Cyrillo

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Christian, le directeur sadique -2

CHRISTIAN

Le lendemain de son entretien muscl� avec Youcef, Christian regrette d�j� de s'�tre autant emport�. Et si le jeune homme parle � quelqu'un? Et s'il d�pose plainte? Apr�s tout, avec toutes ces lois � la con, Christian est s�r qu'il y a un texte quelque part qui interdit ce qu'il a fait subir au jeune rebeu. Mais ce qui l'inqui�te davantage, c'est la r�action de sa bite. Il s'est toujours consid�r� comme h�t�ro. Il n'a jamais couch� ou eu envie de coucher avec un mec. Pourquoi l'id�e de dominer ce petit rebeu l'excite � ce point?

Comme chaque matin, il conduit 15km jusqu'au village le plus proche pour acheter son journal et un paquet de clopes. C'est � l'arm�e que le directeur a pris l'habitude de fumer. Il est parvenu gr�ce � une discipline de fer � r�duire sa consommation � deux cigarettes par jour. Une le matin avant de commencer sa journ�e. Et la seconde le soir devant la t�l�, juste apr�s le d�ner. Ce n'est pas parce qu'il est soucieux de sa sant� qu'il fait �a. Christian fait du sport et il est en tr�s bonne sant�. Il visite r�guli�rement le m�decin qui lui dit que tout va bien. Et puis de toute fa�on, Christian n'a pas envie de vivre jusqu'� 100 ans. La vraie raison pour laquelle il contr�le drastiquement sa consommation de tabac c'est parce qu'� chaque fois qu'il allume une clope il devient nostalgique de son temps pass� � l'arm�e, sur les bases militaires fran�aises de Djibouti ou du S�n�gal, ses missions d'intervention dans les Balkans, les entra�nements p�rilleux au milieu des Alpes,... Que de souvenirs pour Christian d'une �poque et d'un milieu o� �tre un homme avait un sens. Maintenant, le voil� coinc� dans un trou perdu avec des �nergum�nes qui sont cens�s repr�senter l'avenir du pays. Quelle d�sillusion!

Au milieu de ses m�ditations, Christian s'interrompt. Il vient de se garer au centre de la cour o� se font face les deux b�timents du Centre. Celui des classes et de son bureau face � celui des chambres et de la cantine. A la fen�tre d'une des chambres, il remarque le jeune Youcef, en marcel blanc, en train de prendre une paire de baskets qu'il avait laiss� sur le rebord de la fen�tre pendant la nuit. Le jeune homme a un corps d'�ph�be, mince, un petit peu de muscle dans les bras et une peau dor�e qui contraste avec la grisaille ambiante. La grosse queue de Christian fr�mit d'anticipation � l'id�e d'une prochaine confrontation.



MATTHIEU

A l'autre bout de la cour, Matthieu, 35 ans, regarde la sc�ne avec un certain malaise. Il s'agit du prof d'histoire-g�ographie. C'est un bel homme, grand de taille, brun aux yeux bleus, un physique muscl� par une jeunesse pass�e � travailler sur l'exploitation agricole de son p�re.

Matthieu sent ses joues rougir. Il sait qu'il n'est pas cens� remarquer le paquet de plus en plus gros du directeur et le regard de pr�dateur avec lequel il observe un jeune �tudiant rebeu qui vient d'apparaitre � la fen�tre de sa chambre. Matthieu est tr�s troubl�. Il connait bien Christian. Il se consid�re m�me comme son ami et son meilleur alli� au sein du Centre. Les deux hommes partagent le sens de l'autorit� et une vision commune sur comment "r��duquer" ces jeunes des cit�s. C'est donc tr�s �tonnant de surprendre son ami tr�s h�t�rosexuel et tr�s viril en train d'avoir une �rection en matant cette sous-merde de racaille.

Plus tard, quand il rentre dans sa classe, il essaye de rep�rer le jeune homme de la fen�tre. Celui-ci est assis au fond de la classe et ne semble �tre ami avec personne. Quand il fait l'appel, il note que le jeune rebeu s'appelle Youcef.

Matthieu enseigne depuis quatre ans au Centre. Il vient deux fois par semaine (le mardi et le vendredi) pour assurer les cours d'histoire et de g�ographie. Il vient aussi certains weekends pour passer un bon moment entre amis avec Christian. G�n�ralement, ils font du sport (du v�lo ou du jogging) puis ils passent l'apr�s-midi � regarder un match de football ou de rugby � la t�l�. Matthieu n'ayant pas encore d'enfants avec sa femme, il pr�f�re passer son temps libre � faire des activit�s de mec plut�t que de rester � la maison avec madame et de voir des t�l�films � la con � la t�l�vision.

Comme tous les enseignants du Centre, cet emploi n'est pas son affectation principale. En effet, il est avant tout enseignant au lyc�e d'un village du sud du d�partement. Il a accept� il y a quatre ans de venir donner des cours au Centre pour pouvoir gagner un peu plus d'argent et surtout, se confronter � un type d'�l�ves qu'il n'aurait jamais l'occasion de rencontrer en temps normal.

Depuis qu'il travaille au Centre, Matthieu s'est d�couvert une autorit� qu'il ne soup�onnait pas. Il a appris qu'avec ces bandes de racailles il fallait tout de suite �tablir un rapport de force favorable sinon l'enseignant se fait bouffer en moins de deux semaines. C'est la jungle ici et c'est la loi du plus fort qui r�gne. A la maison, sa femme a remarqu� le changement d'attitude et elle lui a fait savoir qu'elle aimait bien sa nouvelle personnalit� d'homme dominateur et viril. Son amiti� avec Christian a �galement contribu� � ce changement. Matthieu prend le directeur en exemple et a adopt� au fil des ans, la m�me attitude virile et pleine de confiance en soi.

Les groupes d'�l�ves changent � chaque fois. Certains s'en vont et d'autres arrivent. Pour un prof comme Matthieu, c'est un challenge permanent que de se faire respecter par les nouveaux arrivants. Youcef est le petit nouveau de la semaine. Il remplace Alou, un jeune renoi de Sarcelles qui est rest� 19 mois au Centre. Alou est l'une des r�ussites de l'�tablissement. Il a appris � lire et � �crire, � s'exprimer en personne civilis�e et � avoir du respect pour l'autorit� et les institutions.

Malheureusement, dans chaque groupe d'�l�ves, on ne peut pas avoir que des Alou. ;Parmi les 8 �l�ves actuels du Centre, Rafik est clairement irr�cup�rable. C'est un jeune d'origine alg�rienne extr�mement fier et s�r de lui. A 20 ans, il a d�j� fait deux s�jours en prison. En plus de cela, il a �t� accus� du viol d'une femme mari�e lors d'un cambriolage qui a mal tourn�. Mais l'affaire n'a pas aboutit � une condamnation, faute de preuve. Matthieu se rappelle que le directeur avait demand� l'avis des enseignants pour savoir s'il devait accepter un jeune comme Rafik dans le Centre. Dans leur grande na�vet�, la majorit� des profs ont vot� oui. Seul Matthieu a vot� non. Ses coll�gues pensaient sans doute qu'avec du dialogue et de l'�coute, le jeune homme allait changer. Quelle erreur! Toutes les m�thodes de r��ducation du directeur et des enseignants ont �chou� avec ce gamin. Depuis quelques temps, pour �viter les probl�mes avec lui, un contrat tacite a �t� form�. D'un cot�, les adultes laissent Rafik faire la loi aupr�s de ses camarades et au niveau du b�timent des �l�ves. De l'autre cot�, Rafik ne perturbe pas les classes et montre un minimum de respect au directeur et aux enseignants. C'est un peu comme en prison, se dit Matthieu, pour avoir la paix, les gardiens de prison ferment les yeux sur les ca�ds qui terrorisent et brutalisent les autres prisonniers.

A la fin du cours, Matthieu d�cide d'�tablir un premier contact avec Youcef. Il lui demande de rester tandis que les autres �l�ves quittent la classe.

-Alors jeune homme, puisque c'est ton premier jour avec moi, je vais te dire exactement ce que j'attends de toi et ce que je ne tol�rerais pas dans ma classe.

Rien qu'en regardant le rebeu se tenir devant lui avec nonchalance et une quasi-indiff�rence, Matthieu sent qu'il ne va pas tarder � perdre son sang froid.

-D'abord, quand je te parle jeune homme, tu m'�coutes!

-Mais j'ai rien fait Monsieur!

-Je disais...j'attends de toi du respect, du travail et de la participation en classe. Je ne supporte pas les retards, les devoirs non faits, les insolences et le manque de respect.

Pendant qu'il parlait, Youcef le fixait du regard. En soi, le jeune rebeu ne faisait rien de mal mais quelque chose dans son regard et dans sa fa�on de se tenir irritait au plus haut point l'enseignant. Matthieu avait envie de le frapper et de le punir rien que parce qu'il ose respirer le m�me air que lui. Il voulait le remettre � sa place de petite merde, de d�linquant qui ne sait m�me pas prononcer correctement une phrase de plus de trois mots. Cet effet-l� est l'effet que la plupart des racailles ont sur lui. Matthieu se dit qu'il ne pourrait jamais vivre � Paris ou dans une autre grande ville. Il est persuad� qu'il ne supporterait pas de voir chaque jour, dans la rue ou dans le m�tro, ce genre de sous-merdes avec leur air de sup�riorit� et de profond m�pris pour tout ce qui symbolise l'autorit�.

Ce qui devait arriver arriva. Youcef a pouss� un long soupir pendant que Matthieu parlait. C'est la go�te d'eau qui a fait c�der le barrage. L'enseignant s'est lev� et a tout de suite remarqu� la peur remplacer l'arrogance dans les yeux du rebeu. Celui-ci est assis sur une chaise au premier rang, juste en face du bureau. Matthieu passe derri�re le jeune homme qui se retourne pour le suivre du regard et l�, il saisit le rebeu par les cheveux et le plaque brutalement contre la surface en bois de la table devant lui.

Le rebeu proteste. Il se d�bat. Mais Matthieu est beaucoup plus fort que lui. Il n'a aucun mal � le maintenir en place.

-�coute-moi bien petit con, ici tu n'es plus dans ta cit� de cafards! Quand on t'adresse la parole, tu regardes ton interlocuteur. Quand on te pose une question, tu y r�ponds. Et si c'est Monsieur le Directeur ou un enseignant qui est en face toi, tu lui montres le respect que tu lui dois. Mets-toi bien dans le cr�ne que ce n'est pas une �cole ici et ce n'est pas une prison, c'est un m�lange des deux. On essaye de t'apprendre des trucs mais si tu nous fais chier, tu te prends la punition que tu m�rites.

-Vous n'avez pas le droit de...

-Je n'ai pas le droit? Qui es-tu pour parler de droit? Tu es un d�linquant, un hors-la-loi. Tu as depuis longtemps jet� le droit par la fen�tre. Je suis un citoyen de ce pays. Toi, tu n'es rien. J'ai tout les droits sur toi. Je peux faire ce que je veux avec toi. J'ai d�j� cass� le bras � un �l�ve l'an dernier et j'ai crach� � la gueule d'un autre. Que penses-tu que le directeur a fait quand ces fils de pute se sont plaints aupr�s de lui? Il m'a convoqu� dans son bureau et m'a f�licit� pour mon intransigeance. Alors dor�navant je te conseille de mettre dans ta petite cervelle de racaille que de nous deux, c'est moi le chef et tu dois me montrer le respect que tu me dois. Compris?

-Oui, Monsieur.

Apr�s avoir rel�ch� le jeune rebeu et l'avoir poursuivi du regard jusqu'� ce qu'il sorte de classe, Matthieu a mis la main sur son paquet. Sa queue n'a jamais �t� aussi dure depuis des mois.

Le soir, en rentrant chez lui, Matthieu a bais� sa femme par derri�re et � m�me le sol du salon. Ludivine �tait surprise mais �a ne l'a pas emp�ch�e de couiner et d'encourager son mari. Quelle petite cochonne! Si seulement elle savait qu'en la baisant, Matthieu pensait au petit corps de minet d'un certain jeune rebeu pr�nomm� Youcef.




CHRISTIAN

Toute la journ�e, Christian la passe dans son bureau � remplir des documents et � r�pondre au t�l�phone. Parfois, il pense � obliger un des �l�ves � remplir la paperasse � sa place. Mais il oublie vite cette id�e vu leur niveau en orthographe.

Le vieux concierge noir vient se plaindre encore une fois qu'un petit malin � pisser sur sa porte cette nuit. Une des enseignantes se plaint que deux �l�ves l'ont trait� de pute en classe. Le directeur ne se fatigue m�me pas � noter les noms des petits malins car au fond il est bien d'accord avec eux. Quelle femme enseignante qui se respecte vient donner des cours en mini-jupe � une bande de rebeus et de renois d�linquants? Peut-�tre une femme qui fantasme en secret de se faire niquer par un gang de racaille. Christian se retient de traiter l'enseignante de pute � lascars. A la place, il lui dit qu'il va parler � ses �l�ves mais il ne va pas le faire. En plus, il est pr�t � parier que la nana va revenir la semaine prochaine avec une tenue encore plus provocante. Christian l'aurait bien bais�e sur son bureau mais elle n'est qu'une grosse campagnarde tr�s moche avec un nez de cochon. Il pr�f�re encore enfoncer sa bite dans le cul d'une vache plut�t que de la toucher.

Quand il quitte son bureau le soir vers 18h, la nuit est d�j� tomb�e. Il est d��u de la tournure des �v�nements. Hier soir, il s'�tait endormi en pensant � tous les sc�narios de confrontation et de domination du jeune Youcef.

Arriv� chez lui, il fait une s�rie de trente pompes et trente abdos. Puis il enfile son surv�t et part courir une demie-heure dans les bois. Quand il rentre, il prend sa douche puis mange en regardant la t�l�.
Il h�site pour occuper sa soir�e entre lire un bouquin ou aller sur le net. Il choisit la seconde option. Il consulte sa boite mail, quelques sites de sport et d'automobile et lance le t�l�chargement du nouvel �pisode de la s�rie Dexter. Christian trouve une certaine satisfaction � voir le h�ros de la s�rie, un citoyen lambda, faire la peau � la racaille de sa ville. En attendant que le fichier se t�l�charge, il part visiter quelques sites porno. Il s'arrange sur la chaise et sort son gros sexe de 23 centim�tres en �rection. Pour l'instant, il est encore tout mou mais �a ne devrait pas tarder � changer. Il va sur un blog de "cumshot" avec des dizaines de photos et de vid�os de femmes recevant des gicl�es de foutre en pleine figure. Malheureusement, le site n'a pas �t� actualis� depuis sa derni�re visite. Il part alors sur un autre blog sp�cialis� dans le "Male Domination". Pendant 10 bonnes minutes, Christian se branle en voyant les diverses photos de femmes � genoux, tenues en laisse ou attach�es sur des croix en bois. Puis, il va sur un autre site et regarde la vid�o d'une belle rousse � forte poitrine qui se torturer le bout des seins par un sadique.

Le directeur pense � un moment donn� � visiter un site porno gay histoire de voir si �a va l'exciter. Mais il change d'avis rapidement. A la place, il choisit d'aller sur un de ses sites pr�f�r�s : GhettoGirlOwned. Un site am�ricain dont il est abonn� et o� des filles du ghetto se font payer pour se faire baiser par des groupes d'hommes qu'ils soient hommes d'affaires, militaires, �tudiants ou autre. �a va g�n�ralement tr�s loin dans la domination et l'humiliation. Christian �jacule 5 longues gicl�es de foutre apr�s avoir vu seulement les 12 premi�res minutes d'une nouvelle vid�o o� une jeune latina pleine de tatouages se fait remettre � sa place par 4 policiers.

Il est d�j� 22h20 mais le directeur n'a toujours pas sommeil. Il d�cide de marcher un peu autour de sa maison. C'est vraiment isol� de tout. La seule lumi�re qu'il voit est celle de sa propre cuisine.

Il prend le petit chemin �troit qui le m�ne vers le Centre. Il se dit qu'il va faire un tour en bagnole. Par ici, les routes sont peu emprunt�es et la conduite est vraiment un plaisir m�me la nuit. Quand il parvient � sa voiture, il remarque que les lumi�res du b�timent des chambres sont pour la plupart allum�es. D�cid�ment, ces racailles s'en foutent du couvre-feu de 21h30. Le directeur se demande o� est le concierge qui est cens� faire respecter le couvre-feu. Sans doute en train de dormir dans sa petite chambre dont la porte pue la pisse.

Au moment o� Christian va pour ouvrir la porte de sa voiture, il remarque la pr�sence de Youcef juste � cot�, assis sur des escaliers et fumant une clope. Le jeune rebeu le regarde avec un air fier mais quelque peu craintif.

-Que fais-tu l� Youcef? Tu devrais �tre en train de dormir � cette heure-ci.

Youcef fume un bon coup puis jette la clope par terre et l'�crase avec ses baskets. Il semble r�fl�chir � ce qu'il va dire et peser le pour et le contre. Apr�s un moment, il r�pond enfin :

-Comment voulez-vous que je dorme avec le bruit qu'ils font l�-haut, Monsieur?

Christian a presque envie de sourire en voyant que le jeune rebeu a compl�tement int�gr� le vouvoiement et l'utilisation du terme "Monsieur" quand il s'adresse � lui. D�cid�ment m�me si Youcef se la joue dur, il n'est pas compl�tement insensible � l'autorit� du directeur.

-Et vous, Monsieur?

-Moi quoi?

-Qu'est-ce que vous foutez ici?

Youcef a d� voir l'expression du directeur changer car il se corrige rapidement :

-Je veux dire qu'est-ce que vous faites ici, Monsieur?

-Non pas que �a te regarde mais je vais faire un tour en voiture.

Christian h�site puis il ajoute :

-Tu veux venir?

Il y a de la panique dans les yeux du rebeu. Mais il essaye de montrer qu'il n'a peur de rien et r�pond avec une voix assur�e et quelque peu sarcastique:

-Si �a vous fait plaisir, Monsieur.

Une fois dans la voiture, Christian ne peut s'emp�cher d'ordonner au jeune homme de mettre la ceinture de s�curit�. Le rebeu ob�it avec mauvaise volont� en disant que la ceinture est trop serr�e et que de toute fa�on il n'y a aucun risque car il n'y a que des vaches dans ce bled perdu.

Le directeur ne fait pas trop attention � l'insolence du jeune maghr�bin. Il est surtout pr�occup� par sa bite qui commence � gonfler. D�cid�ment, il ne peut pas s'approcher � moins de 1 m�tre du jeune rebeu sans avoir la queue qui durcit. Christian prend tout de suite note de l'odeur caract�ristique de Youcef. Un d�licieux m�lange d'eau de Cologne bon march�, de bain de douche, de cigarette et de quelque chose de plus naturel qui rend Christian fou d'excitation.

Youcef rompt le silence :

-Je peux mettre la radio, Monsieur?

-Non. Surtout si c'est pour �couter vos musiques de sauvageons.

C'�tait une attaque gratuite. Mais Christian ne pouvait s'en emp�cher. Il aime voir le jeune rebeu froncer les sourcils et le regarder m�chamment.

Apr�s quelques minutes, Christian d�cide qu'il est temps de faire parler son �l�ve.

-Alors Youcef, que penses-tu du Centre apr�s tes deux premi�res journ�es?

-C'est nul, Monsieur.

-Tu t'es fait des amis?

Youcef baisse la t�te et r�pond d'une voix presque inaudible :

-Non. Ils pensent tous que je suis votre espion, Monsieur.

-Ah bon? Pourquoi donc?

-Ils m'ont vu aller dans votre bureau. Ils trouvent que c'est chelou que je sois rest� l�-bas plus d'une demie-heure. Ils pensent que j'�tais en train de vous raconter des trucs sur eux, Monsieur.

Maintenant que le directeur y pense, il n'a jamais vu Youcef interagir avec les autres �l�ves. Il est isol�, � l'�cart du groupe, ce qui en fait une proie encore plus facile pour un pr�dateur dominateur comme Christian.

Apr�s quelques instants de silence, Youcef demande si c'est vrai que Christian a fait l'arm�e.

-Qui t'as dit �a?

-Le prof de g�o. Il parlait d'un bled d'Afrique et il a dit que vous avez �t� l�-bas quand vous �tiez dans l'Arm�e.

-Ah mon bon ami Matthieu! Il me demande toujours de lui raconter des histoires de mon temps � l'arm�e.

Et c'est ainsi que Christian s'est mis � parler avec passion de son pass� de militaire. Il a racont� plusieurs histoires et anecdotes. Pour la premi�re fois, il y a autre chose que de la peur ou de la d�fiance dans les yeux du jeune rebeu. Cette fois, le directeur peut distinctement apercevoir que Youcef est admiratif et respectueux de son pass� militaire. Bien s�r, le jeune homme demeure silencieux. Mais son regard le trahit.

Au bout d'une heure, les deux hommes sont de retour au Centre. Christian a une sacr�e �rection plus ou moins cach�e par son pull. Toutes les lumi�res du b�timent des chambres sont maintenant �teintes.

-Tu m'as l'air encore bien en forme jeune homme. Je te propose de me suivre chez moi. On va boire quelque chose et je vais te raconter comment j'ai d�chiquet� la jambe d'un ennemi.

Incertain, Youcef finit par dire oui.

Une fois chez lui, le directeur propose au jeune rebeu de s'assoir sur le canap�. Il part dans la cuisine puis il revient avec une bouteille de vin, deux verres et un cendrier. Une partie de son cerveau lui dit que c'est une grosse erreur, que �a va � l'encontre de tout comportement d�ontologique. Mais ce soir, c'est la queue de Christian qui commande. Pas son cerveau.

Il s'assoit sur le canap� si pr�s du jeune minet que celui-ci doit rapprocher ses jambes pour faire de la place aux jambes bien �cart�es du directeur. Ce dernier a r�ussi � calmer son �rection compar� � tout � l'heure. Il pose le cendrier et prend la bouteille de vin pour remplir les deux verres.

-Je ne bois pas Monsieur. C'est haram.

-Oh voyons jeune homme, juste une petite goutte!

-Mais je vous dis que je ne bois pas d'alcool!


Christian remplit comme m�me les deux verres et propose � Youcef son verre. Youcef le regarde scandalis� et hausse le ton :

-Putain mais vous �tes sourd ou quoi? JE-NE-BOIS-PAS!

Christian garde son calme m�me si au fond de lui il sent la col�re monter.

-Vraiment?

-OUI

-Donc tu es pr�t � jurer en me regardant dans les yeux que tu n'as jamais bu d'alcool.

Youcef fronce les sourcils et croise les bras. Puis il r�pond avec d�fiance :

-Je vous jure sur la t�te de ma m�re!

-Tu l'auras cherch� esp�ce de menteur. On ne me prend pas pour un con et surtout pas dans ma propre maison!

-Allez vous faire voir! Je ne suis pas un menteur!

*Slap* *Slap* Le jeune rebeu vient de se manger deux grosses baffes dans la tronche. Christian n'a pas pr�vu d'aller aussi loin aussi vite avec le jeune homme. Mais s'il y a bien une chose qui le met hors de lui c'est quand une petite racaille lui ment en le regardant dans les yeux.

-�a t'apprendra � mentir petit con! Tu crois que je n'ai pas vu dans ton dossier? Condamn� pour vol avec violence sous l'emprise de stup�fiants, exclu de 4 lyc�es et coll�ges dont l'un pour �tre venu en classe en �tat d'�bri�t�.

-Mais Monsieur j'ai chang� maintenant...

*Slap* La joue gauche de Youcef est maintenant color�e d'un rouge vif.

-Dor�navant, tu ne prononces pas un mot sans que je ne t'ai donn� la parole. COMPRIS?

Le jeune rebeu a l'air terrifi�. Christian a envie de le croquer tout cru.

-COMPRIS? R�ponds-moi petit con!

Youcef essaye de se lever du canap� mais le directeur le saisit et finit par le placer sur ses genoux. Le jeune arabe se d�bat et il re�oit une pluie de fess�es sur le derri�re.

-S'il vous plait Monsieur laissez moi partir! A�e! Ouye! Putain �a fait mal!

-Alors r�ponds � ma question!

-Oui j'ai COMPRIS!

Christian est bien plus fort que le jeune minet. Il n'a aucun probl�me � le maintenir sur ses genoux. Son excitation est tellement forte qu'il d�cide d'aller encore plus loin dans l'humiliation du jeune rebeu.

Il baisse le surv�t de Youcef suffisamment pour d�voiler un joli petit cul bien mignon et compl�tement imberbe.

-Alors maintenant petit malin, tu vas me faire le plaisir de compter chaque fess�e que tu m�rites pour m'avoir menti tout � l'heure.


*Bam*


-Un!

-Un quoi? As-tu d�j� oubli� la premi�re r�gle petit con? Celle que je t'ai enseign�e hier dans mon bureau!


*Bam*


-Deux, Monsieur.

-Non tu recommences � partir de 1.


*Bam*


-Un, Monsieur!


*Bam*


-Deux, Monsieur!


Apr�s 20 fess�es, le petit cul du jeune rebeu est en flammes. Il pleure comme un enfant et pousse des "A�e" et des "Ouye" avant m�me que la puissante main du directeur ne s'abatte sur son derri�re.

-�a suffira pour le moment. J'esp�re que t'as bien compris la le�on, petite pute?

Youcef r�pond d'une toute petite voix entrecoup�e par les sanglots :

-Oui...j'ai...compris...Monsieur.

-Tr�s bien. Bon gar�on.


Christian ne rel�che pas le jeune beur pour autant. Il est maintenant en train de lui caresser ses jolies petites fesses toutes rouges. C'est le premier moment de silence total depuis que le directeur s'est �nerv�. C'est � cet instant l� que l'h�t�ro en lui refait surface. Il cesse de caresser le cul du rebeu et demande � Youcef de se redresser.

Le directeur commence � penser aux cons�quences de ses actes. Il se demande s'il n'est pas all� trop loin. Il sait qu'au fond de lui, il a envie de continuer � dominer et � humilier le jeune homme. Mais pour que �a marche sur le long terme, il faut qu'il se montre intelligent et prudent. Ce soir quand il racontait ses histoires de l'arm�e, il a vu que c'�tait possible d'�tablir une relation bas�e sur autre chose que la peur avec le jeune rebeu. Peut-�tre une relation o� Youcef serait consentant � devenir son soumis.

Mais avant de poursuivre, le directeur sadique doit s'assurer que le jeune minet ne dise rien � personne. Car sinon, les choses pourraient tourner tr�s vite tr�s mal pour lui.

Apr�s quelques instants de r�flexion, Christian prend la parole :

-Bon, Youcef �coute-moi bien! A partir de maintenant, les choses vont changer ici pour toi. Ce soir, je me suis rendu compte � quel point tu es insolent et m�prisant. Tu as os� me mentir en me regardant dans les yeux. Tu as pleurnich� comme un petit enfant g�t� en recevant ta punition et tu ne sembles pas avoir le moindre remord pour ton comportement. J'ai donc d�cid� de te prendre en charge personnellement � compter de ce soir. Des questions?


Avec une voix fragile et tremblante, Youcef demande :

-Qu'est-ce que �a veut dire "prendre en charge personnellement", Monsieur?


-Tr�s bonne question. Comme tu le sais d�j�, ce Centre n'est pas une �cole. C'est un centre de r��ducation des jeunes d�linquants. Dans ce cadre, j'ai des comp�tences beaucoup plus �tendues qu'un directeur d'�cole ordinaire. J'ai le pouvoir d'administrer des punitions tr�s s�v�res � n'importe quel �l�ve qui refuse mon autorit� et de prendre certaines mesures exceptionnelles.

Voyant que le jeune homme l'�coute attentivement en croyant tout ce qu'il lui dit. Le directeur d�cide d'aller plus loin :

-Te concernant, voici les mesures que je prends : Interdiction de parler ou de communiquer de quelque fa�on que ce soit avec n'importe quel individu en dehors de moi, ton directeur. Exception faite de la participation en classe. Mais sinon je te punirais tr�s s�v�rement si je te vois dialoguer avec d'autres �l�ves ou le concierge ou un de tes profs en dehors de la classe. COMPRIS?

-Oui, Monsieur.

-Ce qui se passe entre nous ne regarde personne. Cela doit rester entre nous. Ta vie en d�pend.

-Comment �a Monsieur?

-Voyons Youcef, comment crois-tu que Rachid et sa clique r�agiront s'ils apprennent que le directeur te donne la fess�e et que tu pleurniches comme un b�b� pendant ta punition? Veux-tu que je leur dise demain ce qui s'est pass�?

-Oh non Monsieur! S'il vous plait pas �a! Ce serait trop la honte!

-Bien, je vois que tu as compris. Il reste un autre point que je souhaite aborder. Sache que d�s demain je te convoquerais r�guli�rement dans mon bureau ou dans ma maison pour voir si tu fais des progr�s et si tu arrives � g�rer ton tr�s grave probl�me avec l'autorit�. Je te donnerai des ordres et tu seras oblig� de les suivre sous peine de punitions tr�s s�v�res. COMPRIS?

-Oui, Monsieur.

Comme la veille dans son bureau, le jeune homme a les yeux rouges et d�gage une fragilit� surprenante qui fait fr�mir d'envie la grosse bite du directeur. Il se demande combien de temps avant qu'il ne c�de � ses pulsions primaires et passe � un stade plus sexuel dans sa relation de domination avec le jeune rebeu.

-Bon maintenant tu vas me faire le plaisir de bien te rappeler de tout ce que j'ai dit. N'oublie pas que ce Centre est ta derni�re chance pour t'en sortir. Alors, fais ce que je te dis et tout ira bien. Maintenant, vas dormir et essaye de ne pas r�veiller les autres en retournant dans ta chambre.

Encore tout d�boussol�, le jeune rebeu avance doucement vers la porte de sortie. Ses jambes sont tremblotantes. Il jette � Christian un dernier regard remplit de terreur avant d'ouvrir la porte et de disparaitre dans la nuit. Le directeur quant � lui savoure le sentiment de soumission et d'ob�issance qu'il a insuffl� chez le rebeu. Il pose sa main sur son gros paquet et pense d�j� au prochain t�te-�-t�te qu'il aura avec Youcef.

A SUIVRE


Merci � tous ceux qui m'ont envoy� un mail la derni�re fois. N'h�sitez pas � me dire si vous aimez les changements de points de vue dans ce 2�me chapitre entre Christian et Matthieu ou si vous pr�f�rez que je m'en tienne au point de vue du directeur.

Loveleyop

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Autre histoire de Loveleyop : Femelle soumise

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