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La chasse aux tr�sors

J'�tais loin de connaitre tous les recoins de cette demeure immense. Lui m�me avait mis quelques ann�es � en faire le tour. Ses grand parents avaient entass�s l� un nombre incroyable de bouquins, de revues, de meubles, de v�tements... un incroyable capharnaum.

Le grenier �tait certainement la plus grande et la plus mal rang�e des pi�ces. Nous adorions y passer du temps � la recherche d'un hypoth�tique tr�sor. Ce jour l�, au d�tour d'une pile de livres, nous avions d�couvert de vieilles revues �rotiques des ann�es 70 certainement abandonn�es par un oncle un peu coquin. C'�tait en quelque sorte un tr�sor gard� secret depuis quelques dizaines d'ann�es. Elles �taient encore bien conserv�s et nous entreprimes d'en faire une lecture attentive.

Avant cela il nous fallait trouver un endroit �clair� et avec peu de passage,
car dans cette maison qui aurait pu s'apparenter � un chateau, beaucoup de monde
circulait.
Il me montrait alors une pi�ce dans les combles. C'�tait une vieille chambre � laquelle on ne pouvait acc�der qu'au moyen d'une �chelle de bois. En m'accrochant aux barreaux je d�couvrais une petite pi�ce ronde encombr�e d'un matelas avec des fen�tres donnant sur le toit. C'�tait une sorte de cabane.

Je m'allongeais imm�diatement sur le matelas, la t�te soutenue par un coussin et commen�ait � lire ces incroyables revues. Mon guide monta ensuite par l'�chelle pour s'allonger aussi et profiter de la lecture d'une revue similaire.

Apr�s quelques minutes de consultation les photos et les textes firent leur effet et un renflement notable apparu sous mon short. Je n'osais pas le regarder de peur d'attirer l'attention de mon
compagnon de lecture. J'avais un peu honte d'�tre excit� par des revues somme toute tr�s soft. C'�tait peine perdue puisque je me rendis compte qu'il plus attentif � l'effet du magazine sur mon anatomie qu'a sa propre revue.

Le nez dans les pages, je continuais a appr�cier les photos qui m'excitaient de plus en plus.
Je ne tardais pas a sentir un poids sur mon sexe. C'�tait la main de mon voisin qui prenait quelques libert�s et me caressait � travers le short. A vrai dire, ce n'�tait pas pour me d�plaire car cela me permettait de tenir correctement ma revue tout en ajoutant une sensation physique � la lecture...

Peu apr�s la main �tait pass�e sous le short et pr�cisait son mouvement. De tr�s l�g�res caresses sur toutes les parties de mon sexe poussait l'excitation � son paroxisme. Plus les mouvements �taient lents, plus j'avais l'impression de gonfler. L'impression d'avoir un sexe dur et des bourses gonfl�es � bloc. J'allais �clater. Mon bout s'humidifiait autant qu'il le pouvait, c'�tait presque en vein puisqu'a chaque pouss�e de liquide transparent, la main d�licate se rapprochait de la bouche de son propri�taire pour lui faire gouter le d�licieux liquide presque sucr�. Il aimait �a au point de ne plus y tenir et alla se servir directement � la source.

Lentement, pour ne pas me d�ranger, il approcha sa bouche et je sentais son souffle chaud s'approcher du but. Le premier coup de langue sur mes testicules fut incroyable... J'aurais presque pu jouir a cette instant mais cela eut �t� dommage... Le deuxi�me fut �galement tr�s bien, le troisi�me et les dizaines qui suivirent me combl�rent.

Il d�cida ensuite de r�colter le liquide transparent qui s'�tait a nouveau �coul� et aspira mon bout et une bonne partie de ma verge pendant de longues minutes tout en continuant de me caresser les parties. Les allers et venus �taient tr�s lents, presque irr�els.

J'avais l'impression d'avoir un sexe �norme tant toutes les sensations de mon corps semblaient se concentrer sur un seul endroit.

J'avoue que je ne lisais plus vraiment tant l'excitation me submergeais. J'�tais allong�, le short sur les genoux, les jambes l�g�rement �cart�es avec une langue insatiable parcourant mon sexe chaud, large et extr�mement tendu. Sa bave glissait entre mes fesses, le long de ma raie jusqu'a mon anus. Cela lui permis de glisser, assez brusquement d'ailleurs, un doigt, le plus long, dans mon petit trou relativement d�tendu. Je ne connaissais pas cette sensation mais je m'y habituais tr�s vite...

Les mouvements r�guliers et profonds de ce fameux doigt, ajout� � la sensation de toucher le fond de sa gorge avec mon bout,... c'�tait presque insuportable ! Je ne tardais pas � jouir fortement dans sa bouche en me tordant de plaisirs et serrant son doigt encore profond�ment enfonc� dans mon anus.

Il fit de son mieux pour ne pas gaspiller ma semence et avala la quasi totalit� de mon sperme chaud. Une partie s'�coula sur mon ventre recouvert de sueur.

Ce qui m'�tonna c'est qu'il se mit imm�diatement � genoux devant moi pour �jaculer � cet endroit. Je ne m'y attendais pas et fus un peu surpris de le voir si f�brile en train de m�langer nos spermes.

Mon sexe lui faisait de l'effet. Il n'en finissais plus de se vider sur mon nombril. Manifestement cela devait faire quelques jours qu'il n'�tait pas pass� par cet �tat.

Les derni�res gouttes encore au bout de son sexe il se pencha rapidement pour l�cher nos liquides blanchatre de sorte qu'il nettoya presque totalement mon ventre-r�ceptacle.
...

Tous les deux un peu �tourdis et les membres pas totalement relach�s, nous retourn�mes rechercher d'autres tr�sors inconnus.

boboysexy

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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