Comment j'ai pris mon cousinC'�tait il y' a quelque ann�es. En vacances chez ma grand-m�re. Comme dans toute famille " normale ", les vacances chez les grands parents r�unissent tous les petits enfants. Donc, nous y �tions tous. On devait �tre au nombre de 4, quatre petits enfants. Je partageai une chambre avec un de mes cousins qui se pr�nomme Joris. Joris, c'est un jeune m�tis, 1m75 pour 60 kilos � peu pr�s. Il est mignon, tr�s mignon, il fait craquer toutes les filles de notre entourage. C'est normal apr�s tout. Il traine souvent dans la maison de notre grand-m�re sans teeshirt avec un short, il a des jambes arqu�es et tout me laisse croire qu'il est imberbe notamment quand j'aper�ois son torse muscl� imberbe. Il a des sourcils plut�t volumineux, un beau sourire et des l�vres tr�s roses. Je me rappelle que le soir en dormant � c�t� de lui, j'avais une trique d'enfer. Je m'arr�tais l�. Me disant que c'�tait impossible que je ressente cette attirance pour mon cousin d'autant plus que j'�tais en couple avec une fille. (Comme je l'ai dit avant, enfin je crois, quand je sors avec une fille ou un mec, je ne regarde plus ailleurs...). Quelques jours plus tard, ma copine me dit qu'elle part s'installer � l'�tranger avec ses parents. �tant chez ma grand-m�re, je n'ai pas pu lui dire au revoir d�cemment. J'avais les boules, les vraies boules... pleines de sperme. Le soir venu, ce fut la m�me �rection dans le lit � c�t� de mon cousin. N'y tenant plus, j'ai rapproch� ma jambe de la sienne pour voir s'il dormait. Il n'avait aucune r�action. J'ai donc d�cid� d'aller plus loin. J'ai mis ma main sur ses fesses, je tremblais comme une puce ce soir-l�. Lui ne bougeait toujours pas. Ses fesses dans son boxeur, c'�tait tr�s bandant m�me dans le noir. J'imaginais la rondeur de ses fesses que j'avais entre les mains tout en tremblant. Je d�cidais de m'arr�ter l� encore... Le lendemain matin, je le vis se lever et nous d�cid�mes de prendre notre douche tous les deux. J'avais une vue imprenable sur ses fesses. J'ai d� me retourner pour pas qu'il voie mon �rection. J'�tais tr�s g�n�. J'�tais jeune aussi hein :)! J'ai fui... le soir venu, j'�tais encore plus mal, j'appr�hendais de passer la nuit avec lui. Je voulais aller plus loin. Je d�cidai d'aller me coucher plus t�t afin de voir s'il viendrait et surtout pour le voir se d�nuder. Ce soir l� encore, je refis le m�me sc�nario que le soir pr�c�dent, mais cette fois avec la volont� et l'envie d'aller plus loin. Je passais donc mes mains sur ses fesses et je d�cidais de passer en dessous de son boxeur. Je caressais ses fesses douces tout en me branlant. Je descendais vers son anus, j'essayais d'introduire quelque doigt, mais bien �videmment il �tait tr�s serr�. C'est un vrai h�t�ro mon cousin. Merde! J'ai du faire le m�me man�ge pendant une heure jusqu'� ce que j'en ai marre. Je me suis redress�, j'avais toujours ma queue en main. Je n'en pouvais plus. Je me suis mis au-dessus de lui, je frottais ma queue contre ses fesses en mimant l'acte sexuel. Je sentais ma queue tout humide et je n'avais qu'une envie, c'�tait la lui glisser dans son cul tout rond et toujours tr�s ferme. Malheureusement, je n'avais pas remarqu� qu'il faisait d�j� jour et qu'il ne devait plus �tre dans le pays de Morph�e � un moment pareil. Il nous restait que deux jours avant la reprise des cours et le d�part de chez notre grand-m�re. Le soir venu, nous d�cid�mes de faire un tour au cin�ma. Joris avait rep�r� des filles et il s'amusait avec elle en leur lan�ant des regards, des sourires... et tout �a me donnait envie de lui faire gouter � ma queue. Qui sait ? Il aurait peut �tre fini par �tre gay ou de n'avoir envie que de ma queue.... :) En rentrant, nous primes le temps de prendre quelques verres entre cousins. Je n'ai pris que le seul alcool que je supporte soit du Champagne. Mes cousins se sont gav�s de whisky et autre alcool. Une fois rentr�s, nous allons nous coucher. Et l�, mon cousin s'est directement affal� dans le lit, apr�s s'�tre mis en condition. Ce soir-l�, il portait un cale�on qui descendait jusqu'� la fente de ses fesses. Comme j'ai pu le dire dans mes anciennes histoires, c'est quelque chose qui me fait bander �norm�ment. De fa�on rapide, j'ai eu ma trique de revenue. Je me suis d�p�ch� d'�teindre la lumi�re et de dire bonne nuit � toute la populace de la maison. Une fois dans la chambre, je retouchais mon cousin comme la veille, mais cette fois vu qu'il portait un cale�on, je d�cidai de le lui enlever par l'arri�re seulement ce qui me laissait une vue imprenable sur ses fesses (J'avais mis la lumi�re du couloir). Je frottais ma queue contre lui, je faisais les m�mes va et viens... Je remis des doigts dans son cul, cette fois j'�tais bien d�cid�, je voulais les lui mettre afin de le dilater. Ce soir-l�, je voulais vraiment avoir son cul. Je mis de la salive sur mon doigt, je l'enfon�ais doucement en lui. Une fois rentr�, j'ai continu� avec un second doigt. L�, mon cousin a boug� un moment. Il m'a fait peur, j'ai tout de suite arr�t� et je me suis jet� dans mon lit. Il a lev� la t�te et il s'est rendormi. N'y tenant toujours pas, j'ai d�cid� de reprendre mon acte. Je remis les deux doigts, et mon cousin a repris � bouger. Je me retirai doucement, j'arr�tais lentement avant de reprendre. Puis, ma bite toujours en main, je d�cidais de la lui rentrer. Ma queue eu du mal. Je m'arr�tais en cours de route, je continuais encore et encore... Lorsque je sentais que mon gland avait travers� son oeillet. Je d�cidai d'enfoncer encore plus ma queue. J'�tais bien dans con cul, j'�tais ailleurs. Je prenais mon cousin qui dormait, c'est assez bandant, m�me si le truc parait anormal. Je me suis surpris en train d'avoir une pens�e : " r�veille-toi et dis-moi que tu aimes ma queue ". Comme si mon cousin avait entendu cela, il se mit � bouger. Il le va la t�te et me dit : " Putain, mais qu'est ce que tu fais Angelus ??!! ". " Je goute � ton cul qui me fait envie depuis quelque temps ". Il essaya de me pousser, il avait mal et faisait une grimace ind�finissable. Je le voyais ainsi, mais je ne pouvais plus retirer ma queue. Lorsque je suis dans un cul, il faut que j'aille plus loin, c'est une r�gle � suivre. Et je ne dois pas �tre le seul � le penser. Ses fesses claquaient contre ma haine et j'appuyais sur son dos pour qu'il cambre mieux son cul. Il est dr�le mon cousin, s'il voulait que j'arr�te, il aurait pu crier pour alerter la maison, mais il ne le faisait pas. Ce qui m'emmenait � penser qu'il aimait. Je crois qu'il adorait parce qu'il bougeait son cul tout seul et qu'il g�missait doucement comme pour ne pas r�veiller les gens. Je le pris en levrette, tout en tenant ses hanches, je continuais mes va et viens dans ton beau petit cul ferme de m�tisse. On se mit sur le c�t�, sa jambe lev�e, je pu ouvrir encore plus son cul. Jota ma queue pour constater le travail... il �tait bien dilater. Pour sa premi�re bite, mon cousin devait bien se sentir. J'�tais aux anges. Je goutais � son beau cul, je remis ma queue, toujours sa jambe lev�e, me mis sur le dos pour qu'il se mette sur ma queue. Il adossa son dos contre mon torse, je tenais ses jambes que je ramenais en arri�re et je faisais des allez retour avec ma queue et lui qui g�missait toujours. C'�tait tr�s bandant. Avec la lumi�re tamis�e, je pouvais voir son corps reluisant, son corps brillant, son corps de m�tisse tout imberbe... que demander de plus??!! Je voulais baiser mon cousin, j'y suis arriv�. Juste avant de jouir, je lui dis : " je veux jouir dans ta bouche, je veux que t'avales tout ! ". Il n'a �mis aucune r�sistance. Juste avant de jouir, je lui demandai de me sucer afin d'aspirer mon sperme. Ce qu'il fit sans soucis. Il su�ait bien, c'�tait �trange de niquer son cousin, et se faire sucer par lui, c'est tout aussi bizarre. Mais, vu qu'on n'est pas si proche que �a, �a pardonnait tout :). Mon cousin me su�ait depuis 2minutes et quand je sentais ma sauce arriv�e, je le pr�vins. Je tenais sa t�te, il appuya sur mes fesses pour que je rentre plus profond ma queue dans sa bouche. Je pus l�cher ma sauce tout au fond de sa gorge. J'avais juste l'impression d'�tre dans son cul. Mon sperme se d�chargea direct, bien en profondeur, il n'arr�ta pas de tirer mon jus jusqu'� ce que je tombe affal� dans mon lit. Je le regardai et je lui dis : " D�sol�, mais j'en avais vraiment envie ". Mon cousin ne me r�pondit pas, il se retourna et replongea dans son sommeil. Il m'a fait flipper. Il ne dit rien durant toute la journ�e. Et pourtant, le soir venu, c'est lui que je surpris me su�ant la bite dans mon sommeil. " Bah... qu'est ce que tu fais Joris??? " " Je goute � ta queue que tu m'as fait gouter dans la nuit et � laquelle je n'ai pas arr�t� de penser dans la journ�e. Prends-moi juste apr�s s'il te plait ". Mon cousin avait une de ses expressions... Je ne le reconnaissais presque pas. Le lendemain, nous devions tous reprendre nos vols et rentrer chez nos parents. Il fallait bien profiter de la derni�re nuit. Je ne le fis pas r�p�ter deux fois et je le pris encore une bonne partie de la nuit. On s'est revu quelquefois en vacances chez ma grand-m�re... t'es jeune, t'es passif, t'es pas con, tu vis entre Tours ou Paris (idf), contact moi. Id�al pour une relation s�rieuse :). On peut toujours r�ver hein :) BlackactifR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |