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Commerces en Ville

Laurent patron de bar:

Approche gentille, serrage de mains franc, sourire chaleureux. Laurent �coute ma proposition et n'est pas choqu�, il est m�me int�ress� de suite pendant le temps qu'il lui reste avant l'ouverture. Son sourire ne l'a pas quitt�. Moi qui suis rouge de honte, son attitude me rassure. Il me raconte qu'il en a vu d'autre et m'invite � le suivre.

Une fois act�e la prise de contact est �nergique, puissante et sans pr�caution. Il monte � l'�tage en m'envoyant un clin d'oeil rassurant. Je le suis de tr�s pr�s en observant le galbe de ses jambes muscl�es. Au bout de quelques marches, surprise, il se retourne et me plaque la t�te sur sa braguette en continuant de progresser � reculons. Je suis � genoux et il me maintient la t�te fermement des deux mains, bien serr�e au bon endroit. Plus du tout de douceur,je ne peux que le suivre � quatre pattes comme je peux. Sans transition, il entame une s�rie de coup de reins cadenc�s et rapides, le tout en marchant. Je sens un durcissement rapide sous le tissu. Nous continuons de monter dans un escalier plus large et il me fait profiter pleinement du mouvement de ses cuisses en montant les marches.

Laurent ne se pose vraisemblablement pas de questions: il bande et plus il bande plus il m'�crase le visage sur la bosse de son jean. Il acc�l�re les va et vient en amplifiant sur la pouss�e. Je ne vois rien mais je peux sentir que c'est un muscl�. Il s'�clate sur ma t�te et je sens son d�sir monter. Je crie que je ne veux pas qu'il reste habill�. Je veux le contact de sa peau pas de ses v�tements.

Il continue sur sa lanc�e et j'ai l'impression qu'il va poursuivre jusqu'au climax tout habill�. Mais au bout d'un moment, il me l�che en disant:"Tout compte fait, je serais peut-�tre mieux nu" . Je remarque que nous sommes deux au centre d'une petite pi�ce sans meuble, loin au dessus du bar. Il ne met pas longtemps � �parpiller ses v�tements dans tous les coins de la pi�ce en me fixant chaleureusement. Il est sacr�ment r�bl� et muscl�. Je vais avoir de s�rieux �bats. Le slip est la derni�re pi�ce tomb� et il s'accroche sur son pieu �pais et bien tendu.

Compl�tement nu, il revient sur moi en souriant, sans aucune g�ne, �rection en avant. Il me laisse � peine le temps de l'admirer. Il me reprend la t�te dans ses mains et me la frotte sur son sexe. Pas de sentiment chez Laurent, seul l'acte compte. Il dirige son p�nis sur ma bouche en m'indiquant de l'avaler. Je r�siste pour profiter un peu de la douceur de la peau et de l'odeur de ce sexe m�le bien d�calott�. J'ai envie de tout humer: couilles, p�nis, pubis, cerise, petites l�vres en prenant mon temps. Laurent est bien mont�, il bande tr�s fort et son odeur me plait. Lui insiste pour me p�n�trer en ramenant son gland sur mes l�vres quelque soit mes mouvements. C'est une vrai id�e fixe et une belle lutte que je vais perdre. En r�sistant, je profite ainsi de sa puissance virile. Il est fort et je l'�nerve.¨Perdant patience, il me bloque la t�te dans ses couilles avec la force de ses cuisses et me lance sur un ton mena�ant "tu vas avaler hein". Rapidement j'�touffe. Ses couilles �cras�es sur mes narines, je ne peux plus respirer. Je agrippe � ses cuisses pour qu'il dessert mais il maintient la pression et semble en jouir. Au bord de l'asphyxie, je tape et il me rel�che enfin, je prends une grande bol�e d'air et Laurent en profite pour introduire son �rection profond�ment. Il a gagn� et me regarde triomphant me d�mener et tenter reprendre mon souffle avec son p�nis enfil� au 3/4 dans la bouche. Je salive et suce. C� l'excite, il l'enfonce et me maintenant empal� sur son pieu il va se placer dans l'angle de la pi�ce. Il r�cup�re au passage son T-shirt et sa chemise noire et me la met derri�re la t�te pour amortir le contact. Je l'en remercie mais crains qu'il ne me baise brutalement.

Nu sans complexe, il passe � l'acte avec une cadence soutenue. Il n'est pas pr�coce et le ramonage dure, r�gulier puissant bien appuy�.Quand l'explosion lib�ratrice arrive, il est arque-bout� sur moi comme s'il voulait me faire rentrer dans le mur. Le nez dans ses poils de pubis en sueur je r�siste tant bien que mal en avalant le flot de sperme qu'il m'injecte sans �tat d'�me. �� dure de longues minutes avant qu'il ne se retire le sexe � moiti� d�gonfl� r�cup�rant sans attendre toutes ses affaires. Il s'habille tranquillement sans se presser. D�goulinant de son sperme, je regarde la brute satisfaite. Il ne s'excuse pas de sa brutalit� ni de m'avoir inject� tant de foutre, il m'indique juste une salle de bain en remontant sa braguette et ajustant sa ceinture, avant de redescendre au bar le plus naturellement du monde.

Une fois lav� et revenant de mes �motions, je descends. Il est d�j� en train de servir les premiers clients et me propose ma consommation favorite. Pour lui, ce n'�tait qu'une formalit� ou plut�t une occasion vite consomm�e. Il est en plein service comme si rien ne s'�tait pass�.

Quand je pars, il me sert la main en me glissant avec un clin d'oeil:"Tu reviens quand tu veux".

Laurent est une brute vraiment sympathique.

Xavier le chef p�pini�riste:

Ce gars l�, j'ai plaisir � le voir � chaque fois que je vais � la jardinerie. Il est attentif et souriant. Quoique pas tr�s grand, il a un physique qui ne laisse pas indiff�rent m�me dans ses habits de jardinier.

Je lui pr�sente la situation. Je le trouve beau et je veux le sucer. Il est d'accord aussi et trouve, pour l'occasion, le local ad-hoc.

Une fois seuls dans la pi�ce, son approche est timide, il a besoin d'�tre guid�. Il me demande de me coucher et s'installe avec pr�caution sur moi, observe et sourit.

A califourchon sur ma t�te, il ne cache pas son plaisir de me sentir consentant entre ses cuisses. Le f�t durcit vite.

Avec l'excitation un d�sir de domination s'affirme. Il reste sympathique et pr�cautionneux mais plus insistant. Par test successif du type, il m'�crase la t�te de tout mon poids puis rel�che en cherchant du regard un acquiescement.

Comme l'acquiescement �tant toujours au rendez-vous, les muscles se lib�rent et la pression est plus forte. Il est bien plus couvrant. Il roule ma t�te sous sa braguette qui enfle.

Il souffle de d�sir et se met � �ter sa chemise avant que je ne le demande. Ouah ! il a un torse de boxeur superbement sculpt� par la manutention r�guli�re des plantes. Moi aussi, je le veux et je me mets � imaginer sa tige en fixant la bosse de son jean juste au dessus de mes yeux.

Il l'a compris en plongeant son regard dans le mien. Un large sourire se dessine sur son beau visage m�le. En bombant le torse, il me plaque fermement la t�te sous lui et en me fixant de ses yeux brillants, il �te lentement sa ceinture et d�grafe le haut de son jean en un mouvement hyper excitant.

J'adore ce moment o� le sexe, encore entrav� dans le tissu, s'impose au raz de mon nez exhalant d�j� son odeur.

Je d�couvre la couleur de son slip: rouge, couleur excitante. Je me mets � bander et me fait signe qu'il l'a vu en me caressant la braguette.

Il se met � se frotter sur ma figure par petit va et vient. Le jean descend et le slip rouge en sort pouss� par un p�nis turgescent bien dessin�.

Soudain, il s'agenouille et glisse son jean � mi-cuisse avant de se rassoir sur mon torse. Je ne perds pas une miette de ce mouvement et je me retrouve en face d'un slip rouge tendu par un sexe chaud, tr�s chaud.

Il entreprend de poursuivre lentement le striptease. En levant les yeux je vois les muscles de ses pectoraux et de ses �paules roul�s pendant qu'arcbout� au dessus de ma t�te, il se d�bat avec les lacets de ses chaussures.

Lorsqu'il les d�gage alternativement d'un coup de pied, il me regarde avec un sourire gourmand et se met � travailler � enlever les chaussettes. Je dis travailler car je sens tous les mouvements de son corps d'athl�te sur mon torse. Chaque � coup est une pression �quivalente � un massage cardiaque mais j'adore me sentir �cras� par ce gars viril et doux � la fois. Il est excitant et assur�ment je le chauffe. L'�rection est l� au raz de ma t�te pour le confirmer.

Il ne peut s'emp�cher de me faire sentir ses chaussettes avant de les envoyer balader pour s'attaquer au jean.

J'assiste au ballet de ses jambes puissantes et attirantes, couvertes d'un l�ger duvet de poils ch�tains boucl�s. Il les l�ve alternativement au dessus de la t�te pour glisser son f�t. Les cuisses et les mollets sont bien galb�s, le sexe press� par l'entrejambe suit le mouvement en me frottant le menton. C'est super jouissif. Le pantalon valdingue. Il est presque nu et il se r�installe proprement sur le haut de mon torse en slip les bras sur les genoux.

Il me pla�t, c'est un tr�s bel homme. La t�te au raz de son entrejambe, je profite des odeurs de m�le en rut qu'il d�gage. Il aime cette position dominante et prend son temps pour me parler de la suite du programme.

La suite est lourde.Il me dit qu'en enlevant son slip il va s'assoir sur ma t�te pour que je lui l�che profond�ment le cul.

Woh! je lui demande combien il p�se. Il me r�pond avec un brin de vantardise "je suis un beau b�b� de 65 kg pour 1m70, la configuration id�al du beau mec fait pour ta petite gueule". L� je suis d'accord mais je lui r�ponds inquiet que ma t�te va exploser sous ce poids. Il r�torque calmement en me d�visageant: "Ne t'inqui�te pas, tu ne vas rien sentir, � part mon cul et mes couilles qui te pr�parent un max de foutre. OK ?" et d'un mouvement du bassin il m'applique la masse molle de son slip rouge sur la bouche. L'odeur est forte et je bande de plus belle.

Depuis qu'il est presque nu, il est devenu nettement moins timide et tellement plus salace. M'avoir � sa merci lui donne de l'assurance. Il attend de moi un accord pour s'assoir:"Allez fais moi confiance tu ne vas pas le regretter. J'ai tr�s envie de te prendre et je te conseille de ne pas me pousser � bout sinon je vais te violer salement".

Ouahou ! je n'ai pas le choix. Je donne mon accord mollement et il me gratifie d'un superbe sourire.

Il avance d�contract�, son sexe chaud se colle � ma bouche, il s'y frotte lentement. Au bout d'une bonne minute, il se redresse et �carte les cuisses � fond faisant disparaitre ma t�te dans son entrejambe. C'est lourd mais supportable et la soumission � un beau mec qui vous impose sa force est tr�s agr�able.

Il me saisit la t�te � deux mains et me demande si cela va. J'oscille la t�te de bas en haut sur son slip rouge en signe d'assentiment. Il me r�pond que ce ne sera pas plus lourd j'ai d�j� tout son poids sur la gueule et il me sonde par un: "tu aimes". Re frottis-frotta dans la masse odorante de son slip. Les cuisses se tendent sous la caresse et il joue du bassin. Le sexe grossit, le p�nis d�fonce le tissu dans le prolongement de mon nez. Son d�sir enfle.

Ses mains quittent mon front et passe derri�re lui pour baisser le slip je pense. Il me fixe de ses yeux fi�vreux de plaisir et en avan�ant le bassin me fait dispara�tre sous lui dans la masse chaude et humide de son sexe.

Je sens le tissu remonter sur mon visage laissant place � la sensation soyeuse des polis odorants.

J'ai le nez sous les couilles imposantes de Xavier, la bouche sur son anus. Je ne vois rien, je sens et ressens tout. Il s'assoit. La pression est forte mais toujours supportable. Elle n'est pas r�guli�re car il se contorsionne pour �ter d�finitivement le slip rouge que j'aimais bien. Je ne vois rien mais j'imagine que ce doit �tre super sexy de voir un mec muscl� comme Xavier glisser tranquillement son slip le long de ses jambes d'athl�te assis sur ma t�te.

Je ressens tous les mouvements de son fessier pendant la dessape et je comprends que c'est fini lorsque la pression se rel�che et qu'il me cale bien la t�te sous lui comme s'il couvait un oeuf.

Il m'ordonne de titiller son anus avec la pointe de ma langue. Je m'ex�cute et le sens vibrer de plaisir au dessus de moi. Je suis aveugl� par ses couilles et je me demande ce que je vais d�couvrir quand Xavier va basculer pour me planter son p�nis. Je ne l'ai pas encore vu mais je l'imagine conqu�rant �rig� bien raide au dessus de mon front.

Il y a transmission de penser car il recule en me plaquant ses grosses couilles fr�missantes sur les narines. En me serrant bien la t�te, il me pr�sente � l'aplomb de mes yeux son �norme �rection.

Ouah, c'est g�ant. Un beau phallus bien dress� gland rouge comme le slip compl�tement d�gag� me surplombe. La t�te de Xavier loin derri�re ne perd pas miette de ma r�action.

Elle lui plait et tous les muscles tendus, il me prend la t�te � deux mains et souriant il commence � peindre mon visage avec son gland rouge en me disant:"Tu aimes �� hein! respires � fond!"

Je prends un forte inspiration. "Ouais! maintenant go�tes le!" et il me plante son gland rouge sur les l�vres en �cartant les cuisses au maximum.

Xavier au dessus de moi est pr�t � porter une formidable estocade, il est majestueusement arqu� sur ma t�te. J'ouvre la bouche et il entre en souplesse faisant coulisser lentement son p�nis sur ma langue.C'est succulent.

Imperceptiblement il acc�l�re la cadence de son bassin et s'enfonce plus profond. Mon nez rejoint la toison luisante et odorante de son pubis. Je suis au ange et je suce. Il se contracte puis se couche sur moi, me couvrant compl�tement, il se met � me ramoner � fond et me gicle plusieurs salves de sperme dans la gorge.

Xavier �ructe de plaisir en me vissant sur le matelas sans m�nagement. Il est dominant et je l'adore bien plus comme ��.

Quand il a bien jouit dans ma gueule, il ne se retire pas mais reste allong� sur moi bite enfonc�e. J'adore son contact et le nez dans la sueur de ses poils j'attends patiemment.

Une fois bien rel�ch�, il se l�ve et je vois son physique de r�ve se d�plier au dessus de moi. Les mains sur les hanches la bite maintenant pendante mais toujours attirante, il me parle en souriant :" Tu m'as fait passer un super moment, si tu es OK, je te remets �� la semaine prochaine au m�me endroit. C'�tait g�nial!"

Je me remets difficilement de son contact muscl�, mais il me tente bien. Il est super bandant mon p�pini�riste.

Pendant qu'il se rhabille, je r�fl�chis. Une fois pr�t � partir il me demande ""Alors?". Je r�ponds "OK pour la semaine prochaine."

De joie, il me donne une bonne bourre en disant rageusement "Yes" et il part en sifflotant. Il risque d'�tre encore moins timide la semaine prochaine et je vais faire un s�jour d�complex� dans ses cuisses. J'imagine le tableau.

Mais pour l'instant, je reprends mes esprits, je vais maintenant servir un jeune cafetier plein de vigueur et il a montr� une certaine impatience � m'accueillir. Il doit m'attendre de bite ferme dans sa chambre.

Serge le jeune cafetier

Quand je me pr�sente, il est en train de rentrer son mobilier d'ext�rieur. Il m'accueille avec un large sourire. Visiblement il m'attendait.

Il me propose m'installer � l'int�rieur � la table le long du mur.

Je m'assois et l'observe empiler ses chaises, porter ses tables et ses parasols. Je d�taille rapidement son physique, chemise blanche, les manches retrouss�es sur des avant-bras l�g�rement poilus. Ventre plat, un jean bleu fonc� taille basse avec une grosse ceinture. Les muscles du dos lui d�forment la chemise � chaque fois qu'il l�ve un paquet de chaises. Il revient avec une s�rie de 6 chaises empil�es qui ne semblent pas lui peser. Il est s�rement plus fort que son physique fin ne le laisse supposer.

Il passe devant moi et va poser ses chaises dans un coin du bar. En revenant, il prend un verre et me propose un whisky. J'accepte et il me sert une triple dose. Il s'en prend un aussi qu'il descend cul sec et en me lan�ant un clin d'oeil: "C'est pour nous �chauffer un peu et te donner du courage, tu vas en avant besoin, question sexe, je suis tr�s chaud comme mec. Bois le d'un coup. C� va te faire du bien"

Il a raison, je suis un peu nerveux. J'engloutis mon triple whisky. Il me reprend le verre et me sert la m�me dose en me disant de le d�guster tranquillement le temps qu'il finisse de ranger.

Il ne traine pas � ranger le reste du mobilier. Je remarque que son jean est d�j� gonfler au niveau de la braguette et il se d�place dos � la rue pour �viter d'�tre remarqu�. Il a une belle allure. Un petit c�t� macho dans la d�marche qui ne me d�plait pas. Il revient avec un lourd parasol et en croisant mon regard, il s'arr�te, enjambe le parasol et pousse le bassin en avant dans un mouvement tr�s �vocateur en me lan�ant: "Bient�t ton tour. Tu vas trinquer mec.". Ses paroles l'excitent, c'est un dominateur, il me fait un peu peur.

Il pose le parasol dans un coin, va chercher rapidement les derni�res chaises, baisse les stores du caf� et en deux tant trois mouvements vient directement s'assoir sur la table en face de ma chaise cuisses bien �cart�es, ajustant l'�norme excroissance de son jean face � ma t�te. Je bois mon verre de whisky en ne perdant de vue cette bosse point�e vers moi. Ouaouh quel m�le !. Je pose le verre et vient frotter mon nez et mes joues sur la bosse et tout autour en le regardant par dessous avec un regard de soumission compl�te. J'obtiens un sourire �clatant, un peu carnassier et surtout l'aide de ses mains qui en me prenant la t�te me dirige dans les endroits sensibles.

Me plongeant le nez dans le creux de sa cuisse droite, il resserre un peu et me dit : "Tu le sens bien mon sexe. Oui vas-y colles toi s'y serr� et inspire. Tu sais qu'on a le temps, personne ne vient et on ne m'attend pas � la maison. Tu m'as excit� avec ta proposition. J'y ai pens� toute la journ�e. J'ai envie de d�marrer assez vite les pr�liminaires. Je verrais bien une petite fellation pour me lib�rer un peu. Pas le m�ga-truc qui va durer et que je te r�serve pour tout � l'heure dans la petite chambre au dessus. Juste une petite mise en bouche. Enl�ves moi le jean !" et �cartant bien les cuisses il me plaque sa braguette sur la bouche et �tes lentement sa chemise.

L'effet du whisky aidant, j'�carte la chaise pour me mettre � genoux et frotter mon visage dans son entrejambe en admirant le torse qui se contorsionne au dessus de moi. La chemise vole dans un coin du bar. Prenant appui sur les bras, il s'installe confortablement sur la table m'aidant par la seule action de ses cuisses � mieux coller son jean. L'odeur est bonne et chaude. Son visage est radieux, il me fixe en souriant la bouche l�g�rement entrouverte, la langue gourmande d�passant au raz de sa l�vre inf�rieure.

Il me regarde faire en jouant parfois avec l'�lastique de son slip. Slip qui vu l'�ge de son athl�tique propri�taire d�passe largement de son jean taille basse en arborant la marque f�tiche des s�ducteurs. En fixant ce sigle au raz des abdos prometteurs du cafetier, je pense � tous les beaux mecs virils qui ont pr�t�s leur corps � la marque et que j'imaginais souvent en r�ve �rotique � califourchon sur moi.

Je bande et enfonce voluptueusement la t�te dans la masse moelleuse du sexe pour en �valuer la rigidit�. C'est mieux qu'en r�ve et je bande encore plus. Lui aussi!.

En r�action, il serre les cuisses sur mon visage et se tend de plaisir accentuant la compression de son engin entre la boucle de son ceinturon et ma face. Je sens son corps vibr� et son p�nis pr�t � faire �clater la fermeture �clair.

Il lance en haletant:" Allez tombes moi le jean. Vite! Je ne tiens plus"

Le visage �cras� sur le tissu au niveau de ses couilles, je saisis � t�tons la ceinture et la d�grafe maladroitement. D'impatience ses mains rejoignent les miennes pour aider. Le contact de sa peau me plait.

La ceinture ouverte, il d�grafe la braguette et ouvre compl�tement son jean lib�rant au raz de mes yeux une belle �rection qui tend le slip vers le plafond.

Il n'est plus allong� sur la table mais assis au bout et il s'aide de ses bras muscl�s pour me ramener la face directement sur l'�rection.

En projetant d'un coup de fessier la table plus loin, maintenant Serge est debout, la table � rejoint la chaise par terre et il m'�crase son slip sur la figure. Sous l'effet de la gravit� et des � coups qu'il donne en m'�crasant sur le mur, le jean tombe � ses chevilles.

Gr�ce au jeu de miroirs du bar, je peux voir du coin de l'oeil la sc�ne.

Il est debout arcbout�, mains derri�re le dos, cuisses tendues, regard point� vers ma t�te, s'appliquant � me presser son slip sur le visage. Il a un grand sourire et son p�nis qui roule sur ma face se fraie tranquillement un passage vers la sortie. Le gland rose de Serge apparait au raz de mon front et il me le presse fortement pour le d�calotter � fond. Il ram�ne ses mains sur ma t�te et me positionne les narines dessus. L'odeur de sperme et de pisse s�ch�e qui m'excitait quand je fouillais son slip du nez, se renforce et j'hume la cerise � fond.

Il jouit de ma soumission, rabaisse son slip � mi-cuisse et m'enjambe la t�te de fa�on � me coincer la face dans son entrejambe, le nez dans les poils et ses testicules odorantes. Son �rection enfin lib�r�e est tendue dans le prolongement de mes yeux.

Il me regarde satisfait et confirme: "T'aimes �� l'odeur du m�le au travail. Profites en je vais te malaxer quelques minutes pour faire monter la s�ve"

Il me frotte fermement ses couilles sur le visage en jouant des cuisses et en regardant les miroirs je ne perds pas une miette du va et vient qu'il m'imprime. La vue de ses fessiers de ses cuisses en action et de son p�nis tendu au dessus de ma t�te me fait bander aussi. Je lui caresse le dos des cuisses et il se tend de plaisir la t�te en arri�re les yeux ferm�s, amplifiant significativement la cadence de ses mouvements.

Soudain un puissant jet de sperme gicle sur le mur et me retombe dans les cheveux. S'�cartant du mur et campant sur les deux jambes, il pointe son p�nis humide sous mon nez en me demandant d'ouvrir la bouche pour absorber la deuxi�me gicl�e en pr�paration.

Je refuse plut�t impressionn� par l'engin qui cherche maintenant � me p�n�trer la bouche et je re�ois en pleine face la deuxi�me salve. Il rigole de me voir engluer dans son sperme et me dit qu'il fallait �tre plus rapide. Il se met � m'�taler le sperme sur le visage avec les poils de son pubis avant qu'il ne coule. Dans la toison drue, je respire un cocktail d'odeur de sueur et de sperme frais. C'est savoureux. Le p�nis bien tendu de sperme s'accroche dans mon cou d�gorgeant le reste de sa semence dans ma chemise.

Ayant bien frotter mon visage dans son pubis, il me retourne la t�te vers le mur, me l'�crase dessus les yeux au niveau de la d�goulinure et me dit: "On ne va pas laisser cette trace o� je vais �tre rep�r�, l�ches moi �� consciencieusement".

Je m'applique � essuyer avec ma langue tout le sperme pendant qu'il colle � ma t�te le p�nis glissant sur mon cr�ne.

Quand j'ai fini, il se d�shabille, �tes son slip, essuie le mur avec et me l'enfile sur la t�te. J'ai le nez dans le fond de sa culotte avec en prime une l�g�re odeur de cul. Compl�tement nu, il remet les tables et la chaise en place, reprend ses affaires en boules et me dit:"Allez suis moi on va continuer dans la pi�ce l�-haut" et me prenant par la main, il m'entra�ne vers l'escalier.

J'esp�re qu'il ne va pas comme Laurent l'autre fois me faire monter � quatre pattes la t�te serr�e sur son sexe. Mais non, il monte les quelques marches rapidement, me laissant admirer son petit fessier excitant.

Nous arrivons dans une petite chambre �quip�e d'un grand lit avec des miroirs partout m�me au plafond. Serge doit �tre un adepte des �bats sexuels et doit aimer s'admirer.

Il me lance:"Allonges toi sur le lit, on va jouer s�rieusement maintenant. Il va d'abord falloir que tu me r� excites." En effet, je remarque que son p�nis pend entre les jambes compl�tement d�gonfler.

Allong�, je regarde au plafond Serge �voluer dans la pi�ce. Il me lance un regard satisfait � travers le miroir et monte sur le lit. Il se positionne au dessus de ma t�te et s'accroupit lentement en se branlant. Il me laisse admirer son trou qui s'ouvre vers moi et ses couilles qui ballottent suspendue au dessus de ma t�te. Il vient m'�ter son slip que je porte en cagoule depuis tout � l'heure, puis sans transition continue sa course pour s'assoir. Il m'applique d�licatement le cul sur la bouche. Il me laisse juste assez de place pour respirer dans sa raie duveteuse. Quelle bonne odeur de cul propre.

Il regarde au plafond pour s'assurer que ma vue n'est pas bouch�e. Mes yeux croisent les siens dans le V de ses fessiers puissants. Il ajuste sa posture en avan�ant un peu pour que je profite de la vue de son dos muscl�.

Ensuite, il me d�boutonne la chemise et posant ses mains loin de part et d'autre de mes hanches, il vient d�poser son p�nis sur mon torse. Le contact de sa tige m'excite.

Dans les glaces, je vois le corps nu et muscl�s de Serge me couvrir de plus pr�s et amorcer des petits va et vient. Il coulisse son p�nis entre mes deux pectoraux et il enfle.

En vision directe je n'ai que sa raie qui s'ouvre et se ferme sur mon nez � chaque aller-retour. Au plafond, je vois tout son corps en action en appui sur les bras, les cuisses bien �cart�es pour mieux presser son p�nis sur mon torse. Ma t�te bien log�e dans la plante de ses pieds, d�passe derri�re ses fesses.

Au fur et � mesure que son p�nis durcit, il me plaque la t�te dans sa raie avec les talons et me demande de titiller son anus avec la langue en pointe. Je m'ex�cute en ajoutant de petits mordillements qui font leur petit effet, je le sens � la pression sur mon torse.

Serge commence � pousser des petits g�missements de plaisir en acc�l�rant les va et vient. La t�te redress�e, les bras tendus, tous les muscles de son dos et de ses �paules sont dessin�s, l'intrados de ses cuisses toucheraient presque le lit, les fessiers puissants forment deux beaux muscles avec des fossettes bien creus�es, les mollets et les cuisses sont gonfl�s � bloc. La pression la dessous augmente et je commence � avoir du mal � respirer. Ma t�te disparait imperceptiblement dans son entrejambe. Lorsque mon nez ayant ratiss� sa raie se retrouve dans les testicules, j'asphyxie compl�tement et commence � me d�battre. Serge se redresse et s'assoit sur les talons. Ma t�te sous ses boules je ne vois rien mais ma bouche s'ouvre en grand pour r�cup�rer de l'air.

Il profite de la position, pour le malaxer le visage sous son sexe en m'enfournant son pouce dans ma bouche ouverte. Vu le go�t sal� renouveler � chaque passage, je pense qu'il lubrifie son gland couvert de sperme s�ch� avec ma salive.

Je ne vois rien mais tout le plaisir est dans l'odorat et la pression de son corps chaud. Je me mets � bander furieusement et je l'entends approuver en rigolant.

D'un coup, il se redresse sur les genoux et pointe son p�nis sur la bouche en glissant la cerise sur mes l�vres et mes narines.

Au bout de son p�nis arqu�, je suis hypnotis� par les parties qui me couvraient le visage depuis un moment. Il s'agit des testicules fr�missantes bien rondes et serties dans une �paisse for�t de poils ch�tains qui se perd dans la vall�e de sa raie et descend en se clairsemant le long de cuisses puissantes. Pas �tonnant que ce soit fort en odeur de m�le.

Il se contorsionne au dessus de moi en observant ma r�action � l'insistance de la pression de son p�nis sur ma bouche. Il ponctue une pouss�e une peu plus forte en se mettant en position de faire des pompes par un "aller ouvre mon mignon, suces la grosse paille". Je r�siste et il commence � faire des pompes au dessus de moi me labourant le visage de son sexe.

Au bout d'une dizaine de pompes, il se couche sur moi en collant ma t�te dans sous son aine gauche, le p�nis turgescent coll� le long de mon nez. Je l�che tout ce qui se trouve � porter de langue et il se frotte comme un gros chat approchant imperceptiblement son gland de ma bouche. Je le saisis au passage et le su�ote. Il d�colle un peu son pubis en s'appuyant sur le genoux gauche pour m'observer au prise avec son p�nis qu'il commence � faire coulisser en l'enfon�ant doucement. Ces boules battent en rythme contre sa tige juste au dessus de mes yeux en descendant doucement vers mon nez.

Le p�nis rentre et je commence � saliver dur en essayant de suivre le rythme pour ne pas �touffer, inspirant du nez � chaque remonter de l'engin.

C'est alors que le cafetier d�cide de me visser. J'ai d�j� entendu un bel am�ricain parler de "screwing" en mati�re de sexe et j'en avais �t� �moustill� au point de l'imaginer sur moi. Ici c'est bien r�el, tout en continuant les va et vient de son p�nis, il se met � tourner au dessus de moi de 180 degr�s.

Je ne perds pas un miette du spectacle. Les couilles laissent place � l'int�rieur muscl� d'une cuisse, je vois rapidement au plafond l'ensemble massif de mon partenaire, pos� sur moi comme une grosse araign�e, enjamb� mon torse avec sa cuisse et ma vue est vite bouch�e par le pubis touffu et les abdos tendus.

Enfin install� dans une nouvelle posture, il se redresse et m'observe tout sourire en enfon�ant son p�nis plus profond�ment.

La cadence s'acc�l�re et son visage se crispe bouche ouverte au fur et � mesure que la tension augmente.

Soudain, il se cabre, ram�ne ses deux mains sur ma t�te et m'enfonce au plus profond de ma gorge son p�nis chaud. Le nez �cras� dans son pubis en sueur, je re�ois une s�rie de gicl�e de sperme et je l'entend r�ler.

Puis, il rel�che tout et assis sur mon torse, le p�nis encore en partie dans ma bouche, il me regarde chaleureusement.

La sueur luit sur sa peau, sa respiration est rapide, il sent bon et rayonne de plaisir en me f�licitant de ma prestation. Il est beau et je pompe son p�nis pour ne pas perdre une goutte de cet instant o� arqu� au dessus de moi, il rel�che sa musculature et se repose.

Nous restons comme cela deux minutes � communier puis il m'enjambe la t�te et s'assoit au bord du lit.

J'ai une vue imprenable sur son dos et son flanc droit. C'est un bel athl�te. Il me regarde et me dit qu'il va �tre temps de nous s�parer. Il se l�ve, se rhabille lentement en m'invitant � faire de m�me.

Il me raccompagne � la porte en me serrant la main et en m'invitant � revenir le voir souvent.

H�las tout � une fin mais j'ai maintenant au moins 3 adresses pour me faire plaisir.

JV

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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