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clash 1
Vendredi matin
Je me suis �croul�, la fatigue, la tension et surtout un bon somnif�re qu'il avait mis dans le deuxi�me verre qu'il m'avait servi (je l'ai su le lendemain).
Quand je me r�veille, il fait jour. Je panique 2mn, chambre inconnue, lit idem avant de retrouver les souvenirs de la veille.
Il est 8h2/4, je suis d�j� au travail d'habitude.
Je descends l'escalier suivant les voix de Ric et son p�re. J'entre dans la cuisine, Andr� me dit bonjour et Ric me saute au cou pour me faire un gros bisou sur la joue.
Je suis d�phas�, comme un automate je prends un caf�. J'entends Andr� (le p�re de Ric) me dire qu'il avait appel� � mon travail pour les pr�venir que j'�tais soufrant et que je serais absent aujourd'hui. Je me rappelais que comme il avait eu mes fiches de paye en main, il savait o� je bossais.
Ric parti au lyc�e, il me dit qu'il fallait lui aussi aller travailler, que la maison �tait � moi et que je n'aurais qu'� claquer la porte si je partais.
Une fois seul j'ai pris une douche, puis j'ai piqu� un shorty et un T-shirt � Ric, je n'aime pas remettre les sous v�tements de la veille.
J'ai pass� la journ�e � r�fl�chir et finalement, vers 16h je suis rentr� � la maison. J'aime trop Mac pour le quitter mais faut quand m�me qu'il me laisse de l'oxyg�ne !
En arrivant, je laisse la voiture dans la cour et alors que je venais juste de passer la porte, je me sens emport� dans une tornade.
Les bras de Marc me serrent contre lui, sa bouche embrasse tout ce qui lui tombe dessous, nez, oeil avant de trouver ma bouche et de se souder � elle. Il pique, pas ras� ce matin !
Surpris je mets quelques secondes � r�agir. ;Pas la peine de vouloir le rejeter, de mon cot� je bande, j'ai chaud ... lui est dans un �tat que je ne lui ai jamais vu.
Il se calme, me tient � bout de bras et m'examine sous toutes les coutures. Il me t�te, v�rifie que je n'ai rien et que mon escapade n'a pas eu d'effets physiques. Il tique sur le T-shirt. Je le vois mais il se retient de me demander quoi que ce soit.
Puis il me tourne le dos et me demande si j'ai faim. Je dis oui, j'ai rien pu manger ce midi !
Je le suis � la cuisine, il pr�pare le repas en silence. Je devine qu'il aimerait en savoir plus, mais j'attends, petite vengeance perso.
Nous mangeons en silence.
Tout d'un coup nous nous rendons compte que c'est vendredi et que ni l'un ni l'autre ne devrait �tre l� � cette heure.
Le premier il questionne : le travail ?
R�ponse aussi br�ve : me suis fait port� malade.
Mon tour : toi ?
R�ponse : idem.
Je pr�pare le caf� que nous prenons enfonc� dans les canap�s du salon.
L� je d�cide que c'est assez, je prends une grande inspiration et lui dit d'un trait que j'ai pass� la nuit chez Ric et son P�re. Puis je le fixe des yeux.
Non seulement il n'est pas ras� mais il a des cernes pires que quand on a pass� une nuit compl�te � baiser.
De sa voix grave, il me dit qu'il a pass� la sienne aupr�s du t�l�phone redoutant l'appel du Samu ou des pompiers. Une l�g�re f�lure dans la voix.
Je ne peux m'emp�cher de le rejoindre sur son canap� et de me glisser dans ses bras.
Sans un mot, il me serre fort dans ses bras. Il me fait un peu mal mais je ne dis rien.
Je le sens bander sous moi.
Je glisse et m'allonge, la t�te sur ses cuisses.
Je mords son sexe au travers du jeans d�form�. Il me laisse faire.
J'ouvre la ceinture, le bouton e t le zip. Sa bite n'est plus retenue que par le fin tissu du slip. Je salive, mouille pour faire apparaitre la forme exacte du gland.
Ses 22 cm sont bien fermes, je descend le slip sous ses couilles et embouche le gland. Je mets toute ma science dans cette fellation qu'il se rende compte de ce que sa " pute " est capable de faire.
Je m'attarde sur le gland, le r�pant de ma langue, mordillant la couronne, le faisant gonfler encore plus,.
Bien violet, je le laisse pour m'attaquer � la hampe et aux couilles. Gob�es une par une, je les ai fait rouler dans ma bouche.
Je ne sais combien de temps a dur� cette pipe mais � un moment j'ai senti le sperme bouillonner dans ses couilles. Je suis remont� vite le prendre en bouche. Le gland sur mes l�vres, dans ma bouche, contre ma glotte, dans ma gorge, une fois, deux fois, � la troisi�me fois il a tout l�ch�.
Son jus m'a envahi. Sous peine d'�touffer, j'ai aval�. Un nectar, il n'arr�tait pas de juter.
J'ai continu� � le sucer, il ne d�bandait pas. En me tortillant je me suis d�barrass� de mon jeans et du shorty.
Puis les yeux fix�s dans les siens, � cheval sur ses genoux, je me suis empal�. L'excitation et la salive laiss�e sur son gland on rendu l'intromission pas trop douloureuse. Lentement, cm par cm je me suis assis sur ses cuisses, savourant la dilatation progressive de mon anneau par sa bite.
C'est trop bon de sentir sa queue dans mon cul. Je serre un peu, il sursaute.
Mes genoux de chaque cot� de ses cuisses, je me redresse, le faisant glisser hors de mon fourreau anal, puis me rassoit. Lentement je succ�de les mont�es aux descentes, sa queue glisse de mieux en mieux.
Les cuisses brulantes je fais une pause, les fesses coll�es au siennes, sa bite au plus profond de mon trou.
Il prend le relais, il me bascule, le dos sur la table basse sans sortir de moi.
Puissamment, il me laboure alternant des mouvements complets avec sortie totale avec des plus courts laissant son gland prisonnier de mon cul.
Je savoure, attentif aux moindres messages sensoriels provenant de son action.
Tout doucement, il fait monter mon excitation, ma�trisant le jeu. C'est alors que je n'en peu plus qu'il se l�che et m'encule plus sauvagement. C'est trop bon, j'�jacule entre nos abdos alors que je le sens se vider en moi.
Quand on se d�colle, le silence g�n� reprend sa place. Je pars me doucher.
Jardinier
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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