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Mon petit chaser

Ceci est le r�cit d'une rencontre qui a fait vaciller mes certitudes, et qui � ses d�buts m'a vraiment d�sorient�. Tout a commenc� un soir, cet hiver....

J'ai rendez-vous pour 20h chez un habitu� qui appr�cie tout particuli�rement de visiter ma bouche. Ce soir, pour me faire plaisir (mais aussi pour lui), il a invit� un mec que je ne connais pas et il a pr�vu de me bander les yeux afin que ce dernier, un peu timide, ne soit plus � l'aise. Moi j'aime bien ce genre de plan o� ma bouche est mise � dispo de mecs par un pote, surtout lorsqu'il les a averti auparavant qu'ils vont aimer �a... �a renforce l'id�e que je vais "passer � la casserole", et qu'il n'y a rien que je puisse faire pour �chapper � mon sors de salope. Bref, �a m'excite!

Cependant, on ne peut pas �tre au top tous les jours! M�me les meilleures salopes doivent de temps en temps sucer sans conviction... Et l�, justement, je ne suis pas tr�s chaud. Comme je suis plut�t en avance, je d�cide donc d'aller chasser un peu dans les bois derri�re la fac. Comme dit l'adage: l'app�tit vient en mangeant, et c'est exactement l'effet que j'en attends. Sucer quelques queues va me chauffer pour me montrer bien gourmand avec mon h�te.

En arrivant sur le parking, il y a quelques voitures. Mais � cette heure-ci �a peut aussi bien �tre des membres du personnel de la fac, ou des �tudiants. Pas de quoi s'affoler. Mais pendant que je me gare, je remarque qu'une voiture qui venait de manoeuvrer pour partir entreprend de faire demi-tour et se range � nouveau � proximit�. Tout de suite je comprends que je devais surveiller le mec qui va en sortir, il y a sans doute l� une queue qui a une grosse envie. Effectivement, il m'embarque le pas d�s que je m'avance vers le couvert discret du bois qui s'�tend jusqu'� la rivi�re, en contrebas.

En temps normal, le comportement de ce mec, bien d�cid� � me suivre, m'aurait mis la gaule aussit�t avec �motion, un serrement au ventre accompagnant avec d�lice la certitude que j'allais devoir donner tout le plaisir d�sir� � cette queue qui me prenait en chasse. Mais ce soir, �a va un peu vite. J'aimerais disposer de quelques minutes seul pour faire tourner mon imagination, quitte � utiliser ma main droite, avant qu'un mec ne se d�cide. Je ne suis pas du genre � me d�filer, et puisqu'il �tait d�termin�, je m'incline donc � ses pieds lorsque nous nous retrouvons � l'abri des regards. Je ne prends pas le temps de le d�tailler: un coup d'oeil m'indique qu'il doit mesurer environ 1m70, �tre �g� de 25-30 ans, et qu'il est plut�t fin. J'admire la platitude de ce ventre qui descend vers un relief excitant sous la ceinture. C'est suffisant pour me motiver � lui prodiguer mes "soins". Sa queue est douce, ni longue ni tr�s �paisse, mais tr�s dure de la base au bout du gland. Il en veut: il me tient tr�s vite la t�te derri�re la nuque pour encourager mes mouvements. Son geste n'est pas brutal, mais il n'y avait aucun doute sur son intention: pas question de lui su�ouiller le bout de la queue et de se d�filer ensuite. Bien que peu motiv�, je m'applique donc � lui procurer le maximum de sensations, et il ne met pas longtemps � me r�compenser de quelques salves de sa s�ve chaude, que je m'empresse d'avaler avec d�lice, prenant soin de lui �pargner le recours � un mouchoir en papier. Je n'aime pas faire les choses � moiti�... Et je sais qu'agir ainsi est la plus s�re fa�on d'avoir ce mec pour moi la prochaine fois qu'il me verra.

Habituellement, on s'en tient l�... Parfois le mec se montre un peu loquace, mais le plus souvent il remballe et s'en va vite fait. Mais ce mec l� a quelque chose en t�te. Il veut m'embrasser.. Rien de plus banal que de se b�coter un peu, me direz-vous... Oui mais pour moi, non. Je n'embrasse pas. R�action plut�t curieuse pour un mec si salope qu'il avale plus souvent qu'il ne recrache... Mais bon, il doit y avoir autant de fa�ons de vivre sa sexualit� qu'il y a de mecs sur terre, non? Les rares qui ont tent� jusqu'� maintenant ont presque toujours essuy� un refus poli, mais ferme, d�finitif. J'ai toujours trouv� le roulage de pelle r�pugnant, la simple image d'un mec un peu mature s'approchant de mon visage pour m'embrasser me donnant envie de vomir... A part une exception l'�t� dernier, qui m'avait laiss� songeur sur ce sujet: je me souviens que j'avais d� c�der aux caprices d'un grand m�tisse de 25 ans, si mignon, si d�sirable, qu'il avait pu me demander n'importe quoi pourvu que j'ai droit � ma r�compense � la fin. Il ne s'en �tait pas priv�! Et c'est vrai que, curieusement, j'avais appris avec lui � appr�cier cette visite conjointe de nos bouches, cet �change de salive.. Ce n'�tait pas sexuel mais �a m'avait laiss� tout chose. Depuis ce jour j'envisage la chose moins farouchement, m�me si je ne suis pr�t � accorder cette pratique qu'aux mecs les plus d�sirables � mes yeux. Et donc, je sais que ce soir, je vais renouveler cette exp�rience si troublante.

Relev�, face � celui qui va devenir "mon petit chaser", je d�couvre alors son visage: un sourire d'ange, des yeux brillants, p�tillants, qui plongent sans retenue dans les miens. Je suis toujours mal � l'aise lorsqu'on me regarde dans les yeux... Son regard insistant agit sur moi comme un aimant, un pi�ge auquel je me soumets. Nos visages s'approchent, se rejoignent, nos mains d�couvrant nos corps pendant que nos langues s'apprivoisent.... L'�motion qui s'empare de moi est difficile � d�crire... Le soudain d�sir irr�pressible de m'abandonner � lui, de laisser les �v�nements se d�rouler. Je suis sur un nuage, le temps n'existe plus, je ne vis plus que pour cet instant, pour ses l�vres, sa langue, la douceur de sa peau br�lante que mes mains parcourent sous ses v�tements d'hiver ...

Les meilleures choses ont une fin. Une parcelle froide, calculatrice, d�nu�e d'�motion de mon esprit me rappelle que j'ai un rencard, et qu'il faut mettre fin � ce vol plan�. Nous retournons donc vers le parking, � regret visiblement pour lui comme pour moi, en prenant notre temps. Une fois sous les feux de l'�clairage public, nous pouvons nous d�tailler � loisir. Quel mec! Une gueule d'ange, un large bouche affichant un sourire d'une sinc�rit� d�sarmante. En m�me temps je suis g�n� par son regard qui contraste avec son ang�lisme: il me scrute dans les moindres d�tails, comme un f�lin qui contemple sa proie en se demandant quelle pi�ce de viande il va arracher en premier. Je ne suis pas tr�s � l'aise avec ma plastique, et l'insistance de son regard m'est presque insupportable, mes �motions oscillent entre le plaisir grisant d'�tre ainsi regard� et la crainte de d�plaire, je suis d�sorient�. Ma g�ne arrive � son comble lorsqu'il veux me photographier avec son t�l�phone, pour "garder un souvenir"... Nous discutons donc un moment, le temps qu'il m'apprivoise... Il m'apprend qu'il est plut�t passif et qu'il a flash� sur mes rondeurs. J'ai bien du mal � le croire! Il m'est d�j� arriv� de rencontrer des mecs qui appr�cient mon c�t� nounours, mais � ce point, jamais. Il est comme fascin�. Il veut qu'on se revoit la semaine prochaine, et bien s�r, je suis enthousiasm� � l'id�e de l'embrasser � nouveau, le caresser.... Il est si mignon! Nous nous s�parons apr�s avoir �chang� nos num�ros de t�l�phone, et je me presse pour aller tenir mes engagements, avec une bonne demi-heure de retard... Je vous raconterais peut-�tre cette soir�e dans un autre r�cit...

La semaine se d�roule sans histoires...Bien que troubl� toute la semaine par ma rencontre, je reste fid�le � mes habitudes et sorts le soir soulager quelques queues qui en ont grand besoin. Je commence � �tre impatient: le mec qui hante mes pens�es depuis quelques jours va-t-il m'appeler? Je ne tarde pas � �tre fix�: il m'appelle pour me convier le mercredi soir. J'ai l'adresse, l'�tage, le num�ro... �a se pr�cise!

Je me pr�sente donc chez lui dans la soir�e de ce mercredi de fin f�vrier. Il m'ouvre.... Je peux enfin le voir en pleine lumi�re. Toujours ce sourire magnifique, sinc�re, avec ses yeux qui m'interdisent de d�tourner mon regard... Il a les cheveux poivre et sel, tr�s courts, je suis sous le charme.Je ne sais pas s'il l'a devin�, mais il pourra me demander n'importe quoi... Il commence en tout cas par me rouler un palot bien marqu�. Il m'a fait comprendre la semaine pass� qu'il adore �a, et qu'il aime en plus �changer les salives. Moi, la salive, c'est vraiment pas mon truc. Mais l�... ce mec rayonne le bonheur comme un soleil, je ne veux surtout pas faire de l'ombre.... Je joue le jeu, avec un peu de retenue pour l'instant, mais d�j� je sens que je vais aimer �a. Il m'embarque vers son salon. Marrant comme on peut en apprendre sur la personnalit� de quelqu'un en quelques minutes d'observation! Cet appartement est propre. Tr�s propre. Et la moindre cendre qui tombe par terre entra�ne la sortie de l'aspirateur. Je ne suis pas du tout un maniaque de propret�, et le voir stresser comme �a pour une micro-poussi�re m'amuse terriblement: j'ai d�couvert un petit accroc dans la perfection de cet ange. �a le rend plus d�sirable encore! Nous ne tardons pas � nous d�couvrir. Lui a froid alors qu'il fait 25° dans son appartement surchauff�. Moi j'ai trop chaud, et je veux lui enlever son affreux pyjama pour le manger du regard, en attendant de le manger tout court. Je ne suis pas habitu� � prendre mon temps, moi qui suis un habitu� des plans directs sans blabla. Lui ne veut pas griller les �tapes, et il a l'air de savoir mener son jeu. Nous finissons tout de m�me par �tre nus, et le corps � corps peut commencer..

Assis sur le petit canap� de son salon, nous nous mangeons la bouche, nos langues se croisent et s'emm�lent, c'est voluptueux. Mon petit chaser aime les mecs massifs, les odeurs de m�le qui a chaud, il l�che goul�ment mon front ruisselant de sueur fra�che, les aisselles, me respire avec envie. J'ai mal pour lui, je ne partage pas encore son go�t pour les odeurs, mais... je suis forc� de constater qu'il aime �a: il bande mon salop! Sa belle queue est dress�e, raide. Je l'ai d�j� suc�e, mais c'est la premi�re fois que je la vois. Elle n'est pas d�mesur�e, sans �tre petite. Elle n'est pas tr�s �paisse non plus. Son gland est d�calott�, il est bien rond, tout rose, brillant. j'ai de plus en plus envie de m'emparer de cette g�terie, d'observer ce petit corps r�agir sous mes coups de langue. Je d�laisse sa bouche chaude et gourmande pour effectuer une descente vers l'objet de mes convoitises. Il s'allonge sur le dos, je le surplombe. Sentiment grisant que de l'avoir ainsi � ma merci; si je le voulais, il ne pourrait pas r�sister � mes assauts, il ne fait pas le poids. Mais... je suis bien trop civilis�! Sa peau, sans �tre brune, est plus bien plus mate que la mienne - je suis blond fonc�, ma peau est plus blanche - il dispose d'un pelage doux sur le torse, et sublime invitation une piste d'atterrissage l�g�rement velue, de quelques centim�tres de large, parcoure son petit ventre chaud jusqu'� son pubis.

Je ne r�siste pas davantage et gobe sa queue, l'envoyant visiter ma gorge directement. Je suis tellement troubl� par la fascination que ce mec exerce sur moi que j'ai bien du mal � me comporter en vraie salope comme � mon habitude. J'ai peur de ne pas le satisfaire, qu'il ne veuille pas me revoir, et du coup je trouve ma prestation de bien pi�tre qualit�. Je m'efforce tant bien que mal d'exercer mes talents, il me motive en y mettant du sien. Pour un passif, il a un sacr� penchant pour l'irrumation: il glisse ses mains derri�re ma nuque et exerce une forte pression pour me limer la bouche. Heureusement qu'il n'est pas trop bien �quip�, sinon il m'�toufferait! Je fais une pause en remontant go�ter � sa bouche - j'y ai vraiment pris go�t - et il entreprend alors de me t�ter � son tour. j'avais presque oubli� qu'il est avant tout passif, bien salope, comme moi. Il engouffre ma queue avec avidit�, astique vivement. Je me suis assis, vautr� sur le canap�, il est install� entre mes cuisses. Ah! Si j'�tais actif! Le spectacle de cet ange qui me pompe goul�ment... C'est trop excitant, je n'ai pas l'habitude, il faut que je fasse cesser �a tout de suite sinon je vais le garnir de foutre et saloper son canap�.. Je veux garder mon �nergie pour faire de nouvelles d�couvertes. Je lui fais part de mes d�sirs, et il m'invite � aller dans sa chambre, o� nous serons plus � l'aise. Il y fait plus sombre, et je vais �tre d'autant plus � l'aise que dans son salon, la baie vitr�e, bien qu'il n'y ait pas de vis-�-vis � proximit�, offrait un sacr� spectacle � ceux qui se seraient donn�s la peine d'observer.

Sur son lit, nous reprenons nos caresses. Je fais attention de ne pas l'�craser - je dois peser presque deux fois son poids - je lui offre ma salive en l'embrassant. Ma main commence � s'aventurer sur sa rosette... Je n'ai jamais fait �a, mais j'ai de plus en plus envie d'�tre en lui, de sentir son cul me serrer la queue. Ses yeux brillants sont toujours plant�s dans les miens, son sourire m'invite � aller plus loin. Il sort une capote de la table de nuit. Le temps d'enfiler la protection et il l�ves ses jambes, m'offrant l'acc�s � son trou. Apr�s quelques secondes d'h�sitation, me voil� d�j� cal� bien au chaud. C'est doux, toute ma queue est sollicit�e par son tunnel. Il va me falloir redoubler de vigilance si je ne veux pas venir trop vite! Je commence mes va-et vient, tout en lui d�vorant la bouche, lui offrant toujours plus de salive. D�cid�ment le sentiment de pouvoir dominer ce petit corps est trop excitant, j'aimerais que �a dure toute la nuit. Mais il n'est pas question de domination dans notre relation, je me fais doux, c�lin, et je d�couvre que j'aime �a. J'ai tout de m�me envie de profiter un tout petit peu de mon avantage.. Sans d�culer, je d�cide de le soulever pour le placer � cheval sur ma queue, m'allongeant sur le dos. C'est terriblement bon: il monte et descend sur ma queue qui s'enfonce � la garde, tout en appuyant ses mains sur mes pectoraux. Il est ma femelle qui donne du plaisir � son m�le. Si tu me lis, P. (je ne vais tout de m�me pas vous donner ses coordonn�es!), rappelles-toi que cette position me fait grave kiffer pour une prochaine fois! Mais... il ne l'entend pas de cette oreille, d�cide de reprendre notre position pr�c�dente. Je ne me fais pas prier, ce que je d�sire avant tout, c'est le combler de plaisir, pouvoir jouir encore et encore de sa peau, de son trou, de sa queue...

Il semble appr�cier d'�tre bien lim�, alors j'acc�l�re le mouvement, je m'enfonce plus et ressort plus � chaque mouvement. Son trou br�lant est trop bon autour de ma queue, je ne tiens plus et je le farcis de ma cr�me. Je suis un peu g�n�, car je crois lire sur son visage une lueur de d�ception - peut-�tre aurait-il voulu que je le lime une ou deux heures de plus? Toujours est-il que je me d�couvre un nouveau talent de salope: je viens tous juste de gicler, mais je ne veux pas en rester l�. A peine remis, je descend sur sa queue gonfl�e de d�sir, dure � rompre, et je l'engouffre. Habituellement mon orgasme met fin � tous mes d�sirs, au moins pour quelques minutes. Mais aujourd'hui, non. je veux sentir son nectar couler dans ma gorge, je veux sentir encore son corps vibrer de plaisir. Je t�te comme si ma vie en d�pend, je serre mes l�vres autour de sa hampe, je profite de chaque mouvement pour faire glisser ma langue sur son frein, je gobe son gland avec ma gorge. Je sens ses mains sur ma nuque, qui accompagnent mes mouvements, m'interdisent de faiblir. Je suis plus dans mon jeu, ainsi soumis au plaisir d'un mec. Ma queue se gonfle � nouveau � l'id�e que ce mec si craquant va d'un instant � l'autre conna�tre l'extase gr�ce � ma bouche. Il n'est pas tr�s expansif, mais je sens tout de m�me le moment approcher. Il g�mit un peu, sa respiration est moins r�guli�re, ses mains se font plus insistantes, il se cambre pour accompagner mes mouvement et me p�n�trer plus profond�ment. Sa queue est si raide, si dure, qu'il me d�foncerait la gorge s'il l'avait un rien plus longue. Sans l�cher son membre, je jette un oeil vers son visage. Son sourire ang�lique a laiss� la place � un regard perdu... Il est maintenant � moi autant que je suis � lui. Encore quelques instants et je suis r�compens� par ses salves de miel, dont je ne perds pas une goutte. Je continues de le t�ter en douceur jusqu'� ce que sa queue se d�tende dans ma bouche. Je reste obstin�ment le nez dans sa toison, aspirant en douceur afin de ne pas rendre ma succion d�sagr�able, le faisant redescendre tout doucement.

Je me r�signe enfin � l�cher sa queue, et vais m'allonger � son c�t�. Nous nous enla�ons tendrement, nous nous embrassons. J'aime trop sa peau, je le caresse, et je finis par d�cider que son ventre fera un bon oreiller. Nous c�linons ainsi un moment; il ne le sait pas et je n'ose lui demander: rien, absolument rien ne me ferait plus plaisir que de m'endormir � ses c�t�s. Ce moment est d�licieux.... nous sommes apais�s, d�tendus, je suis heureux, na�vement heureux, un soleil nouveau fait jour sur mes pens�es et m'emplit de bien-�tre. Mais mon petit chaser ne tient d�cid�ment pas en place, il veut retourner au salon, passer � autre chose.

Nous nous installons donc devant la t�l�, o� il met un �pisode d'une s�rie bien connue dont le h�ros est un tueur en s�rie. Je n'ai pas d'autre choix que de laisser faire, tout ce qui compte pour moi est de faire durer ce moment de f�licit�. Je le caresse, le dorlote. Je crois bien que �a l'amuse un peu de voir � quel point je suis fascin� par son ventre. Je ne tarde d'ailleurs pas � m'y r�-installer l'oreille � l'�coute de son coeur. Je suis tourn� vers la t�l� et vers la b�te qui se repose � un souffle d'air devant ma bouche. J'ai encore faim. Je profite de l'instant pr�sent, le caresse encore et encore, attendant patiemment qu'il reprenne de la vigueur. Il m'a bien pr�venu que je ne tirerais probablement plus rien de lui ce soir, mais je ne suis pas du genre � me d�monter pour si peu. J'en ai vu bien d'autres qui se croyaient � sec et qui pourtant trouvaient des ressources d�s que je commen�ais � tirer dessus! Patience.. Je ne suis pas press� de toute fa�on, je suis trop bien, j'aimerais m'endormir comme �a. Ma main parcoure son corps, rendant r�guli�rement une petite visite � son entre-jambe, que je ne me lasse pas d'observer. J'aime bien manipuler cette queue qui �merge d'une toison bien sombre. Par moment, je l'installe bien au chaud dans ma bouche, sans mouvement, afin de ne pas brusquer les choses.

Il finit immanquablement par r�agir... Sa queue prend du volume, commence � se dresser. Je suis aux premi�res loges, je n'attends pas davantage et l'enfourne. Je commence en douceur, ma t�te ne quittant pas l'accueil soyeux de son ventre. Mes mouvements sont lents, j'aspire sa queue pour la faire gonfler davantage. C'est lui qui d�clenche les hostilit�s, plus vite que je ne m'y attendais: d�j� il g�mit, juste une fois, et ses mains viennent prendre possession de ma t�te, m'invitant � amplifier mes mouvements. Pas besoin d'un autre signe: je me rel�ve, il s'allonge sur le canap�, et je commence � le t�ter activement. Sa queue est � nouveau dure comme en d�but de soir�e. Elle est si dure que j'ai du mal � la faire passer dans ma gorge. Je d�cide de m'installer dans l'autre sens, en 69, sans lui proposer ma queue: c'est son jus que je veux faire sortir, pas le mien. De cette fa�on, je peux engouffrer sa queue profond�ment, mon nez allant taper dans ses couilles. Je m'applique comme �a pendant quelques minutes avant de reprendre une position plus confortable qui lui permette en plus de me tenir la t�te, il a l'air d'aimer �a! Il a la p�che mon petit chaser, il a d�j� bien recharg�. Il se laisse bient�t aller et m'offre son foutre chaud, exp�di� direct au fond de ma gorge.

Il est temps de le quitter... Je dois rentrer.... Nous nous promettons de remettre �a. Tout le chemin du retour, je suis comme sur un nuage, heureux... Heureux comme un adolescent qui vient de tomber amoureux apr�s son premier rencard. Je ne m'en rends pas encore compte, mais.... ma raison est en train de vaciller. Les jours qui suivent, les semaines qui suivent sont un vrai calvaire: il me manque. Il me manque tout le temps. Je ne sors plus me donner aux inconnus, je reste derri�re mon pc, � attendre une invitation qui ne vient bien s�r pas assez souvent! Au d�but, je ne crois pas � ce qui m'arrive, apr�s-tout, je n'ai pas cette esp�ce de boule � l'estomac quand je pense � lui.... Nous nous revoyons bien s�r. Lui ne s'en rend pas compte: je ne suis qu'un habitu� de plus dans sa panoplie... Ce n'est pas du tout dans ses intentions de se fixer, il a �t� tr�s clair � ce sujet d�s le d�but. J'�tais parfaitement ok d'ailleurs, puisque jusque-l�, il m'�tait toujours apparu comme �vident que je ne pourrais jamais avoir de sentiments pour un mec, et que m�me si �a m'arrivait, je serais beaucoup trop salope pour �tre fid�le. De peur que mon comportement ne le trouble, je lui en touche un mot, lui avoue que je l'ai dans la peau, en pr�cisant bien que ce n'est pas de l'amour, mais pas loin. Je redoute en m�me temps qu'il ne coupe les ponts, ne serait-ce que pour mon bien... je pense, j'esp�re que mes sentiments vont s'estomper en quelques semaines ou quelques mois. Mais d'ici l�, je crains plus que tout qu'il ne veuille plus me revoir: �a serait trop douloureux, j'en suis absolument convaincu. Pour oublier, pour que mon esprit m'�chappe de cette d�pendance, je br�le mes hormones en m'abstrayant dans le sport, rempla�ant une drogue par une autre..

C'�tait il y a quelques mois...... J'estime aujourd'hui que j'ai �chapp� de peu � une d�pression, en me confiant � un ami, en parlant de ce qui m'arrivait... Le fait est que mon petit chaser a agi sans le savoir comme un d�tonateur, qui a cristallis�, par son attitude, par ce que nous avons fait, un manque d'affection tapis en tra�tre dans un coin de mon esprit.. Aujourd'hui, je suis parfaitement "remis". J'ai repris mes anciennes habitudes, mes sorties en ext�rieur, au sauna, et je m'en donne � coeur joie! Je continues de pratiquer du sport de fa�on intensive, mais mes hormones ont repris le contr�le. La diff�rence avec avant? Maintenant, quand un mec mignon veut du c�lin, je lui en donne. Et parfois, je laisse mes nouvelles pulsions d'actif prendre le dessus... Je revois encore ce bel ange � l'occasion. Apr�s tout, il m'a fait d�couvrir plein de choses, et il demeure � ce jour le seul passif de mon carnet d'adresses. Je r�alise en �crivant ces lignes que tant que je n'aurais pas modifi� mes profils sur les sites de rencontre, j'aurais du mal � d�nicher d'autres passifs comme lui!

Mon petit chaser, comme j'aime l'appeler pour moi-m�me, j'ai �t� � sa merci pendant 2 mois. J'aurais tout plaqu� sur un signe de sa part.... Je suis heureux, vraiment, qu'il soit rest� droit et honn�te, qu'il ne fasse vraiment pas dans le sentiment, qu'il ne m'ait pas un seul instant laiss� croire - m�me si c'�tait dur � vivre sur le moment - qu'il pourrait y avoir plus entre nous que des moments de tendresse et du cul. Car sinon, je n'ai aucune id�e de l'�tat dans lequel je serais maintenant.

mmmm44

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