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Criques catalanes 1

D�but juillet, je suis en vacances du c�t� de Collioure, avec Daniel, mon ch�ri.
Le reste de l'ann�e nous vivons ensemble � Paris. Daniel est artiste et a la chance de travailler � la maison. Il a profit� de la terrasse pour �laborer son bronzage int�gral Et� 2010 et peut d�j� rivaliser avec les Catalans. Pour ma part, bureaucrate enferm� � l'ombre, mon bronzage est int�gralement ... inexistant.

L'an dernier en revenant de nuit de la visite de la maison de Salvatore Dali � Port Lligat, nous avions rep�r� sur le littoral espagnol en roulant vers la fronti�re, la pr�sence de plusieurs voitures dans un virage. En plaisantant, j'avais dis � Daniel " Ca drague par ici !! ". Les vacances se finissant, nous n'avions pu v�rifier cette hypoth�se.

Cette ann�e, � la recherche de criques naturistes gay conviviales, nous avons retrouv� le petit parking. En ce d�but d'apr�s-midi, il y a plusieurs dizaines de voitures stationn�es l�, en plein soleil. Nous apercevons, en contrebas de la route, deux petites plages isol�es, et de nombreux chemins dans les roches et les taillis qui t�moignent que de nombreux pas ont creus� cela au fil des ann�es. Nous sommes � l'entr�e d'un Cap. Les deux premi�res plages � l'est se r�v�rent bien naturistes, mais tr�s occup�es par des familles, les culs, les bites, les seins et les chattes � l'air. Nous n�gligeons ces endroits et progressons en escaladant les chemins vers l'extr�mit� du Cap, convaincus que l'isolement serait la garantie de notre succ�s. Apr�s 10 mn de marche sur ces chemins accident�s et en pleine chaleur, nous sortons alors de la partie bois�e et sommes face � 300 m�tres de d�sert s'�talant en monticules rocheux vers l'extr�mit� du Cap, qui plonge ensuite dans la M�diterran�e d'une vingtaine de m�tres de haut.
Nous continuons notre progression en longeant le Cap vers l'ouest. Nous voyons alors descendre d'une ancienne plateforme militaire en ruine situ�e au point le plus haut du Cap, un magnifique jeune homme brun, enti�rement nu. Convaincus d'�tre arriv�s au bon endroit, nous visitons le site, sans vraiment quitter des yeux le bel �ph�be qui redescendait vers la mer.

Effectivement, une premi�re crique aux abords abrupts, de forme triangulaire, abrite d�j� des hommes seuls ou en couple. Elle nous semble sympathique, mais nous continuons notre exploration vers une seconde crique o� notre �ph�be se dore au soleil. Il est seul, mais l'espace est trop exigu et nous renon�ons � le d�ranger. Apr�s une troisi�me petite crique, tr�s difficile d'acc�s, en bas de rochers glissants, se trouve un couple nu. L'homme se tient les pieds dans l'eau et semble mater notre �ph�be dans la crique d'� c�t�, pendant que sa femme lit un magazine sous son parasol. Le chemin monte alors plus � l'ouest et l'on aper�oit une grande crique o� plusieurs couples naturistes et leurs enfants batifolent dans la M�diterran�e.
Nous rebroussons chemin vers la premi�re crique, et nous nous installons entre 2 couples. Visiblement, nous avons d�rang� le couple d'homme le plus proche de nous, qui, selon Daniel, �tait occup� � se branler mutuellement derri�re un rocher les isolant un peu. Effectivement, ils nous regardent un peu de travers en s'�cartant l'un de l'autre.

Nous profitons des plaisirs des vacances selon nos go�ts, mon ch�ri sur sa serviette et moi dans l'eau.
Au bout d'une demie heure, je sors de l'eau, pose palmes, masque et tuba sur ma serviette, chausse mes sandales et je pars me s�cher au grand air, sous le regard amus� de Daniel.
Je pars escalader le Cap, vais au point le plus haut. Nu au soleil !! Je reprends le chemin d�j� parcouru en arrivant pour contourner la pointe rocheuse, je me penche au dessus de la falaise pour admirer la transparence de l'eau.
En me redressant, j'aper�ois un homme nu � quelques m�tres. Il se caresse ostensiblement en me regardant. Il s'agit en fait de l'un des deux mecs que nous avons interrompu en arrivant. La quarantaine, mince, tr�s bronz�, il ne dit rien, et remonte la pente en se dirigeant vers l'extr�mit� de la pointe rocheuse, o� je d�couvre en progressant, qu'il est possible de descendre sur des roches en contrebas. Il s'arr�te. Je passe devant lui et continue ma descente plus bas, � l'abri des regards. Je m'assois sur un rocher assez haut coll� � la paroi, et je me masturbe en le regardant me rejoindre. Tout en faisant attention � l'endroit o� il pose les pieds, il garde un oeil sur mon sexe, objectif de sa progression. Etant assis en hauteur, sa bouche arrive quasiment � la hauteur de mon gland d�j� mouill� de mon excitation. Il lui faut peu d'effort pour l'engloutir et le sucer.

La position est superbe : bien install� sur un rocher face � la mer, je regarde passer un ou deux bateaux au loin pendant que la bouche de mon inconnu monte et descend sur mon sexe. De temps en temps, il l�che ma bite pour me bouffer les couilles, me l�cher le p�rin�e, tout en se branlant lui-m�me �nergiquement.
L'excitation de cette pipe au soleil face � la grande bleue, et le risque d'�tre vu, font que nos jus montent assez vite, et c'est ensemble que nous vidons nos glandes sur les rochers, � grands jets de foutre, en gueulant notre jouissance dans le vent.

Pas besoin de remballer la marchandise, il suffit juste de laisser s�cher au grand air en redescendant vers la crique, chacun de notre c�t�. Daniel, qui avait aper�u notre man�ge au loin, et nous avait vu dispara�tre derri�re les rochers, m'interroge du regard. Je lui confirme d'un clin d'oeil que le rapprochement s'est produit. En levant le pouce, comme pour me f�liciter de l'incartade, il retourne sur sa serviette.
Lorsque mon suceur espagnol revient � son tour sur les galets, un �change de signes s'�tablit entre nous trois : il est sourd et muet.
Je ne m'en �tais pas aper�u plus t�t... comment aurait-il pu parler la bouche pleine !!!!

Histoire v�cue en juillet 2010.

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