DamienIl s'appelle Damien, il a 20 ans. Damien est super mignon, avec ses cheveux blond m�ch�s en batailles, il est de taille moyenne, menu, un petit cul d'enfer qu'il roule � chacun de ses pas. Il a des yeux verts, une petite fossette � la commissure de ses l�vres. J'ai envie de Damien depuis ce jour o� je suis all� dans son salon de coiffure et qu'il m'a fait un shampoing, puis coup� les cheveux. Seulement, voil�, j'ai 37 ans, donc je me suis tout de suite �pargn� une veste en ne le draguant surtout pas. Je me suis donc born� � �changer avec lui des propos courtois que je pensais sans cons�quence. Tout de m�me, la seconde fois que je suis all� dans son salon, je n'ai pas fait myst�re de mon orientation gay. De sorte que nous avons tout de suite accroch� ensemble. Le fait de discuter librement avec un mec plus �g� l'a peut-�tre rassur� et, petit � petit, s'est laiss� gagn� � une certaine complicit� entre nous. Un jour, alors que son salon de coiffure allait fermer, il m'a propos� de prendre un verre apr�s son travail, ce que j'ai �videmment accept�. Mais quelle torture ! A la table du caf�, je ne pouvais d�tacher mon regard de ses yeux, de ses l�vres tandis qu'il sirotait la paille de son Coca. Ses mains sont fines, belles et je surprends � imaginer ses doigts occup�s � une activit�, on va dire, plus ludique. Sur la banquette, il �tend ses jambes, puis les ram�ne, il ondule de gauche � droite, ce qui lui donne un air interrogateur, manifestement, mon avis (sur les mecs, la sexualit�, le couple.) l'int�resse. Bref, je suis son sage. M�me si cette �tiquette ne me convient pas, je joue le jeu, puisque c'est le seul r�le que je peux avoir avec lui en l'absence de tout autre contact. Que c'est frustrant. Nous nous quittons vers 20h00 et il me demande si le lendemain samedi je serai libre puisqu'il a pour projet de faire un peu de shopping et une s�ance d'essayage, il voudrais, l� aussi mon avis (mais il va me rendre fou � la fin !..). J'accepte de le retrouver le lendemain vers 15h00 pr�s des boutiques. La torture continue : Il essaye � pr�sent un jean et se regarde dans la glace, de face, de profil, de dos en tournant la t�te d'un quart de tour, l'oEil malicieux qui me toise, manifestement content de l'effet qu'il procure sur moi. Et ce n'est pas peu dire ! Pour �tre bien s�r de son achat, il s'est d�nud� le torse, de sorte que ses petits pectoraux saillants se d�voilent � moi, bien durs, saillants, surmont�s de petits t�tons � croquer. Il est pieds nus, ce qui lui donne dans sa d�marche un d�hanchement suppl�mentaire. Comble d'ironie, la vendeuse nous observe et, certaine d'avoir affaire � un couple, le conseil en m'adressant des regards afin d'obtenir mon approbation. En sortant il me propose de venir dans son studio pour m'offrir un caf� " pour me remercier de l'avoir accompagn� ". Il habite � deux pas. Pour moi la torture continue, lorsque, chez lui, il entreprend de se d�habiller pour la n-i�me fois afin d'essayer toutes les combinaisons possibles de fringues. Et c'est ainsi, tandis que j'ai un verre � la main, j'assiste � un d�fil� devant moi, durant lequel il se d�hanche, les mains sur les fesses avec, tant�t un pantalon de cuir, tant�t un jean en retournant de temps � autre dans sa salle de bain. Le doute n'est plus permis, ce petit mec cherche � m'allumer. Il n'a pas beaucoup d'effort � faire et il le sait. Seulement, se sachant, inaccessible puisque toute tentative de ma part serait per�ue comme �tant d�plac�e, il en rajoute. Enfin, il me dit qu'il va aller prendre une douche et pr�cise imm�diatement que je peux rester, alors que je faisais mine (mais mine seulement !) de me lever afin de m'�clipser poliment. Quelques minutes s'�coulent et il revient, en se frictionnant la t�te avec une serviette. Mais enti�rement nu ! Il va chercher une cr�me sur son �tag�re et continue, comme si rien n'�tait � me parler librement ! J'ai �videmment la certitude que son attitude n'est plus �quivoque, elle est irresponsable ! Un autre que moi l'aurai d�j� viol� ! D'autant que cette fois-ci, je ne fais rien pour d�tourner le regard : Un sourire gourmand que je ne peut r�primer illumine mon regard devant ses formes divines : Ses �paules et son torse que je connaissait d�j�, sa croupe ronde, dessin�e mieux encore par ses reins incurv�s, son petit cul lisse, mais surtout, son sexe magnifique, long et semi-rigide, recouvert d'un pr�puce � demi d�calott� d'une beaut� inou�e, � peine ombr�e par des poils ch�tains, camp�e d'une une paire de couilles que l'eau de la douche avait partiellement durcie. Je ne l'entendais plus parler : Je le d�vorais du regard, j'admirais ses longues jambes muscl�es mais fines l�g�rement �cart�es face � moi, et ceci � peine � 1 m�tre de moi ! Le r�ve s'arr�te brusquement, il interrompe mes pens�es devenues franchement lubriques et me dit d'un air coquin et amus�: Et l� dessus, ni une ni deux, il se mets � cheval sur moi et me roule une pelle d'enfer. Je sens son sexe se durcir sur mon ventre tandis que j'imagine ses couilles battant au rythme de son va et viens � peine perceptible, tamponner l�g�rement les boutons de mon jean. Je mets mes bras autour de ses reins et, tandis que je r�ponds � ses ardeurs avec des baisers langoureux, je ne peux m'emp�cher de baisser les yeux vers sa queue compl�tement raide � pr�sent qui recherche le contact le plus appuy� avec moi. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il m'a compl�tement d�sap�. Nous sommes � pr�sent enti�rement nus l'un contre l'autre, nos sexes r�unis se frottent face � face. Il descend le long de mon torse, me mordille, me donne des petits coups de langue sur le gland puis avec ardeur et douceur me suce avec des petits g�missement de satisfaction. Je crois �tre sur une autre plan�te. Clic-Clac fait le canap�-lit, rapidement mis en place par mon petit amant en position couchette. Avec assurance et rapidit�, il est � pr�sent sur le dos, d'une main me fait venir contre lui, me mordille l'oreille, passe sa main sous mes couilles et sur ma queue afin de s'assurer de sa rigidit�. V�rification bien inutile ! Mon sexe lui darde les couilles, fouillant en dessous, limant sa hampe, tournant sur son gland. Ses jambes sont �cart�es, je lui tiens les mains au dessus de sa t�te tandis que je l'embrasse. Il me demande dans un souffle -" Prends-moi, prends-moi ", et me d�roule un pr�servatif sur mon chibre d�j� pr�t � exploser. Mais auparavant, je veux go�ter � son sexe que je mets illico dans ma bouche, souvent je m'arr�te pour admirer sa queue et voir ce petit mec tant convoit� et inesp�r� se tortiller sous les assauts de ma langue. Puis enfin, lui m�me donne le signal en se mettant un coussin sous ses reins. Cela me d��oit un peu, puisque j'avais envisag� de le prendre en levrette, son petit cul m'ayant litt�ralement fascin�. Mais je ne me sens pas prendre le risque de le contrarier en le retournant et lui doigte la rondelle dont il vient, sans y para�tre de s'enduire de gel. Un doigt, puis l'autre, je fouille, je me d�lecte. Ses genoux qu'il tient avec les mains sont �cart�s au maximum. Enfin, n'y tenant plus, je l'enfourne sans autre forme de proc�s. Je donne des longs vas et viens, doucement, non pas que j'ai peur de lui faire mal (son petit cul quoique un peu serr� est bien dilat�) mais, en fait, j'ai peur de jouir trop vite. C'est lui qui m'encourage � aller plus vite, tandis que d'une main, il empoigne sa queue pour bien la maintenir vers lui (ce qui me frustre un peu car il la cache et que j'aime bien reluquer le sexe de mes amants), et, de l'autre, se mordille le pouce afin de r�primer ses petits cris. Sentant qu'il est fatiguant pour lui de se maintenir ainsi tandis que je le labour alors qu'il a les jambes �cart�es dans le vide, je les prends afin que la plante de ses pieds nus se retrouvent pos�es sur mon torse. Quelle sensation ! Ses pieds sont doux et, comprenant qu'il peut en tirer partie, il me caresse les hanches et le torse avec. En guise de remerciement, tandis que je suis encore en lui, je lui en attrape un et me d�lecte � lui sucer les orteils, lui l�cher la plante, ce qui redouble ma vigueur et ses cris. Je sens que je vais jouir, de plus, la position devient difficile � tenir : Mes genoux glissent sur le lit et, � chaque coup de boutoir, je suis oblig� de les remettre plus avant. Je d�cide alors enfin de retourner mon amant. Il se laisse faire avec docilit�, non sans me rouler une pelle de gratitude au passage, ce qui m'encourage encore plus pour la suite. Une fois sur le ventre, je le fais venir vers moi en lui attirant les hanches vers moi, de sorte que la position de levrette qu'il adopte est la plus jolie que je n'avais vu jusqu'� pr�sent : Ses jambes sont �cart�es avec une souplesse que je n'avais jamais vu. Son cul est bien d�gag� gr�ce � la cambrure de ses reins et son ventre est presque encore pos� sur le lit tandis que sa rondelle se retrouve � la hauteur id�ale offerte � mon chibre. Je le lui rentre imm�diatement tandis qu'il �touffe � pr�sent ses cris la face coll�e dans son oreiller. Sa main passe sous lui et m'encourage en effleurant mes couilles dans un mouvement incertain � cause de mes mouvements de reins. Mais je sens que cette fois-ci je vais jouir rapidement, d'autant que ma main droite est pass�e devant lui � pr�sent afin d'aller flatter sa queue toujours aussi raide. Le contact de son sexe si doux et si raide dans la paume de ma main, tandis que je le laboure me rend fou. Le souffle court, je lui annonce que je vais jouir, il m'encourage � le faire par des -" vas-y, vas-y, viens !. ", il tourne la t�te de c�t� et, au moment o� j'explose litt�ralement, sa langue fouille la mienne alors que je lui serre le gland en esp�rant y sentir sa liqueur se d�verser dans ma paume en m�me temps que je me lib�re en lui. Mais c'est trop tard, d�j� dans un r�le profond, je jouis comme jamais avec la tripe sensation de me d�verser en lui, sa queue dans ma main droite et sa langue me fourrageant furieusement. Alors, je me retire et il se place � genoux, toujours dos � moi. Ma queue, lib�r�e de sa capote, est en demie �rection. Elle effleure la raie de son cul, de sorte que, quelques secondes � peine apr�s, elle retrouve une certaine rigidit�. Damien en joue en se frottant de plus belle contre mon chibre que j'ai mis � la verticale, ench�ss� entre ses fesses d'ange. Il et vrai qu'il n'a pas encore joui, alors, son excitation est encore son comble. Tournant la t�te comme il sait si bien le faire, il me galoche de nouveau, s'assurant de sa main droite du d�sir intact de ma queue qu'il branle tr�s doucement, jouant du pouce et de l'indexe sur mon gland. Le message est clair : Il exige � son tour sa ration de jouissance. Alors je le branle avec mes deux mains, l'une occup�e � flatter ses couilles, l'autre toute d�di�e � la hampe de son membre d'amour pour lequel qu'il me traverse l'id�e de sucer afin qu'il se d�charge dans ma bouche. Mais mes mouvements saccad�s de mes mains produisent bient�t la lib�ration du jus de mon bel amant qui, tout en m'embrassant, g�mis de plaisir. Sa liqueur que je n'ai pas go�t�, gicle par flots saccad�s loin sur la couette, puis perle dans ma main. Je n'arr�te pas le mouvement, je l'acc�l�re l�g�rement, plus ample, plus profond, bien d�termin� � le vider totalement. Ce qui est fait maintenant, bien que mon amoureux continu, de son c�t� � me branler, ajuste le rythme de cette branlette sur moi de sa main douce et experte. Si bien, que de mon c�t�, il me faut peu de temps pour le rejoindre au septi�me ciel. Mon jus, moins copieux que le sien � cause de ma jouissance pr�c�dente, lubrifie sa raie, tandis qu'il me malaxe doucement les couilles. Mais l'avenir me d�trompa : Il m'accueilli toujours aussi gentiment dans son salon, mais pour le reste ne me sollicita plus jamais, les d�placements de son petit copain ne se reproduisant plus. Et c'est le coeur serr� qu'un jour, en passant devant son salon de coiffure, je le vis avec un bel �ph�be de 18-20 ans qui venait le chercher et lui fit un doux smack. Tandis qu'ils me croisaient tous les deux en repartant, Damien m'adressa un beau regard profond en se mordant la l�vre dans un dernier geste de provocation. JulienR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |