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Quand un DEP' se fait tailler par un PUTE...

C'�tait une fin d'apr�s-midi �touffante.
La session de l'assembl�e venait de s'achever quand DEP', l'air extr�mement contrari�, se pr�cipita aux toilettes. Il �tait en nage sous sa chemisette noire, sangl�e d'une cravate en soie indigo. Ni une, ni deux et sans s'assurer d'�tre seul, il sortit son braquemart pour se soulager et aspergea bruyamment l'urinoir. Au lavabo, PUTE se retourna :

" Eh bien, le moins que l'on puisse dire, c'est que vous en aviez sacr�ment envie !
- �a t'd�frise, l' barbu ?
- Non, non, c'est que...
- Allez, vient par l�, toi ! �a m'd�mange depuis le d�but de c'te putain d'r�union ! "

Avec une rapidit� de fauve et le sexe encore gouttelant, DEP' empoigna PUTE par sa cravate bleu ciel et plongea sa langue dans son gosier. PUTE esquissa un mouvement de recul, mais DEP' le plaqua dos au mur, tout en poursuivant son agression buccale. Les mocassins de PUTE gliss�rent sur le carrelage, ses jambes �taient tremblantes, il �tait dans tous ses �tats. DEP' lui susurra alors :
" Tu sais, l'barbu - j'peux t'appeler le barbu, au fait ?- j'ai une autre envie. Et c'est de toi.
- Mais qu'est-ce qui vous prend ? Un peu de tenue, gros pervers !
- Oh mais si tu le prends comme �a, �a va faire mal !
- L�chez-moi, bon sang ou j'appelle la s�curit� !
- j'vais t'en foutre d'la s�curit�, moi... "

DEP' d�f�t en un instant sa cravate et s'en servit pour b�illonner PUTE. Il le poussa alors violemment en direction d'une cabine. La porte claqua et PUTE se retrouva � terre, dans un coin. Groggy, il retira la cravate, releva la t�te et �carquilla les yeux d'effroi : DEP' se tenait devant lui l'air conqu�rant et le sourire affam�, les mains sur les hanches et l'entrecuisse de plus en plus bomb� sous son pantalon noir.
DEP' referma alors la porte derri�re lui. Il d�crocha sa ceinture, d�boutonna son pantalon noir et le laissa tomber sur ses mollets. Il ne restait plus que son slip blanc d�form� sous la pression. Les cuisses de DEP' �taient �paisses et poilues et ses mollets bien galb�s par ses mi-bas noirs en fil d'�cosse.
" Renifle, dit-il de sa voix grave.
- je vous en prie, g�mit PUTE.
- Renifle.
- Mais, je... " g�mit � nouveau PUTE avant que l'autre ne lui plaque la face sur son slip blanc d�j� t�ch�.

DEP' se frotta langoureusement sur cette t�te chauve qui �mergeait � peine de sous son ventre. Ses deux mains maintenaient la t�te de PUTE qui commen�ait � s'agiter dans tous les sens. Il le rel�cha d'un coup, ce qui permis � PUTE de reprendre son souffle. Ce dernier �tait � genoux, haletant et le costume froiss�. Il essaya de se relever, mais il sentit comme deux �normes pattes s'appuyer sur ses �paules.
" Rest' � genoux, putain ! ", s'exclama DEP', exc�d�.
PUTE se sentit � nouveau plaqu� sur l'entrecuisse de son agresseur, mais ne trouva pas le slip.
" Gobe ! ", cria DEP'.

PUTE ne pu r�sister plus longtemps et avala le p�nis entier. En raison de l'urine, le go�t �tait tr�s fort et, pris de d�go�t, il essaya de reculer. Mais � chaque fois, DEP' le retenait de plus en plus fermement. Vaincu, PUTE commen�a alors un mouvement de va-et-vient, tout en s'agrippant aux fesses de DEP', recouvertes par sa chemise.
" Humm, c'est �a, plus vite... ", dit DEP' � haute voix.

PUTE s'ex�cuta et le su�a de plus en plus fr�n�tiquement, tandis que DEP' commen�ait � gigoter les cuisses, ses bras se tenant aux parois fines de la cabine des toilettes de l'assembl�e.
" ARGHHH !!! ", hurla DEP'.

Les deux hommes rest�rent immobiles encore un instant, puis DEP' se retira de la gorge de PUTE, se frotta le p�nis, redevenu moins dur, sur son visage et remonta son slip et son pantalon. Tout en raccrochant sa ceinture, DEP' lui balan�a au visage :
" Apr�s une journ�e d' merde comm' aujourd'hui, c'est fou comme j'm'sens mieux. T'avoir mat� sous cette chaleur, �a m'a compl�t'ment d�glingu�, mais bon, l�, j' t'ai bien eu, l'barbu. "

Sans attendre une �ventuelle r�ponse, DEP' releva PUTE, flageolant et br�lant, et l'embrassa vigoureusement avant de le pousser sur la cuvette. Juste avant de partir, il se retourna :
" Au fait, l'barbu, un mot � quelqu'un et la prochaine fois, j't'encule. "

TONIO

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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