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Chambre d'amis

Cet apr�s-midi d'�t� fut consacr�e a jouer dans l'eau ou � taper dans la balle dans le parc. C'�tait les vacances et bien qu'ayant d�j� 18 ans je n'avais pas de moyen de transport. Le soir venu, mes parents ne pouvant pas venir me chercher je restais chez nos amis et partirai le lendemain. Une copine prendrai la chambre d'amis. Je du partager la chambre avec un de mes potes. La journ�e ayant �t� plut�t sportive je m'endormis rapidement dans son grand lit deux places.

Je ne sais pas combien de temps s'�coula entre le moment ou je m'assoupi et celui ou je pris conscience que j'�tais r�veill�. En effet je dormais bien mais j'avais l'�trange sensation d'avoir une forte erection. Sensation agr�able mais que je ne pouvais pas vraiment expliquer dans l'�tat de demi-sommeil dans lequel j'�tais. En y pr�tant un peu plus d'attention je m'aper�u que de tr�s l�g�res caresses avait lieu sur mon sexe. Caresses si peu appuy�es que je ne les sentais quasiment pas mais qui suffisaient tout de m�me a exciter mon appareil.

A y r�flechir la sensation �tait agr�able et je ne crois pas avoir eu envie de l'interrompre. Sans bouger je feignais donc le sommeil tout en profitant d'une excitation grandissante. Mon compagnon de lit continuais son petit man�ge tout en �tant convaincu que j'avais un sommeil tr�s profond. Je pense que cette situation l'excitait �galement et ses attouchements semblaient s'intensifier.

Sa main passait maintenant tr�s d�licatement � l'int�rieur de mon cale�on. Il me titillait tant�t le bout du sexe, tant�t mes bourses gonfl�es � bloc, presque douloureuses. Ces caresses douces avait fait grossir mon membre de fa�on impressionnante. La lenteur de l'action semblait avoir d�cupl� son intensit�. Je pense que j'aurais pu jouir uniquement grace a ces petits touches du bout des doigts.

Je n'en eu pas le temps car au bout de longues minutes de "pr�liminaires" je sentis lentement glisser mon voisin sous les draps. Je n'osais pas comprendre ce qu'il allait faire. Je n'avais jamais eu le droit � ce type de "faveurs" et ne savais pas trop comment r�agir. Il �tait presque trop tard pour me retourner ou me r�veiller. De plus j'avais peur de le voir ainsi, pris la main dans le sac.

Je d�cidais de ne pas bouger. De plus, j'�tais un peu curieux... Cela ne pris pas longtemps pourqu'il baisse mon cale�on afin d'en extirper mon sexe raide. Cela ne pris pas longtemps non plus pour que je sente sa langue passer sur mon bout et descendre jusqu'a mes testicules. C'�tait nouveau pour moi mais a vrai dire assez hallucinant. Un tremblement de terre, ou plut�t une explosion se pr�parait, je le sentais et savait que je ne pourrai la contenir.

Quelques minutes plus tard sa bouche faisait des aller-venus le long de mon sexe pendant qu'une de ses mains continuait de me caresser. Je n'en pouvais plus et c'est avec un peu de regret que je mettais fin a ce moment en �jaculant de toutes mes forces dans sa bouche. Je le sentis un peu surpris mais il tenu le choc et bloqua mon membre au fond de sa gorge le temps que s'�coule tout le contenu de mes bourses gonfl�es. Ma jouissance paru durer une �ternit� et je n'en finissait plus d'�tre secou� par des soubresseaux poussant mon sperme chaud au fond de sa gorge.

Lorsque ce fut termin� il garda mon sexe dans sa bouche pleine de sperme.
Peut-�tre pensait-il que je dormais encore ou pref�rait-il garder cette position le temps que sa main libre lui procure aussi une lib�ration bien m�rit�e. Il resta ainsi de longues minutes jusqu'a se que mom membre reprenne sa taille normal et m�me un peu au del�. Lorsqu'il ouvrit sa bouche pour relacher mon sexe, un peu de sperme liquide s'en �coula et me glissa le long des testicules jusqu'a d�gouliner entre mes fesses. Il y a passa sa langue en guise d'aurevoir.

Je mis ensuite un peu de temps � retrouver le sommeil.

boboysexy

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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