Damien et son fr�reLa lumi�re des lampes est tamis�e. Le salon aux murs vert bouteille dans lequel nous p�n�trons n'est pas bien grand. Deux canap�s en toile cir�e font l'angle, une lampe sur pied avec un abat-jour beige dans le coin. La fen�tre du mur de droite, au dessus du premier canap�, est ouverte. Les rideaux sont tir�s. Dans le mur d'en face, se trouve une porte en bois, ferm�e.
- Tu h�sites ? Je me pose sur le canap� de la fen�tre. Il m'observe, les yeux mi-clos, accroch� � sa cigarette. La porte en bois s'ouvre, et deux filles nues me font face. - Debbie, la rousse et Nicole, la blonde. Me faisant les pr�sentations, mon h�te ouvre une bouteille. Il sort cinq verres du dessous de la table et nous sert un vin rouge. Les deux filles, timides, fixent le lino. N'ayant probablement pas plus de dix neuf, vingt ans, elles paraissent fragiles et inexp�riment�es.
- Debbie et Nicole sont chez moi depuis deux jours maintenant. Elles causent pas beaucoup, mais je crois que la vue qu'elles m'offrent chaque jour me suffit. Approchez, n'ayez pas peur de mon jeune ami.
J'ai rencontr� Damien en bo�te gay sur Nice. Je n'y suis all� que pour satisfaire mes potes homos. Je n'avais aucunement l'intention de faire de nouvelles exp�riences. Le son me plaisait, je rigolais toujours bien dans ces lieux. Cette nuit l�, ce jeune gars, trente ans pas plus, plut�t grand, plut�t brun, plut�t belle gueule, me d�visageait dans un coin de la bo�te, avec insistance. Quand je me pris un verre au bar, il est venu me parler. Un gars pas de la r�gion, ici pour les vacances. Il n'�tait pas gay, comme moi, mais ne me confirmait pas non plus qu'il n'aimait que les femmes. Me voil� donc chez lui, et ces deux mignonnes devant, g�n�es comme tout. Elles s'assoient chacune aux c�t�s de Damien et prennent un verre. Enfin Nicole me parle :
- Tu viens d'o� ?
- Assez parl� les filles, dit Damien, toujours la clope au bec. Il ouvre sa braguette, sort de son jean une bite demie molle d�j� bien �paisse. La vue de cette bite ne me laisse pas indiff�rent. Il prend par la nuque la rouquine � sa gauche et m�ne son visage entre ses jambes, sans m�nagement.
Nicole se l�ve, et se plante devant moi. Je la regarde de bas en haut, j'appr�cie la vue de sa belle chatte blonde, tondue en ticket de m�tro qui me fait face. Ma bite r�agit illico, je commence � bien bander.
- Alors ? �a te pla�t ? Damien se l�ve, se dessape enti�rement. Il recule la table basse contre le mur, � c�t� de la porte d'entr�e, et dispose Debbie sur le canap�, les jambes �cart�es. Il d�laisse sa cigarette, s'accroupie et lui l�che la chatte en lui caressant le clito. Nicole s'�tant lev�, rejoint le couple et embrasse la rouquine � pleine bouche, lui malaxant ses petits seins. De mon c�t� je me dessape, range mes fringues non loin de la table, et commence � me palucher en les regardant. Je commence � �tre grave excit�, ces deux gouines qui se tripotent et qui se mangent la bouche, et aussi Damien, de dos, accroupi, le visage enfoui entre les cuisses d'une fille, son dos cambr�, ses fesses rebondies ; je ne sais pas ce qui m'excite le plus. Des clefs tournent dans la serrure de la porte d'entr�e. Surpris, je fous vite fait mon tee-shirt sur ma teub. Le trio ne semble pas avoir entendu, et continue de plus belle. L�, un mec rentre. Un jeune gars, 18 ans. Plus petit que moi, fin, ressemblant curieusement � Damien.
- On attendait plus que toi, dit Damien se retournant sur l'ado.
L'ado me regarde, mi �nerv�, mi intrigu�. Puis il part vers l'autre porte, dispara�t un petit moment. Court moment pendant lequel Damien a commenc� � planter son chibre dans la chatte de la rouquine. Elle g�missait, pendant qu'il lui chuchotait des insultes du genre " Tiens, ma belle pute, r�gale-toi. Tiens salope, t'aime te prendre des coups de bites hein ? " - Eh gars, reste pas seul. Regarde cette belle chienne qui t'attend, Occupe-toi d'elle. A ses mots je ne me fis pas prier. Je me levai, restais debout, et mis directement ma teub sur la bouche de Nicole. Surprise, elle ouvrit les yeux et tenta par r�flexe de s'enlever, mais j'agrippai son visage de mes deux mains, et lui enfon�ait ma bite entre ses l�vres. Elle ne se refusait plus. Elle prit ma bite en gorge profonde et d�buta des va et viens sur le long de ma tige, comme une reine. Elle pompait avec fr�n�sie, comme une pute, elle me regardait avec envie. Moi �a m'excitait, je lui tenais d'une main ses cheveux, et de l'autre je sortais parfois ma teub pour la lui tapoter sur le visage. A cet instant, l'ado rentra. Nu, immobile dans l'embrasure, il me fixait. Il �tait bien jeune mais avait un corps d'athl�te, muscl� sec, avec une bite mi molle, impressionnante, reposant sur une lourde paire de couilles. Il s'approcha de moi, moi je ne savais plus quoi faire. Je m'inqui�tais, Je m'�tais convaincu que je ne serais pas tomb� dans un pi�ge de gays. Il commen�a � caresser mes �paules mais je lui enlevai directement sa main, je reculais et tr�buchais sur le canap�.
- Eh doucement gars, il veut juste s'amuser avec toi. Damien se l�ve, la bite band�e raide et vers le haut, un bon 18 centim�tres majestueux, et s'assied � c�t� de moi dans le canap. - Je vais te dire un truc, le jeunot que t'as devant toi est certainement le meilleur coup que tu n'aura jamais l'occase de go�ter si tu te casse. Fais-moi confiance, moi les mecs c'�tait pas mon kiff non plus. Jusqu'au jour o� ma pute de fr�rot veuille de ma queue. Je t'assure, jamais je n'ai eu telle sensation que call� dans sa bouche, et pour le reste je t'en parle m�me pas.
Tout en parlant, il me caressa la cuisse. Il finit de me convaincre en m'assurant que c'est une exp�rience � faire. Les deux mignonnes en avaient profit� pour se gouiner puis sont sorti du boudoir, en fermant la porte derri�re elles. Maxime, le jeune fr�re se cala alors � mes pieds et commen�a une fellation royale. Son fr�re avait une main dans ses cheveux et m'embrassait le cou, me l�chait le lobe des oreilles. Je ne savais pas trop quoi faire, aussi j'accompagnais la main de Damien sur la t�te de Maxime et de l'autre main je caressais le dos et les fesses de mon h�te.
Je restais assis, compl�tement retourn� par leurs caresses et l'incongruit� de la sc�ne. C�dric me su�ait la bite comme jamais on a pu me le faire. Parfois des potes � moi se sont tent�s mais jamais je n'avais trouv� autant de plaisir. Il y mettait tellement de finesse et de gourmandise. Il lapait mon gland puis l�chait de la pointe de sa langue le long de ma tige, enfournait dans sa bouche mes couilles, puis reprenait la succion profonde de ma queue enti�re, ingurgitait mes dix sept centim�tres pourtant bien �pais sans probl�me, caressait de ses mains ma hampe, titillait par la m�me occasion mon anus... Je n'osais rien dire, je paraissais fig�, sous ses chaudes entreprises, et sous les caresses �lectrisantes de son fr�re. J'avais comme des mini-spasmes de g�nes, un tic nerveux. - Ne trouve-tu pas mon fr�re magnifique ? Matte-moi ce regard lubrique sur un visage paraissant si innocent... Il n'avait pas tort. Le gar�on me tendait son regard jusqu'au mien, avec sensualit�, tout en me branlant. Il avait arr�t� sa fellation pour nous observer. Je n'en pouvais plus d'�tre aussi bloqu� par l'exp�rience, mes nerfs tiraient dans mes bras et mes jambes et j'avais l'impression d'�tre paralys�. - Essaie de te d�tendre, me dit C�dric. Si tu te d�tends, je te promets de passer la nuit la plus �mouvante que tu puisses imaginer. Damien se retira de mon dos et s'agenouilla aupr�s de son fr�re, il le prit par l'�paule. - Observe bien.
Il posa ses l�vres contre celles de son fr�re, devant moi. Ils s'embrasaient sans g�ne, ces deux �ph�bes incestueux. Leurs langues se m�laient avec passion, les mains de Damien se promenaient sur l'�chine de son petit fr�re quand celles de C�dric, elles caressaient le doux visage, la nuque, s'engouffraient dans les cheveux du grand fr�re. Ils ne se l�chaient plus. Et moi, hypnotis�, je les regardais, je languissais de les rejoindre et � la fois, j'�tais troubl�, p�trifi� par la sc�ne. Une telle sc�ne dont on ne r�ve qu'avec d�go�t de soi-m�me... J'avais conscience de la teneur glauque et interdite de la chose et �a me p�trifiait. - Continue, je crois qu'il aime �a. Alors, je lui en mi une autre, un peu plus forte, et de plus belle il se mit � g�mir. J'�cartais ses fesses, et plongeais mon visage entre. J'embrassais sa rondelle, lui l�chais le pourtour, je p�n�trais son cul de ma langue et il g�missait langoureusement ! Je n'en pouvais plus, je me suis rehauss�, et j'ai point� ma queue vers sa rondelle. Je n'avais pas envie d'�tre tendre, je voulais le poss�der le plus vite possible. Aussi, je l'ai enfil� d'un coup sec. Il a cri� de mal, mais ne m'a pas fait sortir. Je suis rest� un moment pour qu'il s'habitue.
- Qu'est-ce que t'attends ?! D�fonce-moi le cul ! Lime-moi, je veux que tu me baises comme une chienne, comme une salope !
Je me mis � lui limer le cul le plus fort et le plus rapidement possiblement possible. Je voulais carr�ment lui d�chirer la rondelle devant son fr�re. Il g�missait fort, il criait de plaisir ! - A toi d'y go�ter. J'appr�hendais un peu, toujours en enculant son fr�re, puis sans r�fl�chir, j'ai plaqu� mes l�vres sur le gland de Damien. Il me prit le visage entre ses mains, et commen�a de longs vas et viens dans ma bouche. Je me laissais faire et trouvait �a excitant. Je transpirais de mes �bats avec C�dric et de la chaleur qui a pu �maner de nos corps. Je commen�ais vraiment � prendre plaisir d'avoir cette masse de chair dans la bouche, je sentais son liquide, je le go�tais avec excitation. Puis d'un coup, il se fit plus violent, me prit litt�ralement la bouche, me la baisa comme un trou � jus. Il se branla dans ma bouche avec une telle fr�n�sie. Je suivais la cadence enculant C�dric et bient�t je n'en pouvais plus, je me sentais venir au m�me moment o� je sentais la queue de Damien tressaillir dans ma bouche, et dans un m�me cri de jouissance, nous gicl�mes l'un l'autre en m�me temps. Il m'inonda la bouche et le visage de son sperme. Il me vidait tout sur le visage en r�lant, de m�me que je recevais tout en me vidant les burnes dans le cul du petit fr�re qui avait contract� son cul au bon moment. Je lui remplissais le ventre de tout mon sperme. Ereint�s nous nous sommes �croul�s sur le tapis, tous les trois ensemble. Le sperme de C�dric nous collait au dos. Il avait jouis au m�me moment. Nous respirions fort... Apr�s quelques moments, C�dric posa sa t�te sur mon torse. Je ne fus plus surpris d'aucune preuve d'affection entre homme, et j'acceptais avec bonheur son corps contre le mien. Son fr�re se cala contre lui et nous dormions ensemble... La suite, si vos commentaires me le sugg�rent. AlcibiadeLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |