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D�pucelage au sauna

Il est 17h quand nous sortons de table apr�s un repas japonais tr�s arros�. Jean-Pierre me dit qu'il a envie d'aller faire un tour dans un sauna tout proche. Un peu �m�ch�, un peu curieux, je le suis sans trop savoir � quoi m'attendre. Jusqu'� ce jour, je n'ai jamais mis les pieds dans un sauna public, jamais eu de relation avec un mec et je suis loin d'imaginer Jean-Pierre me branchant sur un plan avec lui car je sais qu'il est r�solument h�t�ro.
Petit passage rapide � l'accueil o� l'on nous remet serviette, peignoir....et pr�servatif. Mon coeur bat la chamade et je me demande bien ce que je vais d�couvrir en arrivant au premier �tage.

La premi�re pi�ce que je d�couvre comprend une s�rie de casiers et un canap� sur lequel sont assis une dizaine de mecs en peignoir qui matent notre arriv�e. Un peu perdu, tr�s excit�, j'imite Jean-Pierre qui se d�shabille int�gralement et se met en peignoir aussi.
Mon regard est attir� par une grande pi�ce plus sombre entour�e de banquettes sur lesquels 2 ou 3 mecs sont assis et matent une vid�o sur un �cran g�ant.
Pour l'instant, je trouve cela plut�t glauque.

Je continue de suivre Jean-Pierre qui semble Jean-Pierre parfaitement les lieux. Nous sommes pr�ts � entrer dans le hammam quand une femme v�tue d'une serviette en sort avec 3 mecs � la suite. Je n'y accorde pas plus d'importance que �a mais commence � �tre rassur� de savoir qu'une femme vient ici.

Nous nous mettons nus, accrochons nos peignoirs � l'ext�rieur et entrons dans le hammam. Deux mecs s'y trouvent d�j�. Je les distingue � peine. L'ambiance surchauff�e et humide du hammam, ajout�e � l'effet des fioles de sak� que nous avons ingurgit� me met dans un �tat d'excitation maximum. Avec Jean-Pierre � c�t�, je n'ose bouger. C'est un copain de tr�s longue date. Jamais je n'oserai un geste vers lui et sa simple pr�sence me bloque.

Nous passons 3 minutes tous les 4 � l'int�rieur. L'un des deux mecs que je distingue � peine me touche le pied. J'imagine bien ce que cela veut dire, mais n'ose bouger ou r�pondre.
Jean-Pierre quitte assez rapidement le hammam et je me retrouve seul avec les deux mecs. Mon coeur bat la chamade et ma queue commence � durcir d'un coup. Cette fois-ci, je me lance et tends ma jambe vers le mecs qui m'a effleur� quelques instants avant.

Mon pied atteint directement sa queue et ses couilles. Il est raide comme un bambou. Il s'avance aussit�t vers moi, s'agenouille entre mes jambes et englouti ma queue � pleine bouche en me caressant les couilles. Je suis si tendu que je crois que je vais lui gicler dessus tout de suite. C'est la premi�re fois qu'un mec me suce et....j'adore.

Rassur� par la facilit� de ce contact, je tends ma main vers la queue du second mec assis � c�t� de moi. Il ne dit rien t me laisse faire. Elle est tr�s dure, chaude et je ne tarde pas � me baisser pour le prendre � mon tour en bouche. Quel bonheur !!!!

Je fais coulisser son membre entre mes l�vres pendant que l'autre me suce � merveille. Je cale mes propres mouvements sur ceux du mec qui m'aspire, acc�l�re le mouvement, et branle mon voisin jusqu'� sentir son sperme m'envahir la bouche. Ne pouvant plus me retenir, je gicle en m�me temps dans la bouche de mon suceur qui grogne de bien �tre et avale goul�ment mes longs jets de foutre.

Mon voisin sort et je le suis sans un mot tandis que mon suceur reste dans le hammam. Face au hammam, je vois un espace avec des douches ou je retrouve mon "voisin" qui se nettoie la queue encore raide. Pas, un mot, juste des regards.

Je l'imite et me retrouve rapidement seul sous la douche. Je ne vois plus Jean-Pierre, mais me dit que ce n'est pas plus mal car maintenant, j'ai envie de me laisser aller et de profiter pleinement de tous les recoins de l'endroit. En sortant de la douche, je vois que la salle vid�o s'est un peu anim�e. Il y a du monde, mais je ne vois pas ce qu'il se passe.

Sur la droite, je rep�re l'entr�e du sauna et y entre. Trois mecs sont dedans. Deux d'entre eux sont visiblement tr�s chauds et quittent l'endroit quelques secondes apr�s mon arriv�e. Je reste seul avec l'autre que je reconnais puisqu'il agit de mon "suceur". Je m'installe sur un banc � 2 m�tres de lui. Il ne tarde pas � me faire un petit geste et s'approche en parlant pour la premi�re fois. Il me dit qu'il est accro � cet endroit et me propose d'aller dans une cabine.

Ne sachant pas de quoi il s'agit, je temporise et tends ma main vers sa queue qui est toute molle. Sans h�siter, il se redresse et approche son membre de mon visage. Je profite que nous soyons seul pour d�couvrir la joie de sentir une queue raidir dans ma bouche. Intrigu� par sa proposition d'aller dans une cabine, j'arr�te de le sucer et lui dit que je suis pr�t � le suivre. Du coup, je ne me pose m�me plus la question de savoir o� est Jean-Pierre. Je sais qu'il ne me cherchera pas et ne fera aucun commentaire alors je profite. Nous redescendons d'un �tage avec nos peignoirs sur le dos. Arriv� dans la cabine, mon "suceur" devient tr�s c�lin.

Il m'enl�ve mon peignoir, se frotte � moi et je sens sa queue dure contre la mienne et contre mon ventre. Nouvelle pouss�e d'adr�naline pour moi...je me lib�re totalement et me frotte contre lui, le caresse et l'embrasse � pleine bouche. Je suis surexcit�, pr�t � tout. Je l'allonge sur une banquette dans cette cabine exigu�. Il est face � moi, les jambes relev�es et la queue en l'air. Je le suce doucement est me demandant ce qui va suivre et ce que je dois faire.

Je pose un doigt sur son petit trou et commence � y entrer doucement tout en acc�l�rant le rythme de ma bouche sur sa queue. Il a l'air d'appr�cier. Je n'ai pas fait attention � ce d�tail, mais la porte de la cabine est rest�e l�g�rement entrouverte. Tr�s concentr� sur ce que fais � mon suceur et sur la suite, je ne vois pas un mec entrer discr�tement. Je sens juste une pr�sence qui se concr�tise par deux mains qui le prennent les hanches et un membre gonfl� qui se plaque sur mes fesses. Surpris, je me retourne.

C'est un black, antillais super bien foutu. Toujours pr�t � tout d�couvrir cette fois-ci, je le laisse faire et reprends ma t�che sur mon "suceur" qui ne dit mot. L'antillais me caresse le dos et sa queue devient plus insistante. Je sens sa raideur entre mes globes et d�cide de le laisser faire.
Tr�s vite, il s'�carte de moi quelques secondes. Je ne regarde pas ce qu'il fait mais je me doute bien qu'il ne va pas en rester l�. Je profite du moment et de ma d�cision d'aller jusqu'au bout de ma premi�re exp�rience. J'entends le d�chirement d'un petit emballage et suis rassur�.

Sa queue fait � nouveau son apparition entre mes fesses, mais cette fois ci, je sens qu'il pointe son gland sur mon petit trou. Je deviens alors une v�ritable petite salope, la bouche pleine, branlant le cul de mon "suceur" et essayant d'ouvrir le plus possible mon anus pour sentir mon Antillais me p�n�trer. Je n'ai aucune id�e de ce que je vais ressentir, mal ou bien, mais appr�cie de sentir son gland forcer tout doucement la porte de mon cul.

Je n'ai pas mal du tout et au contraire, des picotements de bien �tre me parcourent le corps. Ses pouss�es deviennent plus franches et je pousse de petits g�missements pour lui faire comprendre que j'aime ce qu'il fait. Ses mains me tiennent de plus en plus fermement les hanches. Je sens que je n'ai plu le choix. Sa queue est d�j� � moiti� dans mon cul et j'aime �a. Il s'enfonce d'un coup � fond. Son ventre touche mes fesses et ses cuisses sont contre les miennes.

Je ne peux retenir un r�le de plaisir. J'arr�te d'aspirer mon "suceur" car j'ai besoin de pousser de petits cris chaque fois que mon antillais coulisse en moi. En revanche, je commence � le branler doucement. La belle queue qui me p�n�tre acc�l�re ses va et viens. Sans m'en rendre compte, j'acc�l�re, moi aussi mon mouvement de branlette sur mon "suceur" qui semble appr�cier le geste et la vue.

Concr�tement, je n'ai pas vu la queue de l'Antillais, mais je la sens grosse et dure dans mon cul. Je n'ai pas mal et au contraire, je me surprends � aimer ses coups de boutoirs et � avoir envie qu'il aille bien au fond de moi � chaque mouvement.
Ce que j'ignorais, c'est que j'allais le voir rapidement grossir encore en moi juste avant d'exploser en poussant son premier cri.

Il se vide dans la capote, mais je le sens tr�s bien jouir. Sans m'en rendre compte, j'ai tellement acc�l�r� mon mouvement de branlette sur mon "suceur" que celui-ci m'attrape par la t�te, me rapproche de sa queue et se vide dans ma bouche. Sans aucune r�ticence, j'avale tout en l'aspirant tout doucement jusqu'� la derni�re goutte.

J'ai encore le membre antillais au fond de moi. Quand il se d�gage, je ressens comme un grand vide. Il quitte la cabine sans dire un mot et je reste avec mon suceur et ma queue bien raide d'excitation. J'ai, moi aussi envie de me vider les couilles et je lui dit.

Il prend alors l'initiative, m'enfile une capote, se met sur le dos, les jambes en l'air et guide ma queue jusqu'� l'entr�e de son cul. Je m'enfonce tr�s vite en lui. Je l'entends g�mir de bien �tre et je vois sa queue devant moi qui raidit � nouveau. Comme pris de folie, je lui laboure le cul de plus en plus fort. Mes cuisses claquent sur lui, mes couilles se balancent contre ses fesses.

Je jouis tr�s rapidement et il se raidit et joui aussi sur son ventre. Je reste une minute dans lui. Nous �changeons quelques mots et d�cidons de retourner � l'�tage pour nous remettre de nos �motions. La salle vid�o s'est franchement anim�e, mais je ne vois pas Jean-Pierre.

La femme que j'ai crois�e tout � l'heure est maintenant allong�e sur une banquette, nue, et une dizaine d'hommes la matent, la caresse. L'un d'entre eux lui tient la main, comme s'il voulait la rassurer tandis qu'un autre lui l�che la chatte. Nous admirons le spectacle. Dans le groupe d'hommes, je rep�re l'antillais, une serviette autour de la taille. Il a sorti son sexe et se branle en regardant la sc�ne. Puis il s'approche, se met � genoux entre les cuisses de la femme et la p�n�tre.

Il sera le premier d'une longue s�rie que j'admire avec mon "suceur". Je n'irai pas plus loin ce jour-l� car je suis vid�, mais je me suis promis de retourner rapidement et seul dans ce sauna.

Apr�s m'�tre habill�, je consulte mes messages. Jean-Pierre m'attend dans un bar juste � c�t�. Je le rejoins et nous buvons un dernier verre avant de nous s�parer. Pas une seule remarque de sa part.

Bicoolfr

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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