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Dignit�

Cette histoire date d' il y a quatre ans. J'avais 18 ans.
Je m'appelle N. et j'avais d�j� eu bien s�r des exp�riences homo.
Je mesure 1m81 et suis mince de 62kilos.
J'ai les cheveux ch�tains et les yeux verts et suis habill� en jean moulant et d�lav� et chemise bleue fonc�, ce jour-l�.

Comme je disais, j'ai d�j� eu des exp�riences homo et j'avais m�me d�j� eu un petit copain, qui n'�tait pas du lyc�e o� j'�tais. Personne ne savait pour moi, mais beaucoup devait s'en douter, surtout les mecs de ma classe.
Je ne suis pas du tout perverti par le sexe mais je tiens tout de m�me, pour pr�ciser l'action, � me d�crire plus amplement, j'avais une queue de 17cm et un cul �troit, mais je n'�tais pas puceau pour autant.
Je sortais alors des cours, c'�tait en fin de journ�e et j'avais une envie pressante d'aller au toilette.
Manque de pot pour moi, un des mecs de ma classe avait profit� du moment. Il m'enferma avec lui dans les toilettes du lyc�e, ayant remarqu� que personne d'autre n'y tra�nait.
Quand j'ouvris la porte, je remarquais avec effroi qu'il m'attendait de l'autre c�t�. Il devait avoir 20ans, il �tait presque ras�, le teint bronz� et arabe, les yeux marron et plut�t muscl�.
Je me disais d�j� que je n'avais aucune chance de m'�chapper. Il s'appelait David.
Je pense que c'est un homo refoul�, voire m�me bi, car c'�tait le mec qui aimait bien dominer, les femmes comme les hommes.
Je le vis qu'il ouvrait la braguette de son jean et sa queue, d'une vingtaine de centim�tres, 27cm, rebondissait en dehors de son slip pour venir traverser la braguette. Il bandait d�j� fort, je trouvais �a �norme.

Il m'ordonna de le sucer, je reculais un instant et en le regardant dans ses yeux, je compris que je n'avais pas le choix, sinon j'allais souffrir pis que �a.
En approchant ma t�te de sa queue je fus plus encore atterr� par les dimensions de celui-ci et quand je le su�ais, il me dit encore :
"Suce moi bien la bite salope"

Mon coeur battait tr�s fort car j'�prouvais du d�sir en le su�ant et la honte, l'humilit� et m�me la col�re disparaissait avec le temps. Je me laissais aller au fur et � mesure. Cela devenait un tel d�lice qu'il finit par �jaculer pleinement dans ma bouche. J'avalai tout, je me disais que je n'avais pas d'autres choix.

Il m'ordonna ensuite de me d�shabiller, le bas uniquement, mais j'avais d�j� commenc� � d�boutonner la chemise. En fait, je compris qu'il voulait m'en faire voir de toutes les couleurs et je devrais supporter ce tourment jusqu'au bout.
A ces moments-l�, on doit se demander pourquoi on est gay, est-ce toujours ces d�sirs pervers...
Pourquoi suis-je gay ?
C'est exactement les id�es qui tourmentaient mon esprit � cet instant.
Presque nu du bas j'�tais, mon jean tombait � mes pieds, mais mon slip n'avait pas chang� de place, on voyait mon sexe bander et cela fit sourire David, qui me traita encore de lope.
Je commen�ais � ha�r ce mot.
Je dus me pencher vers l'un des miroirs et faire tenir mes mains aux bords du lavabo.
Mes fesses se tenaient un peu en arri�re et je sentais ses mains qui se maintenaient de force sur mes hanches. Il ne prit aucune peine pour lubrifier l'�troitesse de mon cul et ni m�me lui ne se lubrifiait le sexe. Je ne ressentais � cet instant qu'une seule chose, sa queue qui cherchait mon trou.
J'avais la peur au ventre car d'une part mon cul �tait �troit mais son sexe, d'une longueur inimaginable. Je croisais les doigts pour ne pas en souffrir toute ma vie.
Je respirais � fond et j'essayais d'�carter mon cul afin qu'il force moins, comme il l'esp�rait, probablement. Car il �tait quelqu'un de violent, passionn� et qui aimait faire souffrir, la je ne pouvais qu'avoir une preuve de plus.

Lorsqu'il se sentit au bon moment, au bon endroit, il for�a, mais en commen�ant doucement pour ne pas me faire crier, mais la douleur �tait l� et j'avais de la peine � ne pas faire sortir un cri.
D'une de ses mains il me retenait de tout cri, ma bouche �tait maintenu ferm�e. Il y avait toujours ce plaisir dans chacun de ses gestes, car il s'amusait � laisser sa main l� et � la tenir bien serr�s en attirant ma t�te vers l'arri�re, tout en m'enculant, et cela, de plus en plus violemment, tel qu'il sortit de sa bouche de longs r�les de plaisir.
Je sentais les mouvements de va-et-vient. Il me limait de l'int�rieur, et il ajouta un bref instant
: "Tu aimes ca, hein ?"

Le plus �tonnant, c'�tait que toute sa queue m'enfilait de l'int�rieur, car je sentais la base et ses couilles qui tapaient sans cesse, sur mon cul.
Puis un jet, un deuxi�me jet, etc, je sentais qu'il remplissait mon cul et sortaient peu � peu sa queue qui commen�ait � d�bander.
Non, en fait, il la sortait d'un coup sec mais me reprit violemment, m�me beaucoup plus violemment.
Puis il ressortit et me reprit encore, etc. Il se rhabillait, moi j'en fis de m�me et personne ne nous avait remarqu�. Tout cela avait dur� 15 minutes. Les jours qui suivirent, je n'osais plus aller au toilette et je l'�vitais partout du regard. J'avais bien conscience qu'il m'avait viol� mais j'essayais d'oublier.
C'�tait dur car je l'avais toujours en face de moi et continuait � me traiter de toutes sortes de choses.
Peu � peu, je pris conscience que je ne devais plus me laisser faire. Ce n'�tait pas parce qu'il �tait plus fort que moi et avait une centaine d'amis que je devais m'avouer vaincu. J'�tais heureux de ne pas �tre devenu pervers tout comme lui l'�tait.
Je n'avais qu'une seule chose en t�te, non plus l'oublier seulement mais le pardonner, en gardant toujours � l'esprit de quoi il �tait capable. J'esp�rais qu'il changerait, et de mon c�t�, les deux ann�es pass�rent et j'eus mon Bac S.
Depuis, je ne le revis plus. J'�tais heureux. Je n'avais plus ces craintes en moi. Et j'avais appris une chose dans ce style d'aventure, j'avais chang� depuis ces ann�es-l�, et j'apprenais � mieux cerner mon homosexualit�, mes d�sirs mais surtout mes id�aux, car �tre sale et souill�, ce n'est plus avancer, mais reculer dans la vie.
Avoir un respect in�gal� pour l'autre, mais surtout pour soi-m�me, voila le but ultime de mon message.

Amicalement,

N.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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