Cyrillo

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Correction.

Cela faisait d�j� trois quarts d'heure que j'attendais. Je sortais pour me fumer une clope. Mes coll�gues �taient tous occup�s avec des parents et le directeur s'�tait enferm� dans son bureau histoire d'avoir la paix. Il faisait un temps de chien. La cours �tait encore tremp�e. L'obscurit� s'installait et le froid s'alliait � l'humidit� pour me glacer les os. Ce n'�tait pas le moment d'attraper la mort, dans 3 jours, c'�tait les vacances... Je commen�ais � faire demi tour lorsque je vis arriver Maxime, accompagn� de son p�re.

Maxime �tait un gar�on de 18 ans. Bien qu'il soit de taille moyenne, sa carrure en imposait pas mal. Le gar�on �tait loin d'�tre un rat de biblioth�que, et il �tait clair qu'il passait la plus grosse partie de son temps � faire du sport plut�t qu'� bosser mes cours d'histoire. Le gar�on avait le cheveux blond, un visage assez pale, marqu� sous les yeux. Les trois ann�es pass�es en maison de correction lui avaient durci le regard et lui avaient forg� des attitudes de bad boy.

Son p�re �tait visiblement sorti du m�me moule. Un peu plus grand que son fils, il n'en �tait que plus impressionnant. Il devait avoir difficilement plus de la mi-trentaine, ce qui me fit penser qu'il n'avait pas attendu sa majorit� pour �tre d�pucel�.

Je l�chais ma clope, sortis mon plus beau sourire, et m'avan�a, main tendue pour saluer mon nouvel entretien. Ma salle �tait au fond du couloir. Ce genre de mati�re, peu de parents s'y int�ressent. On nous donne donc les salles les plus isol�es. Mais cette fois, je comptais bien le coincer. Ce gamin est un chieur, et tomber sur son p�re est une aubaine !

Les pr�sentations faites, je guidais tout mon monde vers ma salle. Le coll�ge �tait en voie de r�habilitation. On attendait depuis dix ans. Les salles sont exigu�s, et sales. Mon bureau �tait plac� devant le tableau. J'avais pr�par� trois chaises en face de moi. Maxime et son p�re s'y install�rent.

Je pr�sentai bri�vement ma mati�re et le travail en cours, quand j'embrayai sur Maxime, son manque de motivation, et surtout ses probl�mes de comportement. L�, son p�re me coupa et me dit qu'il est justement venu pour parler de ce probl�me, et qu'il comptait bien me voir ce soir. D�couvrir le soutient des parents d'un �l�ve chiant est un moment de soulagement pour tous profs. Mais dans ce cas pr�cis un moment de soulagement bien trop bref !

Il continua en me disant que Maxime n'avait rien � foutre de l'histoire g�ographie, que lui-m�me ne comprenait pas l'utilit� de cette mati�re et qu'il serait pr�f�rable pour moi que je laisse le gar�on tranquille, et que j'arr�te de le harceler en classe. Je ne pouvais d�cemment pas laisser passer ce genre de discours, et je commen�ais donc mon la�us sur l'importance de ma mati�re dans la construction du futur adulte quand j'ai compris que j'�tais en train de pisser dans un violon. Le p�re commen�ait vraisemblablement � perdre patience, et Maxime le regardait un sourire en coin.

Son p�re tourna la t�te et rendit son sourire � son fils. Il se leva brusquement, m'attrapa les �paules et me plaqua sur mon bureau. Le visage �cras� contre ma trousse je l'entendis me dire que son fils et lui allaient m'apprendre ce que c'�tait leur vie. Que les putains de prof comme moi ne sont que des tapettes et qu'ils ne savent rien de la r�alit� de leur monde. La d�capitation de la Marie Antoinette c'�tait rien � cot� de ce que j'allais souffrir.

Maxime �tait d�j� debout � cot� de mon bureau. Il fit tomber ses Nike, et pris une de ces chaussettes qu'il me mit dans la bouche. Pendant qu'il fermait ma classe de l'int�rieur, son p�re me tira pour m'allonger sur le bureau et se pla�a � cheval sur moi, me tenant les bras avec ses jambes. Mes affaires se cassait la gueule en faisant un bordel monstre, ce qui n'�tait malheureusement pas suffisant pour alerter mes coll�gues.

Maxime revenait vers nous en se t�tant le paquet, histoire de faire gonfler sa bite. Son p�re me mit en garde. Je ne devais pas pousser le moindre cris si je ne voulais pas qu'il pousse la punition trop loin. J'ai hoch� la t�te. Maxime commen�a alors � d�boutonner mon jean avec un regard aussi joueur que pervers. En moins de temps qu'il faut pour l'�crire, je me retrouvais avec mon jean et mon slip sur les chevilles.

J'entendis mon �l�ve cracher dans sa main, et me plaquer sa salive contre mon trou du cul. Il enfon�a un doigt quand je me raidis en poussant un cri assourdi par la chaussette du gosse. Le p�re me colla un pain dans le dos qui eu pour effet de me calmer tr�s vite ! En m�me temps, en bon fils, Maxime me cala un deuxi�me doigt. Cette fois je ne bronchais pas. Le poing du p�re avait r�veill� une vieille douleur qui me faisait monter les larmes aux yeux. Maxime me doigtait donc avec vigueur quand il d�cida de jouer avec mes affaires. Il attrapa mes feutres et commen�a � me les enfoncer dans le cul. Il r�ussi � en faire entrer trois quand son p�re lui dit d'arr�ter ses conneries, et qu'ils avait autre chose � foutre. Maxime sortit alors les feutres et commen�a � baisser son surv�t. Son p�re lui demandAOT d'o� il sortait une trique pareil, et flatta son fil d'�tre aussi excit� par la correction de son pd de prof. Il cracha de nouveau dans sa main, s'en enduisit le gland et l'approcha de mon cul.

La peur avait fait place � l'excitation. La punition n'�tait finalement pas aussi terrible que je l'avait crainte. Et si �a se limitait � une sodo bien bourrin men�e par le bad boy du lyc�e, s�rieux, j'avais pas vraiment � me plaindre.

Son gland entra sans force, ce qui me valu de nouvelle insultes comprenant que je n'en �tais pas � ma premi�re sodomie. A pr�sent, j'�tais sa salope et mon cul de chienne allait voir ce qu'�tait une vraie bite. Maxime savait vraisemblablement mieux reconna�tre un cul d�j� pratiqu� qu'une frise chronologique. Son p�re lui r�pondit qu'il s'en doutait, et qu'ils allaient me r�gler mon compte. Il sorti de dessus moi, passa � cot� de son fils qui se recula, me pris la bite et les couilles et les coin�a dans le tiroir du bureau. Les larmes revinrent illico.

La queue de Maxime �tait bien en moi. Je compris tr�s vite que le gar�on n'�tait pas un petit joueur, et que �a queue me remplirait bien plus que je l'esp�rais ! La bite tendue, il faisait de grand aller-retour, sortant son gland et me p�n�trant chaque fois plus violement, claquant son bassin contre mon cul, et m'�crasant les couilles un peu plus � chaque fois. Je continuais n�anmoins � bander comme un salop. Son p�re repris sa place a genoux sur le bureau, mais pla�a cette fois son sexe face � ma gueule. Il me sortit la chaussette de la bouche, et je l'y aidais d'un haut le coeur. Il avait une bite d'une vingtaine de centim�tre, l�g�rement courbe mais bien tendue. Il me l'enfon�a au fond de la gorge sans plus de m�nagement.

Son fils continuait � me limer, en rythme avec son paternel qui frappait mon palais avec son gland. Je sentais la queue de Maxime se tendre par � coup en m�me temps que ses va et vient se faisaient plus brutaux. Il �tait en train de d�charger son foutre dans mon cul. Il ne m'en fallait pas plus pour que je l�che mon sperme dans le tiroir. Son p�re se mit � se branler �nergiquement d'une main alors que l'autre me serrer les joues pour m'obliger � ouvrir la bouche. Il me lan�a 3 bonnes gicl�es de foutre dans la gueule, puis me maintint les m�choires ferm�es pour m'obliger � avaler.

Je restais la, prostr� le visage pos� sur le bureau alors que p�re et fils se congratulaient d'une tape dans le dos et se f�licitaient d'avoir r�gl� son compte � ce pd de prof. Maxime ouvrit la porte. Son p�re sortait quand Max fit demi-tour et me dit � l'oreille que j'avais plut�t int�r�t � rester discret si je ne voulais pas qu'il mette sa bande de pote au courant que le prof d'histoire g�o �tait un garage � bite. Il rejoint son p�re et referma la porte derri�re lui.

Il �tait plus de vingt heures. Mes coll�gues �taient probablement d�j� partis. Je me suis relev� et j'ai remont� mon fut, le cul encore poisseux du foutre de mon �l�ve. Je ramassais mes affaires et les fourrais dans mon sac, press� de rentrer chez moi. Quitter mes fringues et me doucher. C'est tout ce que je souhaitais. Je pris mon sac et sortit de la classe en oubliant le paquet de copies � corriger qui se trouvait dans le tiroir.

Lo�c

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