Cours de sport 4"Je te le redemande une derni�re fois : o� te trouvais tu ce soir !?". Je suis g�n�, je regarde le sol et n'ose pas lui r�pondre. "Bon, tu te d�cides ?". "Je suis juste sorti pour fumer une clope". "Mais, bien sur et c'est pour cela que tu sens la pisse et le sperme � 3 lieues � la ronde !!". Steven me prend par le col de mon sweat et m'entra�ne dans la salle de bain de l'�tage. "Je te conseille d'aller te laver ! Je vais te chercher du gel douche et une serviette puis tu me diras la v�rit� car ton histoire de clope n'est pas tr�s claire !". Il est � peine parti que je m'ins�re dans une cabine et me d�tend sous un jet d'eau bien chaud et reposant. J'en oublie que Steven peut rentrer � tout moment jusqu'� ce qu'il ouvre la porte de la douche. Il pose la serviette sur une attache fix�e au mur et me passe le gel douche. Je le fait glisser et me penche ensuite pour le r�cup�rer. Une fois relev�, j'entends Steven qui rit. "Ok, j'ai compris ce qui t'es arriv�, ben au moins tu t'es bien amus� ce soir !". Il quitte la salle et me lance "bonne douche". J'ai un peu de mal � comprendre ce qui vient de se passer. Je poursuis ma douche et une fois arriv� � mon anus, je me rends compte qu'il est encore largement ouvert suite aux coups de butoirs de Philippe et comprend la r�action enjou�e, presque moqueuse de Steven. Une fois s�ch�, je me d�cide � ramener le gel douche et la serviette de Steven. Je me rends au bout du couloir et frappe � sa porte. Steven m'accueille torse nu et me propose d'entrer. Une bouteille de vodka tr�ne sur la table ainsi que deux verres, il m'en propose un et m'indique un coussin sur un tapis rouge pour m'asseoir. "Tu sais, normalement, je devrais indiquer au responsable de l'internat ton absence du d�but de soir�e mais on pourrait peut �tre s'arranger, non ?". Je ne m'attendais pas � ce qu'il me dise �a et je ne sais pas quoi r�pondre. Je me ramasse alors une baffe. "Alors, bordel, c'est oui ou c'est non ? Remarque, je ne pense pas que tu as assez de couilles pour refuser !". Je reste muet et il commence � s'�nerver. Il me prend � nouveau par le col, m'attire vers lui, pose mon torse sur ses genoux, baisse mon froc. Il enfile un gant de cuir et commence � me frapper le cul avec sa main droite. "Alors bordel, on peut s'arranger oui ou merde !!". "Oui mais arr�te". "T'inqui�tes, tu vas appr�cier !". Il me calle sur ces genoux et poursuit ses coups en prenant cette fois-ci une petite r�gle en plastique flexible. Je commence en effet � y prendre un certain plaisir mais c'est surtout Steven qui � l'air de prendre un pied total. Je sens sa queue bien �paisse qui vient me taper les c�tes. C'est une baise totalement atypique pour moi et qui me fait bander comme jamais autant par le plaisir des coups que par le suspense de ce qui va suivre avec peut-�tre une petite pointe de peur contenue. Steven arr�te ses coups, semble chercher quelque chose dans une caisse. Il en sort un foulard noir et opaque. Il le pose sur mes yeux. Cela � pour effet de m'exciter encore plus si cela �tait encore possible. Je suis f�brile. Steven me met debout, j'ai encore mal aux fesses, le sang qui bas sur les parties meurtries par les coups r�p�t�s de la r�gle. Il m'assoie sur une chaise. Steven semble bouger des meubles, peut-�tre bien la table basse. Steven me balance un mollard en pleine gueule "l�ve les mains !!". Je m'ex�cute, je sens alors un anneau de m�tal sur le poignet droit, putain, il vient de m'enfiler des menottes. Il me tire alors vers l'autre bout de sa chambre, je tape le genou au lit, je tombe mais il s'en fou et me tra�ne jusqu'� la t�te de lit, passe les menottes � un barreau. Je ne pensais pas du tout, qu'il serait capable d'aller jusque l� et �a commence � me foutre la trouille. Il pose sa main froide sur mon pubis et s'amuse avec les quelques poils qui s'y trouve. Il prend ma queue, me masturbe rapidement puis poursuit sa caresse sur toute l'�tendue de ma toison. Et me caresse les couilles plus longuement. Je n'ai toujours pas d�band� et commence � g�mir. Ce type est un g�nie, il a des doigts experts qui feraient jouir n'importe qui. "Oh putain, t'es un dieu, t'es vraiment g�nial" "Ta gueule salope !". Je commence � peine � parler que je sens une vive douleur. Steven s'est empar� de mes couilles et les presse : "arr�te de l'ouvrir !". Il se l�ve du lit et semble � nouveau chercher quelque chose. Il s'approche encore, me prend les cheveux et mes pr�sente sa queue. Je la prends en bouche. Elle semble de belle taille et a un petit go�t acidul�. Je m'attache � lui sucer comme si ma vie en d�pendait. Il semble appr�cier et commence quelques coups de reins tout en approchant mon visage de ses couilles d'une main puissante et s�re. Steven arr�te brusquement, je l'entends s'�loigner puis per�oit du bruit, il semble fouiller une caisse, probablement sous son lit. Je l'entends se rapprocher puis un bruit de ventouse. "Ram�ne ton cul salope !". Il me tire vers lui et me demande de m'accroupir. "Tu vas appr�cier, je t'ai choisi le plus gros". Merde, je sens d�j� le gland de silicone bien large contre mon oeillet. En m�me temps, la situation m'excite de plus en plus, Steven est vraiment impr�visible et sa chambre regorge d'objets plus �rotiques les uns que les autres ! Mais le gode qu'il a choisi est vraiment trop large et je rencontre des difficult�s pour m'empaler dessus. "T'inqui�tes, �a va passer". Sur ce, Steven me soul�ve m'asperge le cul de gel et me guide � nouveau en pesant de tout son corps. Je n'y crois pas quand je sens le carrelage sur mes fesses ! J'essaie de me relever mais il appuie fermement sur mes �paules tout en pla�ant sa queue sur mes l�vres. Je gobe son braquemart tout en faisant coulisser ma croupe d�j� bien ouverte sur son gode. "Putain ! Quelle sacr�e salope tu fais ! Tu dois �tre la pute du dortoir !". J'adore la puissance dont il fait preuve en pleine baise, il en impose et pas que par sa queue. Il se d�gage lentement de ma bouche. Se penche vers mon cul, d�croche la ventouse du gode fix� au sol, le prend en main et me l'enfonce dans le cul, il me pousse vers le lit, m'�carte les cuisses et me p�n�tre d'un coup ! C'est totalement d�lirant, le mec me baise sans enlever le gode dans le cul. Je kiffe ! Oui, je suis une salope, si aimer cette baise signifie que je suis une salope alors oui j'en suis une ! Il acc�l�re ses coups de buttoirs, je vais jouir. Oui, oh putain ! Je l�che plusieurs jets de foutre sur mon torse, je contracte mon cul ce qui fais jouir Steven. Il s'affale sur moi. Il me chuchote � l'oreille qu'il appr�cie ma chatte bien ferme et bien ouverte puis se retire de mon anus tout en enlevant son gode. Waouh, j'ai un trou b�ant � la place du cul ! J'ai un peu de mal � me remettre mais Steven me sort de sa chambre rapidement : "Maintenant que tu as eu ta dose, d�gage ! Mais n'h�sites pas � revenir ma petite salope". Je retrouve rapidement ma chambre et me glisse dans mon lit. Maxence
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |