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Christine et Didier

Aussi �trange que cela puisse para�tre ma premi�re exp�rience homosexuelle a commenc� par une relation h�t�ro. Mon p�re m avait emmen� dans un club de vacances pour les vacances de no�l. Plus concentr� sur les charmes de sa nouvelle petite amie que sur son r�le de p�re, il me laissait une grande tranquillit�. Tranquillit� que j avais du mal � occuper malgr� le charme du soleil des tropiques et les nombreuses activit�s sportives offertes.

C'est pourtant sur le ponton de ski nautique que j ai rencontr� Christine. Brune pulpeuse de 35 ans � peu pr�s, elle ne pouvait laisser indiff�rent personne, car son corps ne pouvait inspirer que le d�sir ou bien de la g�ne face � son attitude quelque peu provocante, voir limite vulgaire.

J'�tais fascin� par ses gros seins sur son corps muscl� et la petitesse de son maillot de bain qui laissait deviner bien des choses. Pr�datrice, elle ne mis pas longtemps pour se rendre compte de mon int�r�t et me le fis savoir par de grands sourires pendant que les skieurs se succ�daient.

Elle �tait devant moi. Alors que je venais de finir mon tour je fus surpris de retrouver Christine qui m attendait sur le ponton pour soit disant me f�liciter de mon style mais surtout pour me proposer de boire un verre. J'acceptai. Elle me proposa imm�diatement d aller dans sa chambre ne me laissant pas le temps de me demander mon avis. A peine la porte ferm�e, elle se rua sur moi tout en tirant sur mon maillot de bain. Elle commen�a � me pomper la queue. Elle me mettait une barre d'enfer. La garce avait une sacr�e technique. Elle faisait des allers retour entre mes couilles et ma queue avec sa bouche et sa langue tout en me tenant coll� contre le mur et en tenant mes mains. Je n'avais que tr�s peu d'exp�rience et j'�tais surexcit� par le plaisir qu'elle me procurait. Elle me l�cha enfin pour se d�shabiller totalement.

Elle me dit de me mettre sur le lit et continua � me pomper, l�cher mes couilles puis enfin le cul. J'�tais en trans. Je venais de d�couvrir le plaisir anal par la langue d'une femme. Malgr� ma g�ne, je relevais mes jambes pour qu'elle me l�che le plus profond�ment le cul avec sa langue. Elle vient ensuite sur moi me chevauchant. Ma bite la p�n�trait. Elle me branlait la queue avec son vagin au dessus de moi tout en tenant mes mains. Consciente qu'un jeune puceau comme moi n'allait pas tenir longtemps comme cela, elle se releva pour me mettre sa chatte contre la bouche. Ob�issant, malgr� une odeur nouvelle je me mis � lui l�cher son sexe. Elle se servait de ma langue comme une mini bite en m'invitant � bien la bouffer. Elle se retourna pour se mettre t�te b�che. Je lui bouffai toujours la chatte pendant qu'elle me su�ait la bite et encore le cul.

Il ne lui fallu pas 3 minutes pour qu'elle m introduise un doigt puis deux dans le trou. J'adorai cette sensation nouvelle. Je n'en pouvais plus et me mis � jouir. Elle ne perdit pas une goutte de mon jus. Elle avait tout pris en bouche. Je fus surpris lorsqu'elle vint m'embrasser me donnant � partager avec elle mon jus. Je l'embrassai pour la premi�re fois, gouttant de la m�me occasion pour la premi�re fois mon foutre. G�n� je ne demandais qu'� partir. C'est la qu'elle me demanda de la retrouver le soir venu, tout en notant au passage le num�ro de ma chambre. Elle me fis promettre d'�tre la � 23h, sinon me dit elle, elle viendrait me chercher dans ma chambre. Le reste de la journ�e fut pour moi �trange.

J'�tais devenu un grand. Je m'�tais tap� une femme et elle avait encore envie de moi. Je ne savais pas encore que j'avais plut�t rencontr� une vraie garce qui allait me faire d�couvrir le plaisir de se prendre une bite dans le cul.

23 heures. Je tapais � sa porte. Christine m'ouvrit la porte en gu�pi�re et porte jarretelles. Elle �tait superbe et en m�me temps terriblement vulgaire. Elle m'embrassa en me d�shabillant. Compl�tement � poil, elle me poussa sur la t�te pour que je lui bouffe la chatte. J'�tais en transe. C'est alors que Christine me dit avoir une surprise pour moi. Concentr� sur sa chatte, il me fallu bien une minute pour me rendre compte que nous n'�tions pas seuls.

Un grand mec muscl�, d'une trentaine d'ann�e, �tait derri�re moi. Je ne savais comment r�agir. J'�tais � poil face � un mec que je ne connaissais pas mais que visiblement Christine avait l'air de conna�tre. Je me sentais pi�g�, � juste titre. Il se pr�senta � moi. :

" Je suis Didier et je suis le mec de Christine ". " Continue. Te g�ne pas pour moi. Christine m'a pr�venu de ta visite ". Je regardais Didier. C'�tait une vraie force de la nature. Un bon m�tre quatre vingt dix, des pectoraux d'enfer sous un tee shirt moulant, une gueule de dur avec une barbe de 4 jours et des cheveux tr�s courts. La situation me faisait flipper, le mec aussi. Je ne l'avais jamais encore vu dans le club. Je ne savais comment r�agir. Christine pris les devant. Elle se mit � me pomper. Ma queue avait perdu de sa vigueur et tardait � en reprendre du fait de la pr�sence de Didier.

Il m'encouragea pourtant en me disant " elle pompe bien non. Laisse toi aller. On va lui faire sa f�te � deux � cette salope. " Pouss� sur le lit, Christine �tait � quatre pattes pour me pomper. Didier retira alors son tee shirt. Malgr� mes ann�es d'�quitation, d'aviron et de foot qui faisait de moi loin de la, un freluquet, j'�tais impressionn� par sa musculature et surtout par sa toison. De la ou j'�tais je le vis se pencher en avant, alors que ses deux grosses pognes �cartaient le cul de Christine. Il lui bouffait le cul et le clito � grand coup de langue.

Elle g�missait tout en ayant ma bite en bouche. Je bandais de nouveau. J'�tais fascin� par la situation. Christine se cambrait de plus en plus abandonnant ma bite pour pr�f�rer me l�cher les couilles et encore le cul. Elle �tait compl�tement offerte. Didier se redressa. Je voyais pour la premi�re fois sa bite qui sortait de son slip. Sans avoir une id�e pr�cise de sa taille, on voyait bien qu'il en avait un sacr� morceau. " Tu la nique ou j'y vais en premier " me demanda t'il en baissant son slip. J avais une vue plus pr�cise de sa queue : un vrai bras d'enfant.

Par la suite je peux dire que j en ai vu des bites mais celle-ci restera probablement une des plus grosses que j'ai vu. Christine d�cida pour nous en s'empalant sur la queue de son mec, tout en gardant sa t�te entre mes jambes. Je me faisais l�cher la pastille pendant que son mec la baisait. Elle se mit � crier plus fort. Je comprendrais un peu plus tard que Didier venait de changer de trou et que m�me avec l'exp�rience d'une salope comme Christine il fallait en vouloir pour supporter la taille de la bite de Didier dans le cul. Christine pendant ce temps la poussait sur mes jambes pour mieux me bouffer le cul. Innocent et surtout galvanis� par le plaisir je me laissais faire. Didier �tait chaud et intima l'ordre � Christine de venir me chevaucher.

Install�e sur ma queue, Christine ne tarda pas � se prendre la queue de Didier dans le cul. Je sentais ses couilles battre contre les miennes et nos deux queues presque au contact. Christine gueulait de plaisir. " Mets ta bite avec la mienne dans le cul de cette salope " Je ne pouvais gu�re bouger mais Christine se releva avec toujours la bite de son amant dans le cul. Il se retira d'elle, puis empoignant ma queue l'introduisit dans le cul de Christine d�j� bien dilat� par ses coups de boutoir. Il commen�a � mettre sa queue dans le cul de Christine tout en gardant mes couilles en main.

Elle gueulait de se prendre ces 2 grosses queues. Sans vraiment en prendre conscience, j'adorai sentir mes couilles compress�es par la main de Didier. Mon d�sir allait devenir la base de ma soumission � ce couple pervers qui allait me transformer en encul� de premi�re.

Toujours avec nos deux bites dans le cul, Christine se faisait d�foncer de premi�re. Je sentais la queue de Didier frott� contre la mienne et je n'�tais pas loin de cracher. Sentant probablement que j allais jouir Christine retira nos deux queues de son cul bien ouvert. Didier continuait � tenir mes couilles en main. Je me sentais un peu � lui.

Il ordonna � Christine � venir me l�cher les couilles toujours prisonni�re de sa main. Elle l�chait avec ardeur puis ne tarda pas � venir me l�cher le cul. C'en �tait trop pour ma bite qui se mit � cracher mon jus. Elle n'en perdit pas une goutte en transformant sa bouche en v�ritable aspirateur � foutre.

Didier m'encourageait de la parole " c'est bien donne ton foutre � cette salope " tout en gardant toujours prisonni�res mes couilles de sa main. Je sentais un bonheur intense m'envahir. La derni�re goutte vers�e, Christine vint comme le matin me faire go�ter � mon foutre en m'embrassant goul�ment.

A quatre pattes sur moi, Christine �tait offerte. Didier ne tarda pas � la chevaucher. Ses coups de boutoirs se r�percutaient dans mon propre corps � travers la bouche de Christine. " Je vais te remplir salope " furent les derniers mots avant que Didier ne pousse un cri signifiant sa jouissance en Christine.

A ce moment la, Christine se releva pour venir mettre sa chatte devant ma bouche. " L�che moi " m'ordonna t'elle tout en �crasant ma gueule de son vagin. Je ne tardai pas � sentir le foutre de Didier couler dans ma bouche. Je ne pouvais r�agir. Je crois bien que j'ai tout de suite aim� cela.

En une journ�e, j'avais bouff� deux fois mon jus et maintenant je bouffais le foutre d'un autre mec. Didier m'encourageait " bouffe la bien et prend mon jus. C'est du jus de male pour toi petit puceau ". Sans vraiment le savoir, je venais de tomber dans les griffes de ces deux pervers qui allaient me faire d�couvrir bien d'autres plaisirs. Didier se releva tout en me donnant une claque sur la cuisse. Il dit " Bon pour ce soir ce sera tout, on se reverra demain pour d'autres aventures ". Je me relevais ayant toujours en bouche le go�t du foutre de Didier. Je restait fascin� par la bite de Didier qui pendait entre ses grosses cuisses muscl�s. Didier s'en rendit compte en me disant " elle te plait ma queue ". Je n'eu pas le temps de me d�fendre qu'il me dit : " tu auras pas longtemps pour y go�ter ".

Je ne voulu pas comprendre ce qu'il avait voulu dire bien que cette phrase revenait sans cesse en moi. De retour dans ma chambre, je me branlais et trouvais le sommeil. Le lendemain matin, arrivant dans la salle de restaurant pour le petit d�jeuner, je m'appr�tais � rejoindre mon p�re et sa p�tasse quand je m'arr�tais net en voyant � la m�me table qu'eux, Christine et Didier. Mon p�re m'appela pensant que je ne l'avais pas vu. Je me sentais tr�s mal � l'aise. Mes deux amants de la nuit eux au contraire semblaient tr�s � l'aise conversant avec la pouf de mon p�re. Leurs sourires envers moi m'apparurent comme une sorte de menace. Et s'ils allaient tout raconter � mon p�re. Je me sentais coupable. Ils triomphaient. Mon p�re et sa pouf se levant pour aller au buffet, Didier me le fit sentir : " tr�s cool ton p�re, quand on voie sa copine on voie bien que tous les mecs de cette famille aiment le cul. On va approfondir avec toi tout cela petit puceau".

Je tremblais qu'ils puissent parler de l'histoire de la veille. " Rendez vous dans une heure dans notre chambre". Ce n'�tait pas une invitation mais plus un ordre. Mon p�re ne tarda pas � se casser avec sa pouf. J'errais dans le club en attendant de me rendre dans leur chambre. L'heure arriva. Je frappa et fut accueilli par Christine � poil qui m'invita � me foutre � poil.

Didier sorti de la salle de bain tout aussi � poil. " T'inqui�te gar�on on va faire ton �ducation ". Je ne comprenais pas jusqu'o� cette phrase allait m'emmener.

"Allonge toi sur le lit, Christine va s'occuper de toi ". Elle se mit � me bouffer la bite et comme maintenant j en avais l'habitude sa langue descendit sur mon cul. Je commen�ais � me laisser aller quand Didier vint s'asseoir sur mon torse pour me pr�senter sa queue � sucer.

Vu la masse il �tait impossible que je r�agisse. Je ne pris pas tout de suite sa bite en bouche. " Allez suce. Tu as d�j� bouff� mon jus hier dans la chatte de Christine. La tu va l'avoir direct dans la gueule ! ".

Etouff� par son poids sur ma cage thoracique, je me mis � ouvrir la bouche. Il ne lui en fallu pas plus pour qu'il commence � enfiler sa queue dans ma gueule. " Ne fais pas tant de mani�re, pomper c'est facile. Tu va moins rire quand je vais m'occuper de ton autre trou ".

En parlant de trou, Christine �tait toujours en train de me bouffer le cul. La queue de Didier continuait � s'agrandir dans ma gueule. Ma bouche ne m'appartenait plus. J'�tais partag� entre humiliation et plaisir. Christine ne manqua pas de le souligner en s'adressant � Didier " �a a l'air de lui plaire de te sucer. Il bande comme un �ne ". Ce qui eut pour r�ponse de la part de Didier : "Commence � lui travailler le cul, j'ai h�te de go�ter � son petit cul de puceau.

Avant cela fait une photo pour immortaliser la sc�ne ". Christine alla chercher un polaroid et pris un gros plan de ma gueule rempli de la grosse bite de son mec. Je m'�touffais sur ce gros matos. Je sentis un produit froid qui commen�a � chauffer sur ma rondelle. Christine venait de me mettre du gel chauffant. Elle commen�a de la m�me mani�re � m'introduire un doigt puis deux qu'elle faisait coulisser. Je me sentais excit� et en m�me temps coupable. Christine revint vers ma t�te pour me montrer le polaroid. La vue de ma gueule avec ce gros chibre dans ma gueule suscitait un sentiment de malaise, mais aussi une certaine excitation.

Christine vint mettre une bouteille sous mes narines. C'�tait la premi�re fois que je prenais du poppers. Un peu d�sorient�, Didier en profita pour me retourner. Malgr� ma carrure d�j� � l'�poque, ce gros musclor n'eut aucun mal pour le faire. Didier avec son m�tre quatre vingt dix en imposait. D'une seule main il me tenait les deux poignets, m'imposant de me cambrer.

La il commen�a � me bouffer le cul. J'avais aim� avec Christine, j'en devenais dingue avec la grande langue et le menton r�peux de Didier. Christine venait me remettre le flacon sous le nez, me pr�parant � perdre ma virginit� anale. Quelques claques sur le cul et les injonctions de Didier du genre " ouvre ton trou " �tait en train de me rendre dingue. Enfin ce qui devait arriver, arriva. Didier pr�senta son gland face � mon cul qui tout comme moi ne savait pas bien ce qu'il devait faire. Didier m'avertit : " pour la premi�re fois tu va avoir mal au cul, mais apr�s tu va aimer cela et tu va devenir un vrai bon encul� ".

Son gland qui progressait dans mon trou, g�n�rait une vraie douleur. Il semblait s'en taper grave car inexorablement sa bite progressait en moi. Il s'arr�ta enfin. Mon cul �tait en feu. Christine me remis une dose de pop dans la gueule. Mon cul se d�contractait. Didier me complimentait par des mots que j'avais du mal � appr�cier � l'�poque : " il est bon ton trou ". " Tu va en faire des heureux avec un petit cul muscl� comme le tient " ou encore " je suis sur que tu va devenir un bon garage � bites". Il ne bougeait plus. La douleur s'apaisait malgr� la violence de l'entr�e et la taille de la queue.

Je me d�contractais. Christine fit remarquer que je n'avais pas cess� de bander. Cette phrase fis que la queue de Didier se remis en branle (c'est le cas de le dire). Moi qui pensais avoir pris l'int�gralit� de sa queue dans le cul, je la sentais encore progresser. Ce n'�tait plus la m�me douleur. Avec l'autre main (celle qui ne me tenait pas les poignets dans le dos), Didier recommen�a comme la veille � me tirer sur les couilles. Je crois bien que c'est la que j'ai commenc� � prendre mon pied. Les mouvements se faisaient plus importants. D'un aller simple jusqu'au fond de mon trou, Didier faisait des aller retour. A un moment, il est m�me ressorti totalement pour contempler " son travail ".

C'est aussi � ce moment la qu'il m'a remis sur le dos toujours en me tenant les poignets mais cette fois ci avec ses deux mains. " Tu le donnes bien ton cul, tu aimes cela ".... " Vas y file le bien .......tu as bais� ma copine, je me venge sur ton cul " Plus il parlait, plus ses coups de queue devenaient violent et profonds. " Je t'avais promis mon foutre dans la gueule, mais c'est dans ton cul que tu va te le prendre " Je me faisais ramoner grave et je prenais mon pied.

Christine observait et semblait y prendre du plaisir. Didier se coucha compl�tement sur moi. Moi toujours les jambes en l'air, il colla son aisselle qui sentait l�g�rement la transpiration. " L�che " et j'ob�is. J'aimais cette odeur, et signais par la m�me un peu plus ma soumission. Les coups de pine s'acc�l�r�rent alors que sa respiration se faisait plus courte. Christine se rapprocha pour commencer � me branler. Il ne fallu pas longtemps pour que je jouisse, suivi de peu par Didier qui me dosa profond�ment le cul. "Profite bien de ce moment" me dit Christine. "Tu dois te souvenir". Didier ajouta: "je suis sur qu'il s'en fera pleins d'autres de souvenir avec son cul"

Je n'�tais pas fier sur ce lit. Le cul rempli de ma premi�re dose de jus dans le cul, je ne bougeais plus. J'avais pris mon pied mais je n'osais pas r�ellement me l'avouer. " Aller on va immortaliser cela. Ca va te faire un souvenir. Christine prend une photo de son cul " s'exclama Didier. Elle s'ex�cuta pendant que Didier m'�cartait le cul de ces grosses pognes. D�j� une photo de ma gueule grande ouverte sur la bite de Didier et maintenant une photo de mon cul d�goulinant de jus, �a va leur en faire de jolis photos de vacances. Ils ont doubl� la photo avec un doigt de Didier s'enfon�ant dans mon cul. Pr�alablement il avait ramass� le jus qui coulait sur mon cul avec son doigt au pr�texte qu'il fallait bien garder tout le bon foutre qu'il m'avait donn�.

Ce mec �tait dominant et je crois que j'aimais cela sans me l'avouer. Il d�gageait une telle force. Je n'avais pas encore le sentiment d'�tre un petit pd. En repartant de leur bungalow, je me disais que j'avais baiser sa meuf et qu'il c'�tait servi sur moi pour se rembourser. Mais alors que j'aurai du me tenir � l'�cart d'eux, j'avais probablement envie de les revoir. J'�tais effray� de plus par les trois polaroids pris qu'ils avaient bien entendu gard�s avec eux, m�me s'il n'arr�tait pas de me dire que c'�tait des souvenirs pour moi. Didier en partant m'avait dis qu'il y avait plein de chose � me montrer encore. La journ�e se passa. Je ne cessais de repenser aux �v�nements des deux jours. Je restais prostr� dans ma chambre avec comme seul sorti le d�jeuner ou je retrouvais mon p�re et sa pouf.

Je craignais de voir Didier et Christine et ne tarda pas � rentrer dans ma chambre. L'apr�s midi je dus aller aux chiottes et crachais de mon cul le jus que j'avais gard� mais qui avait coul� un peu dans mon maillot de bain. Je regardais dans les chiottes le foutre de Didier qui semblait flotter au milieu de ma merde. Je ne savais pas pourquoi je l'avais gard� en moi jusque la mais je ne m'�tais jamais encore lav� le cul � l'�poque. J'avais senti le jus qui perlait de mon cul lorsque je m'�tais assis, notamment lors du d�jeuner. Ce n'avait pas �t� d�sagr�able vraiment.

Ca me rappelait ce qui c'�tait pass� le matin. La en voyant le foutre j'avais presque envie de le garder. Je mis un moment avant de tirer la chasse. Le d�ner arriva. Je me pointais juste pour retrouver mes parents de peur de trouver Didier et Christine au bar. La derni�re bouch�e englouti, je pr�textais �tre fatigu� pour rentrer imm�diatement dans ma chambre sans aller voir le spectacle qui est une vraie tradition dans tout club. Je me couchais et n'arrivais pas � trouver le sommeil. Je tournais en rond. Je n'arrivais pas � me concentrer sur un livre. A 1 heure du matin, je n'en pouvais plus et d�cidais d'aller au night sans savoir ce que j'allais y chercher.

Arriv� sur place, je sus ce que j'allais y chercher en voyant Christine qui dansait avec un mec sur la piste. Je ne voulais pas les rencontrer dans la journ�e et pourtant c'est eux que je venais chercher. Je ne vu pas tout de suite Didier qui �tait au bar en train de draguer une pouf blonde qui �tait GO gym. Je me demandais ce qu'il pouvait faire avec cette meuf. Bon c'est vrai Christine �tait pas un mod�le de distinction mais quand m�me.....en y repensant, j'�tais jaloux je pense. Je me rapprochai et commandai un verre.

Didier me vis et lan�a " y a mon ami puceau qui est la ". La blondasse gloussa. La il commen�a � expliquer visiblement un peu bourr� que je m'�tais taper sa femme la veille. La blonde ne riait plus et semblait m�me un peu g�n�e. En tout cas, elle pris un peu la poudre d'escampette. " Merde, tu viens de me faire d�camper mon plan pour ce soir. Qui va me soulager ce soir ? " Me demanda Didier. Christine arriva vers nous avec le mec avec qui elle dansait. Un allemand dont je ne souviens plus du nom. Un beau mec Barraqu� qui �tait comme Christine un peu �m�ch�. Je ne parlais pas mais �coutais les conneries qu'ils d�bitaient tout en continuant � boire des verres.

Ils ne faisaient pas vraiment attention � moi. La boite se vidait. On faisait un peu piliers de bar tous les quatre. Christine soudain dit � l'allemand qu'elle voulait baiser avec lui. En moi m�me, je me suis dit que je n'�tais pas le seul � me faire pi�ger par ce couple d'obs�d�. Christine se leva de son tabouret et parti suivi par l'allemand et Didier qui me fit un clin d'oeil. Je ne savais pas quoi faire. Je restais comme un con seul. La boite continuait � se vider quand je d�cida d'aller jusqu'au bungalow de Christine et Didier.

Arriv� devant la porte j'h�sitais mais mon d�sir �tait trop fort. Je frappais. Il fallu au moins 1 minute avant que la porte ne s'ouvre sur un Didier compl�tement � poil avec une gaule d'enfer. Il ne pris pas la peine de me dire d'entrer mais laissa la porte ouverte. La je pouvais voir l'allemand en train de niquer Christine de dos. Ce que je devinais de l'allemand habill� dans la boite s'av�rait exact devant moi � poil. Il �tait bien b�ti. Je ne pouvais pas voir sa queue qui �tait en Christine, mais je pouvais voir son cul bien blanc. Je rentrais dans la chambre et ferma la porte. " Allez met toi � poil. Tu es venu pour cela petit puceau. ".

Je restais un peu � l'arr�t pendant que Didier se repla�a sur le lit de mani�re � se faire sucer par Christine qui continuait � se faire niquer par l'autre mec. Je commen�ai � me d�shabiller mais je ne savais pas quel pouvait �tre mon r�le avec les trois partouzards sur le lit. Didier d�cida pour moi et me dit de l�cher le cul de l'allemand. Devant mon h�sitation, Didier se leva pour m'attraper par le cou. Avec ses grosses pognes, je me sentais tout petit. Il me tenait la t�te. Je du commencer � bouffer le cul de l'allemand qui semblait aimer le traitement que je lui prodiguait.

Pour �tre honn�te j'aimais cela moi aussi. Sentir la pogne de Didier qui m'obligeait � sucer ce cul muscl� m'excitait grave surtout que Didier m'encourageait par des mots tels que " soit un bon l�che cul ". Il me poussa la t�te vers la chatte de Christine qui �tait en train de se faire grave ouvrir. C'est ainsi que je m'aper�u que l'allemand en avait une vraiment grosse queue, m�me si elle �tait moins grosse que celle de Didier. L'allemand sorti sa queue pour changer de trou. Christine s'en prenait plein le cul. Didier dirigeait ma gueule sur la chatte de Christine que venait d'abandonner le mec. J'avais la gueule �cras�e dans cette chatte avec les couilles de l'autre qui tapait sur ma gueule. Je bandais. Didier s'en aper�u et me claqua le cul avec sa main dispo.

" Ca a l'air de te plaire de bouffer de la chatte, du cul et de la bite. Aller vient me sucer. C'est quand m�me un peu � cause de toi que la p�tasse blonde s'est cass�. Il va falloir que tu la remplaces. ". Je n'eu pas � m'interroger longtemps car me tenant toujours par le col avec sa grosse pogne, il me cala sa grosse bite dans la gueule. J'eu du mal � la bouffer au d�but et m'�tranglais dessus, puis je commen�ais � m'habituer et faisais sinc�rement des efforts pour la bouffer plus profond. Christine et l'autre mec avaient cess� de niquer pour me mater.

Christine vint embrasser son mec alors que je sentais l'autre mec me tripoter le cul alors que Didier me tenait toujours fermement la t�te. Apres le cul, il commen�a � me caresser partout. J'avais envie et tendais mon cul. Il le compris en me foutant de la salive au cul et en commen�ant � me doigter. Un peu surpris, je sursautais mais Didier me tenait fermement. Il me travaillait bien le trou et vint mettre sa queue en dessous de mon cul juste � l'entr�e. Sa bite commen�a � entrer en moi lorsque Didier appuya sur ma t�te tout en gardant sa bite bien au fond de ma gueule. Malgr� sa taille, son chibre rentrait relativement facilement dans mon trou. Ca me chauffait le cul mais sans que cela soit trop hard. Je voulu commencer � me branler mais Didier m'en emp�cha alors que Christine vint � mon aide en me foutant la bouteille de popers sous le nez.

Je redoublais d'ardeur � pomper la grosse bite de Didier pendant que l'autre mec faisait coulisser de plus en plus rapidement et de plus en plus profond�ment sa queue dans mon trou. Didier s'adressa � l'allemand pour lui demander si mon trou �tait bon. En r�ponse � cette question, il se d�gagea de mon cul en lui proposant d'essayer. Didier me foutu sur le bord du lit sur le dos et me planta sa bite que j'avais bien fait reluire avant. Ce mec avec ce poitrail velu et muscl� me faisait kiffer et j'�tais une vraie pute entre ces mains. Christine se mis dans la m�me position � cot� de moi pour contenter l'allemand. On �tait un peu comme deux trous offerts qu'ils s'�changeaient en commentant nos prestations. Didier qui �tait un niqueur de premi�re � un moment a eut envie de se taper le cul de l'allemand. Il me leva donc du lit pour que je lui bouffe le cul. Il �tait visiblement pas contre se prendre sa bite. J'appris plus tard qu'ils avaient d�j� bais� ensemble. " A toi l'honneur de commencer ". Didier s'assit sur le dos du mec alors qu'il �tait � quatre pattes. Il avait ainsi le cul bien tendu. Sans h�siter, je m'enfon�ais dans son trou lui arrachant un cri. Je commen�ais � lui piner hard le cul.

Trop excit�, je me vidais les couilles au fond de son cul en r�lant. Je n'avais pas retenu ma jouissance et allais le regretter. Didier lib�ra le trou � jus que je m'�tais choisi, en lui proposant mon cul. Venant de jouir, je n'�tais pas sp�cialement dispos� � m'en prendre plein le cul. Il s'en foutait en me jetant sur le lit et en venant s'asseoir sur ma gueule tout en me tenant les mains. Le mec me leva les pattes et me for�a le trou. On aurait pu entendre mes cris si Didier ne m'�touffait pas de son cul. Heureusement, ce traitement ne dura pas longtemps car il m'arrosa le trou rapidement. Didier me lib�ra pour c�der sa place � l'allemand qui poussa sur son cul pour me rendre en gueule le foutre que je lui avais largu�. La nuit n'�tait pas finie.

Je venais donc de me faire forcer le cul alors que Didier �tait assis sur ma gueule pour m'emp�cher de gueuler. Apr�s que l'allemand ait jouit, il me lib�ra la gueule pour c�der sa place � ce m�me allemand qui poussa sur son cul pour me rendre en bouche le foutre que je lui avais largu� pr�c�demment. Le cul rempli au jus et la gueule d�goulinant de mon propre jus qui avait juste eu le temps de s�journer quelques minutes dans le cul de l'allemand, je ne bougeais plus. C'est la que se produisit une chose extraordinaire. Didier vint me rouler une pelle. Je n'imaginais pas que cette brutasse puisse venir m'embrasser.

J'ai tout de suite aim� embrasser ce mec. Il me d�vorait la bouche. Rien � voir avec tout ce que j'avais pu conna�tre jusqu'� pr�sent avec des filles. J'�tais soumis � cette bouche virile et puissante, bien plus qu'en me faisant d�foncer le cul. J'�tais compl�tement � lui. Il go�tait par la m�me occasion mon jus que j'avais en bouche. Cela me paraissait dingue et en m�me temps je ne pensais plus, j'�tais dans le plaisir de l'instant.

Christine vint nous rejoindre de sa bouche. Je n'avais pas envie de partager la gueule de Didier. Christine le compris car rapidement elle me laissa pour moi tout seul sa bouche pr�f�rant venir me sucer la bite qui avait retrouv� toute son ardeur par de ce simple baiser profond de mon amant. Ce baiser a bien du durer 5 minutes jusqu'� ce que toujours en m'embrassant Didier vienne de nouveau m'enculer. Je prenais un pied pas possible. J'aurai aim� crier de bonheur si ma bouche n'�tait pleine de celle de Didier. Christine �tait en train de sucer l'allemand, puis rapidement lorsque celui-ci retrouva une bonne �rection elle se fit sauter � cot� de moi. Sans me toucher et apr�s m'�tre copieusement fait sauter, je me mis � jouir au m�me moment que Didier me remplissait les entrailles. Il resta en moi. J'aurai voulu fixer cet instant de pur bonheur. Je me suis endormi dans ces bras, le cul et le corps plein de jus.

Avec la rencontre de ce couple, j'ai d�couvert qui j'�tais vraiment. J'ai surtout d�couvert mon go�t pour les mecs virils puissants, pour les rapports de force et aussi faut il pr�ciser l'id�e de tous rapports sexuels pouss�s. Avec Didier et Christine nous nous sommes vu r�guli�rement pendant 4 ans et avons eu pas mal d'exp�riences assez trash ( je vous raconterai). J'ai toujours re�u les pelles de Didier comme une r�compense. Encore aujourd'hui, je garde la nostalgie de ce premier baiser entre males qui a fini de me convaincre que plus jamais je ne pourrai me passer des rapports avec les mecs.

Cette fin de semaine fut pour moi un bonheur alors que je continuais � bien me faire formater le cul. Bien entendu, ils gard�rent les trois polaroids mais maintenant je m'en foutais. Je me souviens que lorsque j'ai repris l'avion pour Paris, je gardais la derni�re dose d�pos�e dans mon cul par Didier avant de partir du club qu'il m avait d�pos� rapide mon petit trou de ;pd.

C'est seulement 2 mois plus tard que je pu les revoir tous les deux. Didier m'avait fil� un slip rempli de son odeur qui me permit de l'attendre. Ce slip, je l ai toujours.

David

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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