DERNIERES MINUTES.C'�tait une journ�e de boulot parmi tant d'autres, m�me si nous �tions sous tension depuis quelque temps. C'�tait une p�riode tr�s charg�e, commercialisation de nouvelles offres, afflux de client�le etc. Il fallait �tre omnipr�sent du matin au soir, et nous �tions sur les rotules, quand mon responsable est venu me voir vers 17 heures pour me dire qu'il avait besoin de moi, que cela risquait de durer longtemps, nous avions la visite d'un actionnaire important le lendemain et qu'il fallait que nous nous montrions � la hauteur si nous voulions garder sa confiance. Nous devions donc pr�parer un dossier de pr�sentation de nos r�sultats, de nos objectifs, de nos plans d'action ainsi qu'une visite de nos services. J'avoue � ce moment-l� que j'�tais partag� entre deux sentiments, je faisais la gueule, j'aurais pr�f�r� rentrer chez moi et me faire un plateau t�l� pour d�compresser et en m�me temps j'�tais content de pouvoir l'�pauler et bosser � ses c�t�s. Il s'appelle Fabien, il a environ 35 ans, brun, une certaine classe et un petit ventre naissant. Il �tait d�j� environ 21 heures, et toujours pas d'id�e-miracle. Il me propose de faire un break, de se faire livrer des plateaux-repas et qu'une coupure nous ferait le plus grand bien. Il en profite pour appeler sa femme pour lui dire de ne pas l'attendre, qu'il rentrera tr�s tard. Tout en mangeant, nous avons discut� de sport, de vacances etc. Apr�s cette coupure, nous avons repris le boulot, les id�es se sont encha�n�es tr�s rapidement, et une complicit� �tait en train de se cr�er entre nous. Nous �tions sur la m�me longueur d'onde. Je pense que c'est ce qui explique ce qui s'est pass� ensuite. Fabien �tait tellement content de notre boulot, il �tait soulag� d'�tre enfin pr�t pour le lendemain qu'il a commenc� � me mettre la main sur les cuisses tout en souriant comme le ferait un sportif, juste un geste fraternel, un encouragement. Nos regards se sont alors crois�s et il n'a pas pu s'emp�cher de continuer de mettre sa main sur mes cuisses, il a approch� ses l�vres des miennes, et il m'a lors embrass�. Je ne savais plus que faire, j'en avais tr�s envie et en m�me temps, c'est mon responsable, j'�tais g�n� et en m�me temps, la situation �tait terriblement excitante. Il m'a alors dit qu'il avait envie de moi, qu'il �tait tent� par une exp�rience avec un mec et que c'�tait l'occasion. Je me suis laiss� faire. Il m'a roul� une pelle, nos langues se sont m�lang�es, il a continu� de me caresser les cuisses en montant de plus en plus haut. Je n'osais pas trop encore le caresser, mais apr�s �a, je n'ai pas pu r�sister, je lui ai d�fait sa cravate, j'ai pass� mes doigts sous sa chemise et commencer � caresser les poils de sa poitrine. Il m'embrassait dans le cou, il m'a enlev� ma chemise, il me passait sa main entre les jambes, et ma queue commen�ait � �tre de plus raide et manquait de place dans mon pantalon. Il m'a dit qu'il aimerait que je le suce, qu'il avait envie de sentir sa queue dans ma bouche. Je lui ai descendu sa braguette, je lui ai pass� les mains sur sa bosse, j'ai pass� la queue par la braguette et j'ai commenc� � le l�cher. Il semblait aimer �a, sa queue r�agissait bien, il m'encourageait, il voulait que je continue et je ne me suis pas fait prier. J'ai aval� sa queue, je faisais des va et vient dans ma bouche, j'ai commenc� doucement et j'ai acc�l�r� la cadence, il g�missait de plaisir et �a m'excitait encore plus. Son gland �tait de plus en plus rouge, sa queue prenait de plus en plus de volume, c'�tait vachement bon de l'avoir dans ma bouche. Son portable a sonn�, c'�tait sa femme qui s'inqui�tait, il lui a r�pondu et je continuais de le sucer pendant qu'il �tait au t�l�phone, je faisais attention, j'allais tr�s doucement et �a me procurait beaucoup de plaisir de savoir qu'il avait la queue raide dans ma bouche alors qu'il �tait au t�l�phone avec sa femme et qu'il me passait la main derri�re la nuque pour me donner la cadence d'acc�l�rer ou de ralentir. Il a alors dit � sa femme, si tu veux que je revienne vite, il faut me laisser terminer ce que j'ai commenc� en me regardant dans les yeux avec un grand sourire. Fabien m'a dit qu'il aimerait bien s'occuper de mon petit cul, qu'il aimerait bien me p�n�trer, il voulait �tre en moi, il voulait me d�foncer son petit cul. J'appr�hendais un peu, il a une queue plut�t large et je ne voulais pas qu'il me lime le cul sans m�nagement. Il a d� sentir mes doutes, il m'a tout de suite rassur� en me disant qu'il prendrait son temps et qu'il allait bien me le pr�parer. J'ai alors enlev� mon pantalon, descendu mon boxer blanc tout en agitant mon petit cul. Il m'a donn� une tape sur les fesses, il m'a dit de tourner le dos, d'�carter les jambes, il a pass� ensuite ses mains sur les fesses, il les a p�tries, je sentais son souffle dans mon dos, il m'a caress� les pectoraux, il s'est coll� contre moi, et j'ai senti sa queue contre mes fesses. Il a commenc� � passer un doigt entre les fesses, il s'est occup� de ma rondelle, et je commen�ais � g�mir tellement �a me faisait du bien. Il m'a mis ensuite deux doigts, il m'embrassait dans le cou en m�me temps et je g�missais de plus en plus fort. Je lui alors dis de me p�n�trer, je lui ai demand� d'aller en douceur au d�but et d'augmenter la cadence. Il ne s'est pas fait pri�, j'ai senti son gland qui commen�ait � me p�n�trer, il a ensuite continu� � me p�n�trer en augmentant la cadence, ses couilles tapaient contre mes fesses, il me tenait par les hanches, et de temps en temps, il me branlait. Je lui ai dit que j'aimerais bien �tre sur le dos et qu'il me prenne pour que je le voie. Je me suis allong� sur le sol, j'ai mis mes jambes sur ses �paules et il m'a embrass�, et il a repris ses mouvements de va et vient. Mon petit cul mouillait de plus en plus, je lui caressais ses pectoraux, son dos, ses fesses. Je voulais qu'il aille de plus en plus vite et de plus en plus profond. Je ne sais pas si c'est le stress de la situation avec la pr�sentation le lendemain, il s'est vraiment d�foul�, il a pris son pied et moi aussi. Il a retir� sa queue de mon petit cul accueillant, il s'est branl� sur moi, j'ai senti son sperme bien chaud et bien cr�meux sur mon corps. Il est venu s'allonger sur moi, et nous nous sommes embrass�s tendrement. Depuis, nos journ�es sont tr�s agr�ables et je ne refuse pas d'heures suppl�mentaires le soir � condition qu'il soit pr�sent !!! REGIS R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |