Cousinage, 2�me partieLe lendemain matin, au r�veil, mon cousin, fit comme si de rien n'�tait, moi aussi d'ailleurs, car ne sachant pas que faire, si il fallait en parler ou pas , je fis comme lui, je me tue....nous passames la journ�e tranquile, comme d'habitude: la matin�e � discuter de tout et de rien, et l'apr�s midi, lui avec ses potes et moi avec les miens.... Le soir, apr�s avoir manger chez ma tante, qui pendant l'absence de mon p�re se chargeait de mes repas, je d�cidais de lui demander si il dormait chez lui ou chez moi...sa r�ponse, qui fut un oui imm�diat, me troubla, car il m'a dit �a imm�diatement et avec tellement d'envie dans le regard, que cela fit battre mon coeur, encore plus vite....En allant chez moi, il trouva par terre, 2 petits aimants, �a l'amusait beaucoup, j'sais pas pourquoi, et il refusait de me le preter. Arriv� chez moi, apr�s un peu de rhum pris discr�tement dans la r�serve de mon p�re, il me demanda, si �a me disait de regarder un autre film de cul, pour voir si ils les meufs �taient plus bonnes...je me sentis tout � coup, tr�s � l'�troit dans mon slip, me souvenant du plaisir que j'avais pris hier � sucer sa queue, en esp�rant que ce soir aussi, �a se passerai pareil... Apr�s 10 bonnes minutes de matage de film, comme la veille, mon coeur s'acc�l�rait, une bosse d�formait son short,droit a l'horizontale, �paisse, et elle tr�ssaitait, � chaque sc�nes chaudes...la mienne �tait en feu, le dard rouge, j'avais une trique de malade, il l'avait vu, et ne sachant comment amener la chose, je lui dit s'il pouvait me preter ses aimants. Un non cat�gorique se fit entendre..."allez, quelques minutes, juste pour voir stp", et la, il me dit "pour les avoir, faudra me passer sur le corps". "ok, si c'est comme ca"...Et la, je il tend ses bras au plus loin, pour que je ne puisse pas les chercher...je m'enhardis, nos corps se rapprochent, il me tourne le dos, j'essaie de lui ouvrir la main, et un rapport de force, et de jeux, se cr�e entre nous...Il ne c�de pas, moi non plus, on se tourne, on se d�bat, on retourne le lit, les draps, nos mains se touchent, nos corps se collent, se frottent, ses bras puissant m'aggrippent...les aimants?Ca fait longtemps qu'ils sont tomb�s par terre... Le film?quel film? Ce qui compte c'est nous, notre jeux, je le chatouille, il se tord dans tous les sens et rigole, je sens a travers son short, sa bite, plus dr�ss�e que jamais, il se d�fend, et dans un �lan, il me plaque sur le lit, je me d�bats. Il est au dessus de moi, me fixe les poignets sur le lit, et m'esquisse le plus beau des sourires en disant "j'ai gagn�"...non, il n'en es pas question, avec mes jambes, j'enlace ses reins et essaie de le faire tomber, mais il est r�sistant, ne tombe pas et ne fais que s'applatir un peu plus sur moi...Il hal�te, moi aussi, nous sommes essoufl�s, fatigu�s, mais nous gardons cette position, personne ne veut lacher prise et "perdre". Mes jambes glissent, et commence � caresser les siennes. Il ne dis rien etme fixe droit dans les yeux, je tiens son regard. Je commence � faire des l�gers mouvements du bassin, car dans la position o� nous sommes, mes jambes solidement accroch�es � lui, mon cul, peut sentir sa bite tout contre. Il ne cese de me regarder, je tiens bon, ne baisse pas les yeux dorian, ne baisse pas les yeux...Je continue � tourner ducul, je sens sondard s'�chauffer, sa bite gonfl�e a bloc, et la, il commence � frotter sa queue contre mon cul, je tortille encore plus pour la sentir contre moi, ses mouvements se font de plus en plus vite et appuyer quand il se frotte...J'en ais envie, lui aussi, il continue � serrer mes poignets, plus forts, continue � me fixer, c'est intense, ses mouvements deviennent de plus en plus vite, il se frotte, plus vite, il se frotte encore plus, me presse vraiment son zob contre mon cul, qui tortille, nous simulons une sorte de baises, malgr� nos vetements. Tout d'un coup, il s'arrete net...Qu'st ce qui se passe, ais je fais qu'elque chose de mal?Il me dessere les poignets, se redresse sur ses genoux, remue ses �paules et me dit "j'ai mal au bras" et la on explose de rire. On change de positin, je me mets sur lui, � califourchon, histoire de bien sentir son pieu dur mes fesses. Je dandine du cul, il me dis qu'il a jamais �t� aussi exit�, meme avec ses pouffes...J'�tais aux anges. Il m'embrasse, le temps s'effacent et nos corps s'entremelent. Je lui enl�ve son tee-shirt, et la je fonds, je ne cesse d'admirer depuis hier ce corps parfait, ses abdos dessin�s, ses pectoraux muscl�s, ses abdos a croquer, ses bras puissants pour son age. Je me penche et ma langue s'aventure apres sabouche, dans son cou, ses �paules, le haut de son torse, ses pectoraux, ses t�tons qui ont durcis. Ceux ci sont tout noirs, pointus, et contrastent avec sa peau couleur caramel, quand je les suce, il pose sa main sur ma tete, et soupire, en disant oui, c'est bon, il aime ca le cochon. Je n'en oublie pas moin de remuer mes hanches sur sa bite, je descends avec ma langue, et passe un a un ses abbdos que je suce. Je suis oblig� de descendre mes fesses, pour continuer...Je lui enl�ve son short, il se laisse faire, les bras crois�es au dessus de sa tete. Son slip ne r�ussi � cacher que ses bourses, tellement sa grosse bite, toute droite pointe vers son nombril. Une marre de liquide se trouve sur son ventre, signe que notre petit jeu la drolement bien exit�. Notre musique de fond, devient la cassette porno. Je m'empresse de d�gager sa bite, et reire son slip. Je la prends dans toute ma bouche...hum, un vrai r�gal, grosse, �paisse, couleur caramel, avec les veines l�g�rements apparentes. Je ne la suce as, je la d�vore. Il me dit de me calmer, sinon il va juter. Je n'entends rien, je ne veux que sa bite dans ma bouche. 6 long jets viennent atterir directemnt dans ma bouche et sur mon visage, j'avale tout...lui a pouss� un cri de b�te et c'est tortiller en huit...Woah me dit il, faut que tu connaisse ca. Et la tout s'enchaine viteen moins de 30 secondes, il me d�ssape, et commence � me pomper, je suis sur mes genoux, assis sur mes talonset lui a la tet entre mes jambes. je me penche en arri�re, c'est trop bon, et avec mes mains, appuie sur sa t�te, oui suce tout mon grand, vas y fais toi plaisir. Il me pompe a fond, me mets de la salive partout sur la teub, rentre les joue, et me pompe a fond. J'�jacule en lui tenant la t�te, dans un r�le qui en disait long, il avale tout. Il rel�ve la t�te, me regarde droit dans les yeux, ce m�me regard intense que seul lui c'est faire, et la, il me roule, une de ses galoches...hum, trop bon, j'en ai les poils qui se dressent. On se nettoie et range un peu le lit, on �teinds la tv, on se rhabille, enfin juste nos slips, au cas ou quand mon frere rentre, il ne dise rien... Le matin arrive, et je sens une pr�sence contre moi. Hum, je m'�tire et ouvre un oeil. Apparement mon cousin est r�veiler car il est en train de frotter son cul contre ma bite. J'hallucine, non, c'est pas vrai...c'est un r�ve, j'ouvre un autre oeil, et ben non, j'ai la gaule matinale, et lui se frotte le cul contre ma bite. Meme pas le temps de dire bonjour, je sens ses mains venir tater mes fesses et me pousser la bite encore plus vers son cul. je lui descends le slip, et avec mes mains, trouve son joli petit trou...J'ai peur, je sais pas si c'est ca qu'il veut, ou ais je mal compris. Allez, je lui masse le trou, il ne dit rien, me prends la main et se mets un doigt....J'en crois pas mes yeux, mon cousin veut que je lui laboure le cul....Il va pas le regretter, mais �a, c'est une autre histoire. Faites le moi savoir si vous voulez la suite, l'adresse est juste en dessous. ZandouilleLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |