'apprend qu'il a obtenu un rendez-vous dans une demi-heure et me demande de l'accompagner.
- Je ne connais pas ce toubib et vu o� la douleur se situe, je pr�f�re que tu m'accompagnes.
- Ne me dis pas que tu es timide?
- Mais non ! Simplement, �a me rassurait.
- Mais �a ne te g�nera pas d'y aller avec ton grand fr�re de 35 ans?
- Mais non, voyons ! R�pond-il en riant.

C'est vrai que je le connais bien et je sais combien il appr�cie de voir des hommes se retourner sur lui. Il faut dire que avec ses fesses rebondies, il a de quoi faire saliver plus d'un homme gay normalement constitu�. Je sais qu'il est homo et je l'accepte comme il est. Je me consid�re h�t�ro m�me si il m'arrive parfois d'avoir des �rections quand je rencontre certains mecs qui me plaisent. �a n'a jamais �t� plus loin que le fantasme m�me si je suis tr�s friand de sexe.

Nous sommes seuls dans la salle d'attente, ce qui ne m'�tonne pas vu l'heure assez tardive. Nous patientons quelques minutes avant de voir la porte s'ouvrir. Le toubib, qui me semble avoir � peu pr�s le m�me �ge que moi, nous invite � le suivre. Apr�s quelques questions concernant l'origine du mal, il dit � mon jeune fr�re de s'allonger sur la table de soins.
- Je vais vous demander d'�ter votre pantalon.

Il se retrouve donc en slip et le m�decin lui demande d'�carter les jambes afin, dit-il, de voir o� se situe pr�cis�ment la douleur. Il pose les mains sur les aines et palpe doucement, demandant � Martin de lui indiquer quand il a mal. Je remarque que les joues du docteur s'empourprent en regardant mon jeune fr�re ainsi expos� et qu'une bosse significative d�forme son pantalon. Martin, les yeux mi-clos, se livre � cet examen avec, semble t-il, un certain plaisir si j'en juge par quelques soupirs qu'il ne peut r�primer
- Je suis oblig� de vous demander de baisser votre slip, s'il vous pla�t.

Ces gestes ne me laisse pas indiff�rent non plus car je sens un d�but d'�rection dans mon pantalon. Martin soul�ve le bassin et fait glisser le sous-v�tement, d�voilant sa queue d�j� bien dur. Pour le coup, le visage du docteur devient cramoisi et il a du mal � d�glutir. Tr�s professionnel, il continue son examen et localise le point o� la douleur est la plus vive.
- Voil�, ce n'est pas bien grave. Quelques massages avec une pommade et tout rentrera dans l'ordre. Mais faites attention de ne pas forcer � nouveau !
- M�me dans certaines situations ?
- Pardon ?
- Comment vous dire. En faisant l'amour. Vous me d�conseillez certaines positions ?

Le docteur ne sait quoi r�pondre. Il me jette un regard et, devant mon sourire, semble totalement d�sarm�.
- Euh. � vrai dire, je vous d�conseille les positions o� vous devez trop �carter les jambes.
- Excusez-moi, je ne voulais pas vous mettre mal � l'aise.
- Ce n'est pas �a mais...Si vous me le permettez, vous �tes une tr�s beau jeune homme et la situation ne m'est gu�re famili�re.
- Merci du compliment. Je vous le retourne d'ailleurs. Vous �tes �galement tr�s mignon.

Troubl�, il invite Martin � se rhabiller.
- Vous �tes s�r que je dois remettre mes v�tements ?
- Oui. Et... Euh. �a vaut mieux. Ne peut-il s'emp�cher d'ajouter � mi-voix.

Il s'installe � son bureau et r�dige l'ordonnance. Martin lui demande combien de jours cela risque encore de durer et il nous dit de revenir en d�but de semaine prochaine si son �tat ne s'est pas am�lior�. A peine chez nous, il me confie alors l'excitation ressentie pendant qu'il se faisait examiner. Je n'osais pas trop lui dire combien moi aussi �a m'avait exciter de le voir se faire ausculter de la sorte. Je profite de l'occasion et lui demande :
- Si tu avais �t� seul, tu serais all� plus loin ?
- Peut-�tre, j'ai failli craquer, justement parce que tu �tais l�.
- Pourquoi ne l'as-tu pas fait ?
- Sans doute par peur que cela te r�pugne.
- Ben voyons, comme �a, s' il avait pouss� ses caresses plus loin...
- L�, je crois que je me serais laiss� aller.
- Quel dommage pour toi
- Tu aurais aim� que je me donne � lui ?
- Tu sais, du sexe, m�me entre deux hommes, c'est toujours excitant � regarder.
- Et �a se dit h�t�ro, je ne te croyais pas aussi pervers, me r�pond-il en souriant.

Les jours passent et, gr�ce � la pommade, soigneusement appliqu�e par ses soins chaque jour, la douleur de Martin s'estompe et le lundi soir, elle a totalement disparu.
- Voil� ! Tu es gu�ri fr�rot ?
- Oui. C'est presque dommage.
- Comment cela ?
- Et bien. Je n'aurais pas �t� contre une nouvelle visite chez ce cher docteur.
- Tu as vraiment envie d'y retourner ?
- Peut-�tre.
- Je suis certain que tu dois te caress� en pensant � lui, non?

Son silence vaut toutes les r�ponses. N�anmoins, je veux l'entendre me le dire.
- Je me trompe ?
- Non. Tu as raison.
- Si �a peut te mettre � l'aise, je vais t'avouer que le soir du rendez-vous, je me suis branl� sous la douche en repensant au m�decin et toi.
- Tu es s�rieux?
- Bien sur, tu ne pensais pas �a de ton grand fr�re n'est-ce pas?
- Tant mieux si �a t'a plu

Tout en prenant un air espi�gle, je lui dis :
- Remarque, qu'est ce qui nous emp�che de nous assurer que tu n'as plus rien du tout, il n'est pas oblig� de savoir que la douleur a compl�tement disparu.
- Tu parles s�rieusement ?
- Parfaitement ! Mais cette fois, tu n'h�sites pas.
- Tu veux qu'il. Que je. ?
- Que tu fais ce qu'il faut pour que �a aille plus loin tous les deux.
- Mais s'il refuse ?
- Je suis certain qu'il ne te r�sistera pas. Tu n'en as pas envie ?
- Si ! Enfin, il me pla�t bien mais � une condition, que tu viennse de nouveau avec moi.
- Pas de probl�me, si �a peut te faire plaisir

Le lendemain matin, il t�l�phone pour prendre rendez-vous. C'est le m�decin lui-m�me qui lui r�pond. Il le fait patienter quelques secondes puis lui dit qu'il ne pourra le recevoir qu'en toute fin de journ�e. Martin m'appelle pour m'en informer. La journ�e me semble bien longue. J'ai h�te de me rendre � ce nouveau rendez-vous. Je ne peux toutefois m'emp�cher d'appr�hender ce moment. Martin osera t-il aller jusqu'au bout cette fois ? Certes, il se doute bien maintenant de mon fantasmes mais ignore que j'ai depuis longtemps envie d'une exp�rience de ce genre.

Bien s�r, je trouve mon jeune fr�re tr�s attirant depuis longtemps mais entre r�ve et r�alit�, il y a une grande diff�rence. Et lui ? Il pourrait tr�s bien ne pas vouloir, par crainte de causer un malaise entre nous par la suite ou peut-�tre m�me par manque d'envie. Enfin, me voici sur le chemin du retour. Les d�s sont lanc�s et je n'ai plus qu'� esp�rer que tout ce passera comme je l'ai imagin�. Chez nous, je d�couvre Martin tr�s impatient lui aussi. Il a rev�tu une chemise blanche entrouverte qui laisse para�tre son torse imberbe et un jeans assez serr� qui met bien en �vidence ses fesses rebondies et la forme de son entrejambe. Je lui demande si il a �galement omis de mettre un slip mais il me r�pondit que cela fait partie des surprises � venir.

Il est 19 heures quand nous entrons dans la salle d'attente. Comme la fois pr�c�dente, nous sommes seuls. Par contre, � peine avons-nous p�n�tr� dans la pi�ce que la porte s'ouvre et qu'il nous prie de le suivre. Dans son cabinet, Martin se d�barrasse de son manteau et d�voile sa tenue au m�decin dont les yeux s'agrandissent en le d�couvrant ainsi v�tue. C'est avec un peu de mal qu'il lui demande comment a �volu�e la douleur. Mon jeune fr�re, tr�s souriant, lui dit que cela va mieux mais qu'un l�ger point de contraction semble persister. Le m�decin le prie de s'allonger sur la table.
- Comme la fois derni�re ?
- Oui?

Il s'allonge et fait descendre son jeans sur ses mollets, d�voilant son sexe.
- J'ai pens� qu'il ne servait � rien de mettre un slip puisque j'allais l'enlever.
- Euh. Bien s�r.

Le pauvre a un mal fou � rester concentr�. En d�couvrant qu'il s'est �pil� int�gralement, je me sens moi aussi dans un �tat de grande excitation. Le m�decin commence � l'examiner, le palpant comme la semaine derni�re. Rapidement, Martin lui dit que la douleur semble s'�tre d�plac�e "plus par l�", indiquant ainsi son anus et il l'encourage en �cartant un peu plus les jambes. La main, encore toute professionnelle, palpe les couilles et descend lentement vers son cul, offrant la vision d'un trou d�j� humide. Il h�site et se tourne vers moi. En apercevant ma queue bien dress�e sous mon jean et entendant les g�missements de Martin, �a le rassure et il caresse alors ses fesses d'une fa�on beaucoup moins m�dicale.

Je m'approche de la table et le regarde faire. Il plonge les doigts dans l'anus de Martin, les ressort, les porte � sa bouche et les l�che consciencieusement. Soudain, il change de place et, s'installant entre les cuisses de mon fr�re, remplace ses doigts par sa bouche et lui l�che longuement le cul. Troubl� par le spectacle qui se d�roule sous mes yeux, je refuse de demeurer que spectateur.

Je me penche sur mon jeune fr�re, d�boutonne compl�tement sa chemise et caresse son torse. Martin crie son plaisir que lui procure mes caresses et les coups de langue du docteur. Quelques minutes plus tard, le m�decin se redresse.
- Jamais encore je n'avais d�gust� un cul aussi d�licieux.
- C'est gentil. Je meurs d'envie de vous faire plaisir moi aussi

Le m�decin �te rapidement pantalon et slip et s'installe sur la table. Martin caresse doucement la verge d�j� dress�e puis se penche et embrasse le gland avant de le faire coulisser lentement entre ses l�vres. Il adore le sucer et je ne doute pas qu'il prend un grand plaisir � cette fellation. Plaisir partag� par le docteur si j'en juge par ses g�missements. Parfois, il sort le membre et l'embrasse sur la hampe comme il le ferait avec une glace. Il n'oublie pas les couilles qu'il palpe tendrement et sur lesquelles sa langue s'aventure parfois. Excit� au maximum de voir avec quel plaisir mon petit fr�re d�vore la queue du toubib, je lib�re mon sexe dur comme fer de mon jean et commence � me branler doucement.

Dans sa position, Martin m'offre une vue superbe sur ses fesses et je ne peux m'emp�cher de le caresser, insinuant un doigt dans son trou tremp�. Le m�decin est tr�s endurant mais apr�s de longues minutes, il pr�vient mon fr�re de sa jouissance imminente. Apr�s quelques va et vient suppl�mentaire, il �jacule puissamment, arrosant copieusement le visage et le torse de Martin. Celui-ci �tale le sperme sur son torse puis reprend le sexe du docteur dans sa bouche qui commence � ramollir et entreprend de le nettoyer.

Visiblement affam�, Martin m'invite � prendre place et rapidement, mon sexe s'enfonce dans sa bouche, sous le regard du docteur qui me remplace et lui caresse les fesses. Il se cambre, s'offrant totalement aux mains du doc. Les miennes ont pris possession de son torse et je le caresse lentement. Je sens les mamelons durcir sous mes doigts et ne me prive pas de les pincer et les �tirer. Excit� depuis d�j� un long moment, je ne cherche pas � retarder mon plaisir et je sens assez rapidement que je ne vais pas tarder � jouir. Martin s'en aper�oit lui aussi et il acc�l�re ses va et vient sur ma queue tendue. Il est vite r�compens� par mon sperme qui gicle contre son palais. Il m'avale totalement et ne lib�re mon sexe que certain de ne plus pouvoir en tirer en seule goutte.

Le m�decin prend Martin par la main et le dirige vers le bureau. D�barrassant rapidement celui-ci, il allonge Martin et s'installe entre ses jambes. Le toubib h�site alors un instant mais Martin le regarde et dit :
- "Vas-y ! Prends-moi !"

Il s'enfonce alors en lui d'un coup, lui tirant un cri de plaisir et le pilonne vigoureusement. Martin g�mit tr�s vite, les jambes sur les �paules du doc. La vision de mon jeune fr�re qui se fait baiser sans aucune retenue par un autre homme, m'excite et je sens mon sexe se raidir � nouveau. Je m'approche du couple et pose mon gland pr�s de la bouche de Martin mais avant qu'il n'ait le temps de le prendre, c'est le m�decin qui tout en continuant de d�foncer le cul de mon fr�re, se penche en avant et m'avale.

Ma position me permet d'admirer pour la premi�re fois d'aussi pr�s le cul de mon fr�re distendu par le membre du doc. Ma main caresse � nouveau ses mamelons dont les pointes bien dress�es indiquent son �tat d'excitation extr�me. Petit � petit je descends vers sa queue et sans r�fl�chir, je m'en empare et le branle doucement. C'est la toute premi�re fois que je touche un sexe masculin autre que le mien et je me surprends � ne pas trouver cela rebutant. Je le branle m�me un peu plus fermement et un long feulement de Martin me montre que visiblement, il ne va pas tarder � atteindre le septi�me ciel. En effet, les coups de reins de son amant et mes doigts qui lui agitent la queue, ont raison de lui. Il pousse un long cri et jouit sur son torse.

Sentant qu'il est sur le pont d'�jaculer lui aussi, le m�decin cesse de me sucer et me propose d'�changer nos places. Je pointe mon gland sur la rosette de mon fr�re, j'appuie un peu et m'enfonce sans trop de difficult�s � mon tour dans son anus. Bouillant alors que Martin d�guste le sexe du docteur. Je le baise ainsi un long moment et sentant que j'�tais pour �jaculer de nouveau, Martin me demande de ne pas me retirer et de jouir dans son cul. Presque au m�me moment, le m�decin et moi jouissons. Lui sur le visage de mon fr�re et moi dans son anus.

Alors que nous �tions tous en train de nous rhabiller, Martin demanda au m�decin :
- Et puis docteur, croyez vous que ma douleur est compl�tement gu�rie?
Il lui r�pondit en souriant :
- Sans aucun doute. Si jamais cette douleur devait revenir un jour, surtout n'h�siter pas � revenir me voir.

Sur le chemin du retour, il me demanda :
- Alors grand fr�re, heureux de cette premi�re exp�rience?
- Et comment! �a me fait un peu bizarre de savoir que j'ai bais� avec mon propre fr�re en plus d'un autre homme mais j'ai vraiment bien joui.
- Va-tu te sentir capable de revivre cette exp�rience?
- Toi alors, laisse moi d'abord me remettre de ces nouvelles sensations et si jamais tu d�cides un jour de retourner voir ce m�decin, fais-le moi savoir, on ne sait jamais. Comme le dicton dit : `` Qui vivra, verra. ``

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