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D�fonce aux toilettes.

Je me suis arr�t� sur cette aire de repos, un soir tr�s tard pour passer un coup de fil � mon �pouse, pour la rassurer. La semaine serait courte et je serai de retour � la maison d�s demain 13 heures.
;Peu de voitures sur l'aire. Il fait chaud et des mecs discutent entre eux pr�s du lampadaire.
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;Je suis en short, torse nu, et je me dirige vers les toilettes pour satisfaire un besoin urgent.
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;Il n'y a pas d'�clairage et je me dirige au toucher vers l'urinoir. Je sors ma queue et je sens de suite des mains retirer la mienne et prendre mon engin pour le maintenir.

Je sens le souffle court d'un homme dans mon cou, ce souffle chaud s'accompagne d'une grosse bosse que je sens au niveau de mes fesses. Il est torse nu comme moi, et au niveau de mes fesses je sens bien une barre qui se presse contre moi. Je finis d'uriner comme je peux, il �goutte rapidement ma bite, appuie sur la chasse et me retourne vers lui en me roulant le plus beau patin du monde.

Ma bite bande instantan�ment et tape contre ses abdos velus.
;Deux autres mecs qui nous observaient dans la p�nombre s'approchent de moi et m'oblige � me baisser vers la braguette de mon beau jeune homme.

En descendant je palpe ce corps d'athl�te, aux abdos saillants, aux poils tr�s drus, sans un soup�on de graisse. Son visage est tr�s jeune et son corps est celui d'un homme jeune puissant dans la pleine possession de ses moyens physiques et sexuels.
;Je me suis habitu� � la p�nombre et son jean laisse supposer un gros paquet au niveau de son entrejambe. Ses bras sont tr�s velus et tr�s puissants.
;Il appuie ma t�te contre son paquet et �mets un souffle rauque.
;Un des gars lui d�fait son ceinturon et baisse son pantalon, l'autre retire comme il peut mon short encombrant. Nous nous retrouvons tous les deux nus, lui me tenant la t�te et moi respirant la sueur et l'odeur de son sexe.

Sa bite est assez massive, ses couilles sont petites mais tr�s poilues.
J'embrasse sa queue ce qui a pour effet de la faire bander fa�on taureau. Elle est tr�s large et doit bien atteindre les 20 bons centim�tres.
;Je sens deux doigts qui forcent mon anus, pendant que j'entreprends d'engloutir son gland baveux. Pour me forcer � l'avaler il tire sur mes oreilles � me faire mal. La demande est tr�s virile et je me sens soumis � ses d�sirs. J'entends autour de moi des remarques d'hommes du style, ah la petite p�dale on va lui faire sa f�te ! Certain me donnent des fortes claques sur les fesses, d'autres me tirent les couilles en arri�re, mon beau gars m'oblige � faire une gorge profonde.

Je manque � chaque fois de m'�touffer.
;Sans m�nagement celui que je vais appeler R�mi, me baise litt�ralement la bouche avec son tr�s gros dard. Je sens son chibre qui palpite dans ma bouche, il grossit de plus en plus, je m'accroche � ses belles fesses muscl�es et poilues pour ne pas tomber. Les autres soit me tapent avec leur belles bites, me doigtent le cul, essayer de p�n�trer les oreilles, me tirent sur la teub, me prennent par les cheveux.
;Tout d'un coup le silence se fait plus pesant, R�mi �carte tout le monde d'un geste puissant, je me rel�ve, il est l� debout face � moi, sa queue forme comme un poteau en plein milieu de son corps, ses couilles ont presque disparues, la p�nombre fait ressortir ses biceps, ses abdos, les muscles de ses cuisses, ses poils bien drus, sa barbe naissante, les veines de sa grosse bite.
;Les hommes retiennent leur souffle, avec fermet� il me retourne et me fait pencher avant. Imm�diatement deux hommes prennent place devant ma bouche et me pr�sentent leur belle queue, ils me violent la bouche.

Derri�re moi R�mi demande � deux autres gars bien b�tis qui viennent d'arriver de m'�carter les fesses. Une lueur de lucidit� de panique me dit de m'�chapper de ce traquenard sexuel, mais les 4 hommes me maintiennent fermement. La p�n�tration va �tre in�vitable. Mes g�missements n'y feront rien, il va falloir subir... R�mi grogne et crache dans sa main, je sens qu'il m'enduit mon cul de sa salive �paisse. Le contact de ce fluide me fait ouvrir sans ma�trise mon anus qui se contracte � chaque toucher.
;Les gars respirent fort, ce WC sent la sueur d'hommes pr�ts � jouir �go�stement...
;Le claquement que la capote rapproche de plus en plus la p�n�tration sauvage de mon corps.
;Je retiens ma respiration, je sens le bout du gland de R�mi se poser sur mon orifice il me l�che de sa voie grave tu vas te souvenir de moi demain, en marchant, en chiant, en t'assoyant. Sa salive a l'air d'acc�l�rer la progression de sa bite, mon cul tellement sensible que je peux deviner m�me ses grosses veines. J'arr�te de sucer mes deux gars pour souffler comme une femme qui accoucherait dans l'autre sens. Des gars me tapent violemment sur les fesses pour d�tourner la douleur, mais R�mi me p�n�tre virilement sans se pr�occuper de ma souffrance.
;Ils doivent se conna�tre tous les cinq parce qu'ils rigolent quand des larmes perlent sur mes joues.

Je m'accroche aux reins d'un mec pour ne pas tomber. R�mi puissamment me poss�de maintenant de toute la longueur de sa belle bite. Je me sens investit comme avec un �ne.
;Mais l� au lieu de me laisser m'habituer � l'engin, il se met de suite � le retirer avec force et me l'enfoncer de plus en plus profond. Cette puissance de douleur se transforme petit � petit en plaisir. J'ai l'impression que mon cul mouille et que la p�n�tration se fait plus facilement, avec plus d'aisance. Le bruit que fait cette bite en sortant me rends fou, il y est question de chair qui sont tritur�es, malax�es, �chauff�es. Quand R�mi m'attire vers lui pour la p�n�tration, je recule pour mieux me d�foncer, les gars rigolent m'insultent, un 6�me homme s'approche de ma figure et m'urine au visage de sa pisse �cre et ti�de.

Ma prostate est en vrac, ma bite vit toute seule ce viol acad�mique, je suis au maximum de bandaison, tous les gars prennent quand m�me piti�s de moi et me caressent de partout, chaque main provoquent en moi un d�cuplement de sensations. Leurs mains viriles, calleuses, poilues valorisent mes cuisses, mes mollets, mes abdos, mon entrejambe, mes cheveux.
;Je sens que je d�faille parce que R�mi, acc�l�re soudainement le rythme, il doit suer sur mon dos, de sa sueur chaude et sentant fort d'homme en train de prendre du plaisir.
;Sa bite n'a plus aucune r�sistance, mon cul est devenu chatte pour ce bel et jeune �talon.
;Mes jambes me l�chent, je ne peux tomber car les hommes me tiennent, je sens une vague incroyable de jouissance qui part de mon anus qui traverse mon corps et qui me fait hurler en �jaculant tant de sperme. Tant de liqueur qui se m�le � celle des mecs pr�sents, quant � R�mi, il m'attrape par les �paules, et se soude � moi dans un coup de final magistral.
;Il reste en mois ainsi plusieurs secondes, sa grosse bite ne semble pas vouloir d�gonfler, alors que tous les mecs remontent leurs pantalons, leurs shorts, leurs slips, lui capote pleine recommence � me bourrer. Ce travail � nouveau provoque dans mes entrailles des sensations nouvelles. Je suis repu et je dois subir encore des coups de boutoir de ce m�le en rut. Je r�le mais les autres hommes me tiennent avec force, leur sueur me fait encore bander, mais j'ai la fatigue dans les yeux, le d�go�t de ce chevauchement, la peur que la capote se d�chire, la chaleur de mon cul qui grandit rapidement, ma bite se mets � juter sans que j'y fasse quoi que ce soit comme si ma prostate �tait press�e de l'int�rieur, cette jouissance me fait voir des �toiles, mes jambes fl�chissent � nouveau. Je ne peux plus serrer mon anus qui est dilat� au maximum. R�mi d�cule d'un coup puis m'asperge sur mon dos d'un flot de semence encore important.

Les gars me l�chent d'un coup, je tombe � terre, vid�, ma t�te heurte le sol, et rencontre des flaques grasses de sperme et d'urine m�lang�s.
;R�mi se nettoie la bite avec de l'eau, fier de sa prestation virile, sa grosse bite est encore �norme comme si elle disposait de ressources, pr�te � d�foncer un petit cul comme le mien.
;De sa voix forte il dit c'est bien les gars vous m'avez bien aid�, et toi petit encul�, je vois que tu as bien pris ton pieds, belle soir�e.

Les gars un a un quittent les toilettes, un touriste allemand entre et gueule quelque chose, je me l�ve avec difficult�. J'ai du mal � marcher jusqu'� ma voiture. J'entends des r�flexions, des rires forts, mais je n'en ai cure, j'ai pris un pied gigantesque.
;Je suis d�charg� pour au moins 15 jours.
;Le jeune qui m'a poss�d� me regarde de loin avec un grand sourire, il me l�che. tu vois en suis en toi, pour pas mal de temps encore, il est beau l� sous le lampadaire, torse nu, son jean exprimant encore une tr�s grosse bosse, son ventre plat palpitant de sueur et de force.
;Il fume et ses biceps me font encore kiffer.
;J'ai du mal � ouvrir ma voiture, je m'assoie non sans une grimace, j'appuie sur la fermeture centralis�e et commence � sommeiller.
;Je vois des mecs qui s'avance vers ma voiture en se touchant le sexe, mais mes yeux se ferment, fatigu� et repus.
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;J'en bande encore.

Le SEPT

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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