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Boeing 777 - Crache...

Cela fait une heure et demi que nous avons quitt� Atlanta, le vol est calme.
Nous sommes confortablement plac�s sur les si�ges des issues de secours, en face d'une cloison de s�paration, deux m�tres devant nous pour �taler nos jambes.
L'�quipage nous a d�barrass� et a plong� la cabine dans le noir.
C'est l'heure de dormir si nous voulons arriver � Paris pas trop d�cal�s.

Je m'abrite sous une couverture, cale ma t�te dans le hublot.
J'avais envie d'une g�terie, je t�te une chuppa-chupp aux fruits et je m'endors doucement...

Mais, c'est le sommeil du requin. Je suis immobile, la conscience presque perdue, mais le pr�dateur est vigilant...
Dans mon demi-sommeil j'ouvre un oeil et j'ai l'image d'un homme en face de moi, dos coll� � la cloison. Je referme les yeux.
A peine un peu plus �veill� je soul�ve une paupi�re.

Je vois cet homme qui regarde � cot� de moi. Mon regard descend et je vois une grosse bosse dans sa poche droite.
Warning - Alerte, le squale se r�veille !
Je fais l'�tat de lieux.

Un mec, 30 ans, grand, mignon, bande dans son pantalon en regardant mon mec assis � cot� de moi !
Je tourne la t�te et je vois mon cher et tendre avachi dans son fauteuil, jambes bien �cart�es et t�te pench�e, qui minaude en titillant un b�ton de sucette.

Je r�ve ! Ils font quoi ces 2 l� ?!? C'est quoi cette drague � 1000 k/heure !
L� le mec se masse carr�ment la bite dans sa poche et bande plus fort.
Quel culot !

Non pas qu'il drague mon mec, c'est plut�t flatteur mais rendez-vous bien compte qu'on est sur une premi�re rang�e de 3 si�ges, qu'un homme assis avec nous voit exactement la m�me chose que nous, que le local des h�tesses est juste � cot� et l'�claire. De plus, il y a tous les voyageurs derri�re nous, ils sont susceptibles de voir la sc�ne aussi !!!

Mais non, le troisi�me de rang�e est plong� dans son film, l'h�tesse feuillette un magazine, et derri�re, ils doivent avoir pris trop de drogue pour dormir.
Il n'a peur de rien, on voit carr�ment sa bite band�e, m�me le dessin de son gland a travers la toile du pantalon.

Plus fort que moi, j'�clate de rire, mon mec me suit. D�sar�onn� le type s'en va.
Je dis :
- culott� le mec !
- carr�ment ! Tout le monde peut voir !
- dis donc p'tit salop tu t'amusais bien !
- Ouai mais qu'est ce que tu veux faire, y a aucune possibilit� !
- Ouai dommage... bon on dort !

Vous avez d�j� vu un pr�dateur voir passer un gros poisson tout chaud et offert � sa gueule se rendormir paisiblement ?
Hey hey hey, impossible de d�crocher.
Le requin reprend sa pose immobile, mais je suis en veille, � rythme r�gulier j'ouvre, ferme un oeil...

Alerte � la vigilance, il est revenu au m�me endroit.
Mon bin�me semble dormir.
Rebelote il se palpe dans la poche, il me matte.

Tu veux jouer mon poisson, on va jouer...

Je retire la couverture et lui montre que je me masse aussi.
C'est moins os� pour moi, je suis contre le hublot, et je cache mon geste derri�res un coussin.
Je vois ses yeux qui brillent, il se d�cale un peu, pour �tre bien en face.
On jette souvent un coup d'oeil alentour puis on revient syst�matiquement sur nos braguettes qui gonflent, s'arrondissent.
Les tissus se d�forment le long de la cuisse, c'est le barreau !

Je suis excit� comme un squale dans un bain de sang.
Et lui masse sa viande juteuse.
Encore heureux que notre voisin a attaqu� un deuxi�me film surement passionnant.
Mon chum dort.
Mais que faire de plus...
L'avion est archi bond�, des gens se d�placent sans arr�t.
Souvent, � cot�, les toilettes sont occup�es.

J'en peux plus, je sais que je me fais du mal, que je vais �tre de plus en plus frustr� si je continue et que cela reste sans fin.
Je lui fais signe avec un grand sourire de d�gager, qu'il me fout les boules.
Il sourit aussi et fini par comprendre. Il retourne � son si�ge, je ne sais o�.
Je n'ose pas me retourner pour regarder derri�re et croiser des regards p�tris d'horreur, noirs de d�gout.

Je remets la couverture sur moi, mais je n'arr�te pas de bander.
M�me dans ce petits laps de temps o� je m'endors, je r�ve de bites, de culs � 10 ;000 kilom�tres d'altitude !
J'ai un sursaut de d�sir, j'ouvre les yeux, il est l�.

Ok tu veux me rendre dingue ? Fais gaffe c'est toi qui est en vue et je vais faire p�ter ta braguette !
J'ouvre la couverture, m'en sers de paravent avec le bras � l'�querre sur l'accoudoir.
Je suis ainsi � l'abri pour ouvrir doucement ma braguette...

Il est comme un fou, il hoche la t�te fr�n�tiquement pour m'encourager � continuer mon strip.
J'ouvre le bouton du haut, le pantalon ouvert, je glisse un doigt puis deux dans mon slip.
Il m'encourage.
Je bande dur, fort.
Lui aussi et il continue de me faire oui oui de la t�te. Je surveille alentour car lui est scotch� � ma main dans mon slip.
Ma main pivote, en faisant sortir le morceau de barbaque.
J'ai tout � l'air et je lui pr�sente ma bite gonfl�e � bloc...
Je pense qu'il est bien coinc� entre son d�sir de se mettre � genoux et les conventions de la vie en communaut�, qui plus est, dans un avion !

Tant pis pour lui, lui ne peut pas faire grand-chose, la main dans sa poche pour cacher son �mois, tandis que moi je me branle carr�ment !
Certes pas avec de grands gestes rapides, saccad�s, mais doucement, la bite bien � la verticale pour qu'il mesure bien ce qu'il pourrait avoir dans la bouche ou le cul, mais qu'il ne touchera pas !

Mince je crois surprendre le voisin qui commence � �tre intrigu� par la position de mon bras et de la couverture, pas naturel...
Un steward passe. Bon je crois que �a chauffe il est temps d'arr�ter.
Je rabats mon bras et me couvre.
Le mec fait un petit sourire triste, il sort sa main de sa poche et se l�che les doigts, me faisant clairement comprendre qu'il mouille.
Je lui fais signe de partir, il repart.

Certes je l'ai bien agac�, mais je suis pareil, dans un bel �tat d'excitation, de frustration.
Les courses sont faites, la viande est sortie du torchon, la sauce est bien �mulsionn�e, mais non, on ne passe pas � table !

Bite qui bande n'a pas de conscience me disait-on !
C'est bien vrai...
Le requin est affam�, la proie est l� quelque part, il suffit d'un coup de queue pour apaiser ma faim.

Je suis � cran, apr�s m'�tre reboutonn�, je me l�ve, je vais marcher un peu et peut �tre verrai-je o� il se trouve. Mais je ne le vois pas.
Je vais au fond de l'avion.
Il y a un coin am�nag� en minibar, on peut se servir � boire, manger des crackers.
J'avale un verre d'eau, me raisonne pour retourner m'assoir
Je me retourne il est l� !

Rapide �tat des lieux, estimation � la louche des risques, de l'environnement.
Les deux toilettes sont libres, j'en choisis une, entre, ferme la porte, ne la verrouille...
Je sors ma bite devant la cuvette.
Impossible de pisser je bande trop, je vais pisser sur le miroir !

La porte s'ouvre, il entre, il la referme vite derri�re lui et la verrouille.
Je suis de profil, adoss� � la paroi, pantalon slim �clat�, bite en l'air, regard fi�vreux � son encontre.
Il fonce sur ma queue, l'engloutie, ma bite ne m'appartient plus, il la branle, l'agite, la tape contre sa bouche, sa langue.

Notre jeux en 4 actes nous a affam�s, c'est violent, animal.
Il se rel�ve, excit�s, on a du mal � sortir sa grosse bite, salet� de braguette !
Queue contre queue, moi puis lui, on se branle avec la m�me main, on se roule des galoches baveuses. On se l�che le cou, les seins.

Je pompe, il pompe, on est dans l'urgence de jouir, d'exploser en l'air ce d�sir qui dure depuis deux heures.
Il avale ma queue, sa gorge est sur mesure, les couilles, tout y passe.
La crainte de se faire pi�ger est l� aussi comme un stimulant.
La situation insolite, a�ronautique cr�e des turbulences de testost�rone, on va cracher...
Mayday mayday... Ici Les couilles des ob.ob5.ru on va larguer, �vacuez la piste.

En guise de piste, j'ai sa langue sortie, mon foutre s'�crase dessus, les freins ont l�ch� je ne contr�le plus le flux de sperme qui s'�clate et d�gouline de sa langue.
Le salopard me graisse les pompes avec le sien.
Impossible de crier notre orgasme mais le contenir sans voix le rend plus puissant.

Mini toilette, essuyage de chaussure, je remballe le matos dans mon froc, ce pantalon est d�cid�ment trop �troit, j'peux pas sortir comme �a.

Entr� le dernier, il sort le premier des toilettes apr�s m'avoir demand� de refermer derri�re lui.
Je d�couvre qu'il est Am�ricain, et surtout qu'il me fout dans la merde !
Ca lui laisse le temps, la porte verrouill�e derri�re lui, de retourner � son si�ge. Ainsi, c'est moi qui me prendrai les commentaires, les plaintes, � ma sortie !

Mais bon... Ok.
Il sort, je verrouille, je me regarde dans la glace, je ricane b�tement, nerveusement comme un p'tit gar�on qui va se faire prendre en flag.
Je me lance. Apr�s tout ce n'est pas un acte terroriste, mais ils sont tellement paranos dans ces avions.
Merci merci, ouf personne derri�re la porte n'attend.

Je ne regarde surtout pas autour, je fonce t�te baiss�e � mon si�ge.
Mon mec dort toujours, je m'assoie doucement, je vais pouvoir reprendre mon souffle, me d�tendre.

- C'�tait bien ???
dit-iI, l'oeil content de m'avoir gaul� et attendant ma r�ponse.
- Oui oui, j'suis allez au fond, dans les toilettes et
- Oui je sais, j'ai vu...
- ah bon !

Quel b�ta ! Moi qui croyais avoir �t� discret !!!
Je lui raconte, il me conna�t par coeur rien ne l'�tonne.
Je le trouve adorable, s'il avait �t� peste, pendant que nous �tions enferm�s, il aurait pu aller voir une h�tesse et lui dire :

- Pardon mademoiselle, c'est emb�tant, j'attends depuis longtemps devant les toilettes, j'esp�re que les personnes n'ont pas fait un malaise...

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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