Dimanche, fin de journ�e....Le temps est triste � mourir ! De gros nuages se tra�nent sur un ciel d�sesp�r�ment gris... Pourtant il ne fait pas froid... Chiant pour un mois d'ao�t... J'arrive sur le parking ; il est dix-huit heures... Surprenant le nombre de bagnoles !!! C'est vrai qu'il doit y avoir pas mal de touristes car le lieu est sympa, des p�cheurs aussi car la mer est basse et toute proche, s�par�e du parking par deux cordons de dunes. A gauche, la plage naturiste et � droite les ondulations des dunes couvertes d'une v�g�tation plus ou moins haute, plus ou moins dense... Et partout, de petits sentiers qui m�nent vers des lieux isol�s et discrets, seulement connus pas les initi�s dont je suis... Je quitte la voiture, me dirigeant vers mon " poste d'observation " habituel. C'est alors que je croise un mec d'environ trente-cinq ans qui retourne � sa bagnole... Je le regarde... il soutient mon regard... Je continue ma marche puis me retourne pour m'apercevoir qu'il vient de faire demi-tour et prend la m�me direction que moi... Je n'y crois pas ! Ce n'est pas possible.... Faut dire que je ne suis plus un canon de beaut� ; j'ai pris de la bouteille et en m�me temps, du ventre, et, si les potes me disent bon baiseur... ce n'est pas �crit sur ma tronche ! Je continue mon chemin... Premi�re bifurcation... il me suit ! Ouahhhh !!!! Second changement de direction... il me suit toujours.... Alors l�, �a commence � m'�nerver dans le jogging ! C'est pas vrai ! Je n'y crois toujours pas. Le chemin descend dans un creux, entre deux dunes ; les buissons nous isolent ici de tout l'environnement : on ne peut pas nous voir. Le mec est � environ vingt m�tres de moi. Je m'arr�te et je l'attends... Quand il arrive � ma hauteur, je lui demande : " - que cherches-tu " Ces quelques mots �chang�s m'ont mis dans un �tat pas possible ! Qu'un tel mec ait envie de baiser avec moi ! Trente trente-cinq ans, taill� comme un dieu, beau brun, sourire d'ange, moul� dans un jean qui laisse envisager des merveilles.... Je tremble de partout, j'angoisse de ne pas �tre � la hauteur. C'est toujours pareil quand je fais l'amour avec un jeune : vais-je �tre ce qu'il attend de moi ?... Je guette r�guli�rement pour voir s'il me suit : il garde la distance mais est toujours l�... Je prends un petit sentier qui file entre les buissons, nous nous enfon�ons sous les arbustes... quelques gouttes... merde ! Quelle poisse ! Pourvu qu'il ne se barre pas ! Mais non, il suit et nous nous retrouvons face � face dans une petite clairi�re, � l'abri de tout regard... La pluie commence � tomber � grosses gouttes, larges, lourdes... Et c'est lui qui me met la main au paquet, lui qui me roule le premier une gamelle magistrale : sa langue longue et �paisse glisse, va et vient, fouille ma bouche ; ses l�vres d�vorent mes l�vres, mes yeux, mon cou, mes joues... il me d�vore litt�ralement tout en malaxant ma bite qui est devenus raide sous ses caresses. Et lui ! Quelle tige sous mes doigts ! Le morceau que je fais jaillir hors de son jean est splendide : long, �pais, r�gulier, la peau lisse et d�licate, un gland rose qui pointe hors d'un pr�puce semi-ouvert... C'est lui � nouveau qui prend l'initiative de me pomper, mais il veut � tout prix m'enfiler une capote : c'est tout � son honneur, mais je pr�f�rerais qu'il me suce en direct... C'est avec ses l�vres qu'il d�roule la chose sur ma queue et il se met alors � me pomper avec vigueur et volupt�. Incroyable, inou� ! Je n'arrive pas � r�aliser vraiment ce qui m'arrive � moi, vieux machin bedonnant (mais toujours vigoureux...), moi, jogging baiss� au milieu de cette v�g�tation luxuriante et odorante, avec cette merveille � mes genoux qui pompe ma bite raide pendant que je le caresse avec tendresse... Je suis oblig� de le relever en lui demandant d'arr�ter : je suis m�r pour un �clatement de foutre digne du plus beau feu d'artifice ! Je voudrais le sucer � mon tour, mais il ne le d�sire pas. Je lui propose alors ma langue pour son cul et l�, son sourire et son regard suffisent � me dire que je peux y aller. Un beau cul tout bronz�, deux fesses dures aux muscles rebondis que j'�carte doucement pour y d�couvrir une rosette �toil�e qui d�j� palpite de d�sir. La raie est profonde et il doit m'aider de ses deux mains pour bien l'ouvrir afin que ma bouche puisse se coller � sa rosette impatiente. J'y suis ! Je l�che, j'aspire, je commence � fouiller, entrer dans cette chair offerte. J'entends ses soupirs, ses hal�tements : plus je le travaille de la langue, plus je sens son excitation monter. Ses jambes se mettent alors � trembler et son oeillet � s'ouvrir... Imagine un peu la situation : il pleut ! Pas du d�luge, non, mais de bonnes gouttes qui n'ont pas cess� depuis que nous sommes l�. Le sol est mouill�, plus ou moins souill� de papiers, de capotes et d"�tuis d�chir�s ; l'un et l'autre le cul � l'air, la bite dress�e, froc descendu... Et il me demande de m'allonger.... Et je m'allonge.... Je veux lui enduire le cul de gel mais il ne veut pas. L�che-moi encore ! Graisse-moi le fion ! ... Ce que je fais avec d�lice... Et lui de m'enjamber et de se mettre � califourchon sur moi. Quel spectacle ! Quelle merveille que cette beaut� muscl�e qui cherche � s'empaler sur ma bite dress�e ! ...Son oeillet appuie sur mon gland, ses cuisses montent et descendent au rythme de ses tentatives pour s'empaler... Je n'en peux plus de tant d'excitation ! Je sens le plaisir qui monte en vagues que je n'arrive plus � contr�ler ! Ca vient de loin, du plus profond de mes tripes, onde explosive qui se met � d�ferler en jets puissants qui s'�crasent ... dans la capote... Il s'assoit alors sur ma poitrine et se branle avec vigueur : Soudain, c'est l'explosion : d'�paisses fus�es de foutre jaillissent du m�at grand ouvert, s'�crasent sur ma gueule, sur mon sweet, sur mon cr�ne ras� ... et vont d�gouliner dans mon cou... L'odeur est puissante qui se m�le � celle des mousses et des lichens qui se gonflent sous les gouttes qui n'ont cess� de tomber... Il ne m'a pas dit son nom... Nous avons repris ensemble le chemin du parking... Il m'a avou� ne s'�tre jamais fait baiser, mais que c'�tait un de ses fantasmes favoris... Le reverrai-je mon beau brun ? Qui sait ?... LapuceR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |