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Champagne, gr�ce & disgr�ce :

Je suis en train de manger dans une brasserie du boulevard des Italiens � Paris.
Juste en face de moi, il y a un monsieur dans la soixantaine, bedonnant et chauve.
Il mange une choucroute. Il me regarde.

Il faut dire que je suis en t short noir moulant mon torse muscl� et laissant bien voir mes biceps puissants et mes �paules qui roulent sous ma peau bronz�e, bref je suis excitant pour un certain nombre de mecs qui aiment �a.
Je fais semblant de rien et je continue de manger ma salade et mon riz nature. Il transpire, il se l�che les l�vres.
Je bois mon eau, il boit son vin.
Je soul�ve ma cuisse gauche et je p�te. La prot�ine, �a me fait p�ter. Il sourit, il a d� entendre.
De toute fa�on, il est trop loin pour sentir. C'est une vraie infection. La prot�ine sert � te fixer le muscle, mais par contre �a te d�range grave les tripes.

Il me souris, je fais semblant de pas le voir. Il a visiblement envie de moi. Que vais-je faire ?
Est-ce que je vais �tre gentil avec ce gros lard ou est-ce que je m'en fous ?
Je n'ai pas besoin de lui pour jouir. Mais parfois �a m'arrive d'�tre sympa, un peu par piti�.
J'imagine que ce mec n'a pas du toucher un corps comme le mien depuis au moins trente ans... � moins de s'�tre pay� un gigolo.

Bref, j'ai un peu de piti� pour ce brave monsieur. Je d�cide de me lever et d'aller aux wc.
S'il m'y rejoint, je le laisse faire 5 minutes.
Je me l�ve, il braque son regard sur ma taille fine et sur mon entre-jambes.
Je me remets le paquet en place d'une fa�on pas tr�s discr�te, genre voyou. Je demande au gar�on de service o� se trouvent les chiottes. Il me montre la direction. J'y vais tout en sachant que ses yeux me caressent les fesses.
J'arrive en bas. J'ouvre une cabine je me fous enti�rement � poils et je laisse la porte entre ouverte. Une minute apr�s qui c'est qui arrive ? Le gros monsieur ! Il ne me voit pas, je le vois. Il va se laver les mains et s'appr�te � remonter au resto, je toussote, il regarde dans la direction de ma cabine.

Je suis assis les cuisses �cart�es, la pine bien droite, les couilles bien lourdes. Il se risque � regarder par l'espace de la porte entre ouverte. Il a la bouche ouverte ; on dirait un saumon. Je masse mon pec gauche. Il regarde. Je descends mes mains sur mon pubis et je masse ma teub raide et chaude. Il ne sait plus quoi faire. Je me l�ve et je vais droit vers lui.
- vas-y mon gros profite en c'est ma journ�e de bont�, fais-moi ce que tu veux, tu as 5 minutes.
Il avance sa main vers mon torse et palpe mes muscles. Il transpire de plus en plus, il n'ose pas toucher mon sexe turgescent. Je prends sa main et la dirige vers ma queue tendue. Il soupire profond�ment. Il me fait un va-et-vient doucement. Je me tortille de plaisir. Il ne sort m�me pas sa bite, il se contente de me toucher, et de m'admirer en soupirant d'aise ; il se penche et me mordille le t�ton droit. J'aime �a.
- tu as envie de m'enculer ?
- non, juste de vous caresser, merci
- OK je suis ton homme
- puis je vous demander si je peux vous inviter chez moi ce soir ?
Et l�, je ne sais pas pourquoi, je lui dis :
- oui.

Il continue de me branler. On entend quelqu'un qui arrive.
Il se retire aux pissoti�res.
Je ferme la porte. Je me rhabille. Je sors et je le vois faire semblant d'acheter des cigarettes au distributeur, il me tend un papier je le prends et je me tire.
Je prends le m�tro et l�, je lis son petit mot :
Cher monsieur, merci de vous �tre laiss� caresser par un vieux monsieur comme moi. Je sais bien que je ne dois pas �tre tr�s excitant � vos yeux. Vous �tes une telle perfection. Si vous le voulez, je vous attends chez moi ce soir � 20 h, 19 rue de... au deuxi�me �tage gauche. "
Le soir, je m'y suis rendu, par piti�, par curiosit�, je ne sais pas.
J'arrive devant l'immeuble, cossu. Je sonne en bas.

J'entends sa voix visiblement troubl�e. La porte s'ouvre. Je prends l'ascenseur. Je monte. J'arrive au deuxi�me. La porte est ouverte. J'entre. Il est l�. En robe de chambre. Il me sourit.
Il y a du champagne sur la table basse du salon. Il m'en sert une coupe. C'est un magnifique appartement. Il y a des objets magnifiques un peu partout. Des tapis de luxes, des tableaux et des pendules superbes. C'est un mec friqu�. Il me remercie d'�tre venu. Il me demande de me d�shabiller. Je me mets nu, il me caresse avec une infinie tendresse. Je me laisse faire, il se met � me sucer avec douceur, j'aime sa fa�on de sucer ma queue tout en me massant paisiblement les couilles et les pecks.

Je jouis au bout de 10 minutes. Il me supplie de rester encore. Je ne vois pas pourquoi je partirai, il est gentil, c'est un cadre magnifique le champagne est bon et il sait me toucher.
Je m'assieds et on boit du Champagne. Il me sert des amuse-gueules. Il est au petit soin pour moi. Il me fr�le doucement de temps en temps. On parle de sa vie. Il a 68 ans, sa sant� n'est plus ce qu'elle �tait. Il a beaucoup travaill� et il profite de sa retraite pour voyager. Il me demande si �a me dirait de l'enculer.

Je ne peux rien lui refuser, il est si d�licat. Et me voil� enfilant ma queue raide dans ce trou du cul qui a d� en sentir passer d'autres...
Il grogne. Je lui dis que je vais jouir, il me supplie de jouir en lui. Je jouis dans son anus chaud.

On se repose, on reboit du champagne. Il m'invite � dormir chez lui. Le lendemain il me demande si je peux revenir la semaine prochaine. Je dis oui.

Et j'y suis revenu jusqu'au bout, avec beaucoup d'affection et m�me avec de l'amiti�.
Un jour, il est parti, il avait 71 ans. Depuis j'habite son appart, Il m'avait couch�, nu son son lit, il m'avait aussi couch� sur son testament.

Pascal

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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