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Chasse � bites

Mercredi dernier, comme souvent le soir, j'�tais un peu en chaleur, et je n'ai pas pu r�freiner mon besoin de bouffer de la bite! A la tomb�e de la nuit, je suis donc parti en chasse � bites dans les bois derri�re la fac, un lieu de drague bien connu par chez moi, et par chez vous aussi j'imagine.

Le premier mec que j'ai serr� pour me chauffer �tait du genre p�re de famille un peu beauf, en jogging. La quarantaine pas marqu�e, visage un peu rond, sourire de bonne humeur. Je lui mets la main direct au paquet, je d�couvre qu'il n'y a pas de sous-v�tements. Sa queue est au repos, petite, mais... �a va pas durer! Bien qu'il fasse tr�s sombre, on peut faire passer quelque chose par le regard. Je le regarde donc vicieusement, avec mon plus beau sourire, lui disant un truc du genre "t'as envie que je m'en occupe? J'ai tr�s faim....", et lui "ok!". Je me baisse donc et ouvre la cage. Sa queue n'est d�j� plus si petite... Je choppe le gland calott� du bout des l�vre et j'aspire, serrant bien les l�vres, et humectant soigneusement tout ce qui entre: �a lui arrache tout de suite un g�missement: l'introduction le met tout de suis � l'aise... Ensuite, je rel�che un peu la pression de mes l�vres et fais coulisser jusqu'� la base de sa hampe, afin que toute sa queue soit bien lubrifi�e. Quelques all�s-retour serr�s... �a y est, il bande bien. Je pose mes mains sur l'avant de ses cuisses, pour flatter sa position dominante (mais je sais tr�s bien qui m�ne la danse....), et je les fais glisser sur son arri�re-train pour le tirer vers moi, l'inviter � prendre ma bouche, lui faire comprendre que ma bouche est toute � sa queue. Je presse cette queue bien raide, aux veines gonfl�es, entre mes l�vres, la fais glisser sur ma langue, l'engouffre � la garde... Il ne met pas plus de 5 min. pour m'envoyer sa rasade de jus. Je le tiens fermement derri�re les cuisse, l'emp�chant de me priver de sa queue et de son jus, je veux extirper jusqu'� la derni�re goutte. Comme beaucoup de mecs il a d'abord pour r�flexe de tenter une esquive, de se retirer, pour �viter la stimulation de ma bouche maintenant qu'il jouit.... Mais je le tiens, et il c�de, il a compris que ma bouche se fais douce maintenant, alors il profite de l'instant, fait durer le plaisir. Il ramollit tout doucement, je le lib�re, l�g�rement humide mais aussi propre qu'� son arriv�e...

Apr�s cette mise en bouche, j'ai envie de passer au plat de r�sistance. Mais.... comme souvent... il y a beaucoup d'ind�cis. Un mec se d�cide enfin � prendre une position lascive, adoss� � un �norme tronc couch�. Il ne bouge pas lorsque je m'approche. Je sais qu'il est � moi. Il est assez enrob�, mais cela ne cache pas le volume flatteur que je d�tecte sur son jean noir. Je lui annonce clairement mon attention et descend. J'ai faim, tr�s faim, il me demande de ralentir. Je ralentie, profite de cet interm�de pour l'inviter � prendre son pieds bien � fond, et attaque � nouveau en douceur, engouffrant sa queue jusqu'au cockring serr� qui fait ressortir nettement les veines de sa queue. Le mec a compris que je suis pas un d�butant, qu'il va prendre son pieds. Il m'invite � le suivre, il veut profiter de moi dans un coin tranquille. Faut dire qu'on est en plein passage et que les badauds s'arr�tent pour profiter du spectacle.
Lorsque nous sommes isol�s, nous recommen�ons... il me demande m'attarder sur ces couilles, dont il est plut�t bien pourvu d'ailleurs. Chaque fois que je retourne vers mon p�cher-mignon, il me re-route sur ses burnes. Je les gobes, s�par�ment, ensemble, je les aspire et tire dessus, les caresse de ma langue. Moi les burnes �a me fait mal quand on y touche, alors je surveille bien ses r�actions pour apprendre � bien bouffer les couilles. On me le demande souvent, et m�me si je ne comprends pas trop pourquoi, je m'ex�cute. En tout cas, il semble que je me d�brouille pas trop mal, il g�mit, se tr�mousse de plaisir. Je l'encourage de mes propres g�missements de salope en chaleur, je veux faire monter le jus et retourner le tirer � la source! Mais je n'y aurais pas droit: c'est bien la premi�re fois que je vois �a: il me gicle dessus, il a joui rien qu'en se faisant bouffer les couilles.... Je suis fier de mon petit exploit du jour, mais terriblement d��u que son miel ait r�compens� mon pull plut�t que ma bouche.

Alors je chasse encore. Je tombe sur un pote avec qui je discute un peu: il vient de tirer un superbe mec qui a des percings aux deux t�tons. le mec n'est pas parti, je devrais pouvoir le trouver et le t�ter, m'annonce-t-il... Je cherche quelques minutes et le trouve au coin du bois. mais nous sommes 3 sur le coup. Pas �tonnant avec un corps comme �a. Je suis le groupe � la queue-leu-leu, j'ai beau �tre dernier je ne me d�courage pas, je ne l�che pas ma proie tant qu'elle n'est pas � un autre. Le mec convoit� bifurque sur la droite, obligeant les autres � le devancer pour aller vers les buissons et l'attendre. Perdu! Moi je me dirige direct sur lui et lui offre mon sourire. Il est mignon! Et chaud! Son torse est offert � mon regard.... mmmmm un sportif, bien ferme, avec de beaux pectoraux, et des abdos discrets mais durs comme l'acier. Quelques tatouages sont visibles au milieu de la toison sombre qui habille sa peau mate. "J'ai envie de te manger", lui dis-je. Il sort sa queue. Elle est un peu petite.. Mais il est mignon, et il me laisse parcourir son corps avec mes mains curieuses... Il est vite au parfum, d�cide d'enlever les v�tements qui lui restent. Quelles cuisses! �paisses, fermes... j'adore y poses mes mains � plat en guise de soumission. mais d�cid�ment son corps m�rite que mes mains le visitent. Il a de petite fesses douces, fermes.. Si j'�tais actif, je lui p�terais le cul! On ne peut pas rester insensible devant un tel plat! Rien que pour la beaut� de ce corps, je me donne � fond pour lui donner tout le plaisir possible... Il m'aide bien: ses g�missements m'excitent et me rendent encore plus appliqu�. Il a compris depuis longtemps ce que je veux, alors il se laisse aller, nos corps communient pour exciter ses sens, exciter mes d�sirs. Lorsque vient le moment, il prend ma bouche enti�rement, lentement, sa queue dure � rompre expulse son jus en plusieurs rasades fournies, cors�es. Il ne me tient pas la t�te, ne cherche pas � s'extraire, nous savons tous les deux depuis un moment que nous voulons terminer ce moment en beaut�. J'avale bien sur tout ce qu'il m'offre, me fais plus doux pour qu'il redescende en douceur. Nous discutons quelques minutes et nous promettons de remettre �a un de ces 4.

Le probl�me avec mes pulsions, c'est que, plus j'en bouffe, plus j'ai faim. Un vrai boulimique de la teub. Il n'y a quasiment plus personne, mais je m'accroche, j'esp�re en avoir encore. Je mets un moment avant de trouver un mec, dans un coin un peu isol� du bois. Il est plant� l�, au milieu d'une clairi�re. Je crois qu'il ne sait pas trop bien ce qu'il fait l�. Il repousse sans doute comme moi l'heure du d�part, sans trop y croire. Il doit avoir presque 40 ans, assez maigre, porte une petite casquette. Je trouverais plus personne � cette heure-ci. J'attaque.Sourire, petites phrases allumeuses "�a a l'air endormi tout �a... Tu veux que je m'en occupe?" Tout en massant son paquet � la recherche de la b�te. Il ne r�agit pas trop, je crains la fuite, alors je passe une vitesse. Tout en le caressant, je lui promets "mmmmm, j'ai envie de te bouffer, tu vas voir tu vas prendre ton pieds, je serais ta salope", et sur ce je tente d'ouvrir son jean. Il est ferr�: il m'aide pour la ceinture, le bouton du haut... ma main p�n�tre l'antre. La b�te �tait bien cach�e! Une queue de 25cm pas tr�s �paisse � sa base se camouflait vers sa poche droite. Je le f�licite "Tu cachais bien ton jeu....Tu vas voir... Je vais te la manger enti�rement. M�me pas peur", et pour �viter toute discussion, je me baisse, pr�sente l'engin � mes l�vres que je prends soin de bien humecter, et je gobe doucement, mais d'un seul mouvement, sa queue jusqu'� la garde. Cela lui arrache un g�missement de surprise et de plaisir, et simultan�ment je sens son gland durcir subitement loin, tr�s loin dans ma gorge. Je sais maintenant qu'il est � moi. Il n'a pas du tout envie de partir. Je suis vraiment chaud maintenant, et cette queue m'excite terriblement. Je la bouffe comme si c'est elle qui me fournissait mon oxyg�ne. En fait, ma respiration est plus souvent coup�e qu'il ne le faudrait - cette manie de prendre les queues en fond de gorge... je manque d'endurance, mais j'aime trop �a. Je respirerais plus tard s'il ne m'�touffe pas. Il g�mit beaucoup, ce qui me rend toujours plus lope. Je t�te comme un acharn�, pendant une bonne demi-heure. Il fatigue, d�cide de s'allonger par terre. Je reprends, et c'est reparti pour un tour.
J'aurais bien voulu terminer cette histoire sur une bonne note: que le mec me donne son miel, tout au fond dans ma gorge qui n'attendait que �a........ Mais ce r�cit est vrai, et malheureusement pour nous, ce mec avait d�j� joui avant. Nous avons d� nous r�soudre � laisser tomber � regret. �a sera pour la prochaine fois!

mmmm44

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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