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La cr�maill�re.

Ceci est une histoire vraie qui s'est pass�e il y a quelques mois � Nantes. Un ami m'avait invit� un samedi soir pour f�ter l'emm�nagement dans son nouvel appartement.
J'arrivai donc chez lui vers 22 h. Il y avait une vingtaine de personnes dans une pi�ce de 20 m2 environ. Jacques fit les pr�sentations, je ne connaissais qu'une amie qui avait fait sp�cialement le d�placement depuis Le Mans.

L'ambiance �tait d�tendue, Jacques �tait gay mais il fr�quentait beaucoup d'h�t�ros. Parmi les personnes pr�sentes, mon regard s'arr�ta net sur un jeune homme de 25 ans environ qui �tait assis sur le divan, il �tait tout simplement canon : brun, peau mate, sourire � faire fondre la banquise...

Ma contemplation fut interrompue par ma copine Pat qui m'apportait un verre et qui me dit � l'oreille que le gar�on que je matais lui plaisait beaucoup � elle aussi mais elle ne savait pas s'il �tait homo ou h�t�ro. Je lui r�pondais que j'allais essayer de le savoir. Apr�s quelques verres, je m'assis pr�s de Anton (le bell�tre) et j'engageai la conversation.

Il s'av�ra que l'on avait des connaissances en commun dans le milieu professionnel.
J'�tais de plus en plus sous le charme et je le d�vorais du regard jusqu'� ce que Pat vienne s'asseoir entre nous deux pour discuter. La musique �tait devenue plus forte et la house nous faisait danser. Une fille se d�hanchait devant moi, provocante et sexy, mon regard croisa celui d'Anton � plusieurs reprises, puis il se rapprocha de moi en dansant, je le fixai en le fr�lant, la fille alla danser plus loin, nous �tions face � face et j'avais l'envie irr�sistible de l'embrasser, notre attirance mutuelle �tait palpable.

Il �tait 3h du matin et Anton me demanda si l'on pouvait aller chez moi pour �tre plus tranquille. Je n'en croyais pas mes oreilles, le r�ve devenait r�alit�. Une fois dans l'ascenseur, il m'embrassa � pleine bouche, j'avais une trique d'enfer. Enfin arriv� chez moi on se d�shabilla, il avait un corps de r�ve, il s'allongea sur le lit et je commen�ai � le caresser, � l'embrasser partout, il avait un parfum enivrant, je le su�ai avec gourmandise tout en palpant ses couilles, il g�mit sous mes caresses, puis il me pompa � mon tour jusqu'� ce que je sente le plaisir monter.

Nous nous sommes branl�s face � face et nous avons joui en m�me temps. Son sperme ti�de coulait sur mon torse et je ne pus m'emp�cher de go�ter � son nectar. Nous avons bais� plusieurs fois jusqu'au petit matin.
Plus tard, mon portable sonna : c'�tait Jacques qui voulait savoir o� �tait Anton, je lui r�pondais qu'il �tait dans mon lit, ce qui le rendit furieux.

Jacques me traita de salope et me dit qu'il ne m'invitera plus jamais. Je raccrochai, �tonn� d'une telle r�action de sa part.

Le lendemain midi, je me rendis donc chez Jacques pour m'expliquer, Pat �tait pr�sente. Je compris rapidement que Jacques m'en voulait car il aurait bien am� �tre � ma place cette nuit-l� avec Anton. Il m'avait fait une crise de jalousie. Pat me fit un clin d'oeil complice.

Depuis ce fameux soir, Jacques ne m'a plus jamais invit� � ses soir�es.

MarkyMark

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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