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DEPUCELAGE PAR MON FRERE

Avec mon grand fr�re Jonathan, on est tr�s libre. Ou plut�t, c'est lui qui est libre. Il se ballade souvent � poil � la maison, m�me en pr�sence de nos parents.
C'est dire que je connais vaguement son anatomie, je dis vaguement, car je n'ai jamais voulu jusqu'ici faire le voyeur et surtout, parce que si Jonathan, � vingt ans pass�s, n'est plus puceau depuis longtemps, il est h�t�ro, moi, en revanche, malgr� mes dix-huit ans, je n'ai jamais encore franchi le pas, ni avec les filles, ni avec les gar�ons, et j'ai l'impression que cela se lit sur mon visage et sur mon corps tout entier....

C'est pas l'envie de faire l'amour qui me tiraille pourtant. Je suis attir� par les deux sexes et qui sait avec lequel des deux, je perdrais mon pucelage... Jonathan est exibitionniste aussi. Enfin, je le pense, je l'ai surpris plusieurs fois en train de se masturber dans notre chambre, et � priori, ma pr�sence ne le d�rangea pas.

Un apr�s-midi banal o� nous �tions seuls tous les deux � la maison, il a commenc� � me chambrer m�chamment.
- Alors J�r�my, toujours puceau ?
Il savait tr�s bien que ce n'�tait pas un th�me pour moi, plaisant � aborder.
- Et alors, en quoi �a te regarde ?
- T'as pas envie d'arr�ter la branlette solo et conna�tre l'extase dans les bras d'une fille ?
Je ne r�pondis pas et haussais les �paules.
- Tu ne veux pas me r�pondre... Peut-�tre que tu n'aimes pas les filles, alors ?
Je rougis � cette attaque, car je n'ai avou� � personne mes penchants bi et c'est vrai qu'actuellement, je mate surtout les histoires gays sur internet.
_ Y a pas de honte � aimer les mecs, tu sais... A moi, tu peux le dire... A peine, avait-t-il termin� de lancer sa phrase assassine qui finit par me d�stabiliser, que Jonathan commen�a � se d�shabiller.
- Tu fais quoi, l� ? demandais-je.
- Et ben quoi, je me d�shabille, je vais prendre une douche. Ca te g�ne ?

J'�tais troubl� � vrai dire, et �a se voyait comme les yeux au milieu du visage. Mon fr�re le ressentait s�rement, ce qui activa ma sensation de malaise et acc�l�ra encore plus les battements de mon coeur. Je m'assis sur mon lit � c�t� du sien, frissonnant de d�sir, et je le regardais retirer un � un ses v�tements.
Jonathan, joueur, se d�shabilla tout en sensualit�. Son torse bien foutu, � peine voil� par une toison brune, m'apparut dans toute sa virilit�. Puis, il retira son short, laissant appara�tre un boxer qui moulait un sexe en repos. Il �tait mou mais d�j� de bonne taille et ses lourdes couilles formaient un bon paquet. Je commen�ais doucement � bander dans mon short, mais il �tait tellement large qu'il ne d�voilait rien de ma soudaine raideur. Ce ne fut pas l'avis de mon fr�re qui me mit la main au panier. Il agrippa mon sexe � travers mes v�tements et fit mine de me branler. Il n'eut aucun mal � constater mon �rection.
- Tu vois, fr�rot, je te fais bander... T'es attir� par le corps des mecs, hein ? Allez, avoue-le et je te promets une petite g�terie... J'�tais an�anti que mon fr�re se permette ainsi de me toucher, en affirmant des choses aussi crues et vraies par-dessus le march�... -Non, non, r�pondis-je, simplement envie d'aller pisser.
- Viens fr�rot et touche, tu en as tellement envie.
Jonathan approcha ma main de son boxer et l'appliqua contre son sexe encore prot�g�.

- Oublie que je suis ton fr�re... Imagine que tu caresses un beau mec tout simplement... Ca te fait quoi ?

Je sentis une queue toute douce, qui commen�ait � fr�mir. Lui aussi �tait en train de bander. Il retira alors son boxer en me fixant droit dans les yeux, et je vis sa queue se redresser presque � l'horizontal. Qu'est-ce qu'il �tait bien mont� mon fr�re... Sa bite poilue �tait �paisse, tout autant que ses deux grosses couilles velues qui pendaient librement. Je ne pus m'emp�cher de comparer mes parties intimes aux siennes. Rien � voir avec ma bite moins virile, plus courte et plus effil�e que la sienne. Quant � mes couilles imberbes, elles ressemblent plus � des noyaux d'olive qu'� ses deux pruneaux charnus super bien dessin�s. Ils doivent en donner du jus ! Jonathan s'amusa de me voir le mater. Il me sourit, m'effleura avec sa bite et retira de fa�on �nergique mon short en m�me temps que mon slip. J'�tais d�sormais � poil devant lui, la queue en erection, ne sachant que faire et que dire...
- Allez J�r�my, goute-moi �a et dis-moi ce que tu en penses, m'ordonna-t-il en me for�ant � m'accroupir devant sa bite. Je ne me fis pas prier, bien que jamais auparavant j'avais fait �a, sucer un mec, mon fr�re, en plus...
- Comment ? Comment on fait... Jonathan se moqua.
- D�calotte mon gland, fais-le coulisser avec tes doigts, il adore �a mon gland...Voil�, c'est bien... Ouvre ta bouche maintenant et fais rentrer doucement, progressivement ma queue dans ta gorge. Je pris la bite de mon fr�re en pleine main et la porta � mes l�vres. Je succombais de d�sir. Je fis des va et vient avec la hampe de son sexe, et il commen�a � g�mir de plaisir. Sa bite avait un go�t fade et j'eus plusieurs fois la naus�e, tant elle �tait volumineuse � s'activer dans ma petite gueule �troite. Mais, �a ne me g�na pas plus que cela.

- Tu me laisses caresser tes couilles ? lui demandais-je alors sans pudeur, �a fait si longtemps que j'en ai envie....
- Elles te plaisent tant, s'amusa -t-il ?
Je passais ma main sur ses grosses couilles soyeuses, je les caressais d�licatement, dessous, dessus, je suivais avec mes doigts, leur formes pulpeuses et charnues. Elles m'affolaient de tant d'harmonie. ;
- Assez, maintenant, ordonna-t-il. On va baiser comme deux p�d�s. Tu veux toujours savoir comment on fait, non ? Il m'allongea alors sur son lit. Je le laissais faire. Couch� sur le dos, j'�cartais instinctivement les cuisses alors qu'il s'approchait de moi, les genoux en avant, la queue plaqu�e sur son nombril. Il allongea son corps viril sur le mien et commen�a � se branler sur moi. On se frotta ainsi de longs moments dans des r�les bruyants en rien simul�s.
- A toi maintenant de t'allonger sur moi, me demanda-t-il, et frotte bien ta queue contre la mienne.

Je saisis nos deux bites dans ma main et les serrer l'une contre l'autre me fit comprendre qu'on ne jouait pas dans la m�me cour... Par rapport � la sienne, j'avais l'impression d'avoir une bite de gamin avant sa pubert�... Je m'allongeais sur son ventre en pla�ant ma queue raide sur la sienne gorg�e de sang et on s'est encore frott� ainsi de longues minutes. Je sentais mon jus pr�t � gicler � tout moment. Je criais mon plaisir � chaque coup de rein sur son bas ventre.

- C'est trop bon, Jonathan, je vais jouir... Attends, j'en peux plus !
- Non, jute pas encore, j'ai pas fini, fr�rot !

Jonathan se redressa un moment et se pencha sur mon sexe. Il l'enfourna dans sa bouche et l'enroba de nombreux coups de langues doux et humides. C'est pas possible que mon fr�re h�t�ro puisse donner autant de plaisir � un mec... J'�tais ivre de bonheur, jamais ressenti une telle volupt�...
- Retourne-toi maintenant, je vais te sodomiser. Comme �a, t'auras la totale...N'aie pas peur et d�tend-toi... J'�tais effray�. Comment une grosse bite comme la sienne pourrait rentrer dans mes entrailles sans que je hurle de douleur ?
- Il faut mettre un pr�servatif, non ? lui r�pondis-je, esp�rant ainsi le faire renoncer.
Il ricana, son d�sir �tait trop fort.
- Tu veux pas non plus que je te nettoie le cul, des fois ? On n'a pas besoin de capote. De toute fa�on, tu es mon premier mec, et j'ai trop envie d'essayer. Aucune de mes copines me l'ont permis, alors... Tu vas passer � la casserole... Je vais t'enculer au sens propre du terme...
- Non Jonathan, pas �a, s'il te pla�t !
Mais mon fr�re, ne m'�coutait plus. Il me mit accroupi sur le bord du lit, se serra contre mes reins, et commen�a � enfoncer sa grosse queue dans mon anus. Mais rien ne passa. J'�tais toujours sur les genoux, la t�te baiss�e sur le couvre-lit. Il me cracha alors des gicl�es de salive dans ma raie et me passa un doigt mouill� bien profond dans le cul. Cette intrusion me fit hurler, m�me si je n'avais pas si mal que �a.
- D�tend-toi, je te dis, ou bien tu vas avoir mal !

Mon fr�re recommen�a plusieurs fois ses intrusions mouill�es et finalement, son doigt coulissa plus facilement dans mon cul. J'en ressentais presque du plaisir.
-T'es pr�t, fr�rot ? C'est ma bite qui va te d�foncer maintenant. Sens-la comme elle est grosse et dure... Je fermai les yeux, en pensant � son engin qui allait bient�t me d�florer le derri�re. J'allais me faire d�puceler par mon fr�re. Finalement, c'est pas plus mal... D'autant qu'il a le gland effil�, �a passera mieux, me dis-je confiant. Mais ses tentatives infructueuses me firent mal et, afin d'abr�ger mon calvaire, je d�cidais de l'aider. Je pris sa queue et l'aidais � me p�n�trer.

Ses premiers coups de rein ne me produisirent aucun plaisir, mais lorsque tout son sexe �tait enfin dans moi, alors je me d�tendis, et je pris mon pied. L'id�e m�me que c'est mon fr�re qui enfilait son gros sexe dans le cul renfor�a mon plaisir. Jonathan faisait de savants va et vient, en modulant le rythme de ses assauts en fonction de son plaisir. Il rentrait sa queue, puis la sortait � moiti�, pour m'enculer au plus profond. Je tournais parfois la t�te pour le regarder. Mais � chaque fois, m'agrippant par les cheveux, il rabattait �nergiquement ma t�te sur le lit. Ses couilles �paisses frappaient l'entr�e de mon cul, � un rythme de plus en plus soutenue. J'�tais ballot�, secou� comme une petite chose sans d�fense, il me for�a � cabrer plus encore les reins et me claqua les fesses sans m�nagement. La p�n�tration me sembla durer une �ternit�. Puis mon fr�re finit par hurler son bonheur en d�chargeant tout son foutre dans mes entrailles.

Cet enculeur de Jonathan n'en pouvait plus, il posa son front mouill� de sueur sur mes cheveux et je sentis son souffle chaud halet� sur mes �paules. Il se retira lentement, progressivement de mon cul, la bite appais�e.
- Suis d�sol� fr�rot, je peux pas te faire jouir. Suis crev�, j'ai tout donn�.
- C'est pas grave, je suis super heureux comme �a, lui r�torquais-je, alors que mon sexe, depuis longtemps recroquevill� sur lui-m�me, pendait sur mes couilles encore pleines.
- Pas un mot aux parents, bien s�r !
- C'est s�r, grand, jur�, crach� ! Mais... Tu es aussi bon avec tes copines, qu'avec moi ?
Jonathan sourit.
- Tu sais, c'est plus facile de satisfaire un mec qu'une femme. Mais quelle jouissance dans les deux cas !
- Mais, je suis ton premier mec, non ?
- A part, quelques touches pipi avec des copains au stade, oui, on peut dire �a...

On parla ensemble longtemps, un bon quart d'heure, et comme on ne s'�tait jamais encore parl� auparavant. Nous n'avions plus de secret l'un pour l'autre d�sormais, nous �tant mutuellement offert l'essentiel, notre intimit�.
J'avais remis mon slip et Jonathan avait enfil� son short pour aller prendre une douche, lorsque je sentis ruisseler de mon anus, un long filet chaud et humide. Je fus d'abord intrigu�, puis je pensais qu'il s'agissait forc�ment du sperme que mon fr�re venait de m'offrir. Je lui en fis part en mettant un doigt au cul pour v�rifier. Son sperme n'en finissait pas de se d�verser dans mon slip. J'avais le cul moite et mouill�.
- Putain, c'est vrai, t'en as d�charg� du sperme, tes couilles se sont compl�tement vid�es, je comprends pourquoi t'es si crev�...
- Montre ! me fit-il.
Je me remis � poil et lui tendis mon slip souill�.
- Ouah, les t�ches... Suis fort, quand m�me ! Vas laver ton slip, sinon notre m�re va se douter de quelque chose... C'est plut�t rare d'�jaculer du cul, non ?
- T'as raison, Jonathan ... Et ma bite aimerait bien juter aussi... Allez, fais-moi une g�terie !
M'�tant remis � poil devant mon fr�re, ma queue, impudique reprit en effet de la vigueur et j'avais envie de jouir, moi aussi.
- Ca peut jouir une petite queue comme la tienne ? plaisanta-t-il.
- Allez, sois sympa, caresse-la et suce-moi, implorais-je alors, ma bite au summum de son �rection, le gland �panoui. C'�tait trop bien tout � l'heure... Jonathan ne se fit plus prier. Il saisit mon sexe, l'humidifia de salive et me branla d'un mouvement circulaire en insistant sur le bout de mon gland. C'�tait grandiose.
- C'est comme �a que je fais quand je me branle... m'avoua-t-il.
Je r�lais de plaisir, et bien vite, trop vite, j'�jaculais sur le visage de mon fr�re qui s'�tait accroupi pour mieux me caresser. Il a eu droit � quatre ou cinq d�charges de foutre. Certaines lui coulaient sur les l�vres. J'ai ador� le voir pourl�cher mon jus et le mettre � sa bouche.
- Trop bien, Jonathan, trop bien !
Mon fr�re me sourit, il se releva, posa un baiser chaste sur mon front et alla prendre sa douche.

On n'a jamais remis �a, Jonathan et moi, mais d�sormais, je ne fais plus de complexe et je passe du bon temps dans les saunas gay de ma ville. Je baise et je me fais baiser. D�complex�, je vous dis, d�complex�...

eracleum

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