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C�dric, le petit vendeur

Je veux vous faire partager mon aventure ave C�dric 22 ans et moi 59. Je me rends chaque jour au bureau avec les v�los libre service. Lorsque je sors du boulot, vers 12 h 15 je rencontre r�guli�rement, un jeune vendeur de l'agence de t�l�phone ;mobile implant�e dans la rue. Comme moi, c'est un utilisateur des v�los. Il est craquant, imberbe, blondinet �lanc�, la crevette nature ! Nous �changeons quelques mots sans importances type " il fait beau ". Ce gar�on est la copie conforme du mec qui vit avec moi. Mais nous nous permettons, l'un et l'autre des extra et si le petit vendeur voulait ce serait sans h�sitation pour moi ... Depuis 1 an que nous nous croisions avec la crevette, rien ne m'avait permis de savoir si j'avais ou non une petite chance avec lui.

Mais voila, la pluie m'a fait son cadeau de no�l. En raison de l'�tat de la chauss�e, j'ai renonc� au v�lo pour le bus. Et sous la pluie battante, je me prot�geais comme je pouvais sous mon petit parapluie pliant. A l'autre bout de la rue je vis courir sous la pluie diluvienne le petit vendeur blondinet. Comme d'habitude il portait son pantalon noir serr� et sa chemisette blanche. Arriv� � ma hauteur, nous �change�mes un sourire. Sa chemise, tremp�e, �tait coll�e sur son corps laissant m�me para�tre ses deux petits t�tons point�s. " Et bien, vous �tes dans un bel �tat, venez tout de m�me vous prot�ger sous mon p�pin ! " lui dis je. Et serr� l'un contre l'autre, nous avons rapidement convenu que ce n'�tait qu'une protection de pure forme.

Lorsque le bus arriva, quel choc !, il �tait bond�. Mon petit vendeur sourit et me dit " nous aurons int�r�t � pousser ;si nous voulons monter " Nous avons r�ussi � nous glisser dans une all�e en jouant des coudes. Pour pouvoir me maintenir avec les secousses du bus je glissais ma main sur le montant du si�ge, obligeant ma petite crevette de l�g�rement reculer pour laisser passer mes doigts. Je sentais sa hanche appuy�e sur le dessus de ma main. " Quelle gal�re, me dit il, c'est le jour de mon anniversaire et je sui tremp� comme un rat " j'appris qu'il avait 22 ans, qu'il se pr�nommait C�dric et qu'il descendrait au m�me arr�t de bus que moi. Le conducteur �tait une v�ritable brute, bringuebalant les passagers sans m�nagement. Je tentais de garder ma prise sur le si�ge alors que C�dric lui ne pouvait pas se tenir. Au bout de quelques minutes, il trouva une position plus stable en se collant au dossier. Cette fois je sentais sa bite appuy�e sur ma main. De temps en temps je faisais quelques mouvements de doigts et bient�t, ce qui me semblait un doute deviens r�alit�, C�dric bandait !

Sa bite prenait des proportions s�rieuses et son manche �tait dur comme du bois. Nous n'�changions aucun mot mais � la fa�on qu'il avait de se serr�, je savais que la complicit� �tait totale. Enfin notre arr�t arriva et c'est les mains coll�es devant le ventre que C�dric descendit du bus. ;Je tentais une approche, " Puisque c'est votre anniversaire je vous offre un verre ? Depuis le nombre de mois que nous nous croisons, nous pourrions prendre quelques minutes pour nous conna�tre, " " ok, me dit il mais si �a ne vous d�range pas je vous offre un verre chez moi, c'est l'immeuble en face, car j'ai h�te de poser ma chemise tremp�e. " c'est comme �a que deux minutes apr�s, nous �tions dans son appartement. Un petit F3 traversant au 4em �tage d'un immeuble bourgeois. Les cloisons avaient �t� abattues transformant l'espace en trois volumes, cuisine am�nag�e US, salle � manger avec une superbe table en ch�ne clair et un canap� r�alis� avec deux matelas de 80 cm de large superpos�s recouverts d'une jet�e de lit " En position canap� ce n'est pas tr�s confortable me dit il mais en position lit c'est un 160 super. " C�dric sans complexe �ta sa chemise tremp�e et je pouvais admirer un corps lisse, parfaitement imberbe les aisselles ras�es. Il �tait mince � la musculature fine sans pour autant �tre maigre. Torse nu maintenant il allait chercher deux verres pour servir le pastis. Je pouvais observer ses mouvements gracieux et a�riens. " Je pense, C�dric que ta chemise �tait en effet bien mouill�e mais ton pantalon ne me semble pas valoir mieux. " Tu as raison me dit il mais je n'osais pas. Je peux ? �a ne te d�range pas" et joignant le geste � la parole il fit tomber son futal. Il �tait maintenant en boxer lycra blanc (mouill� aussi) qui moulait sa bite parfaitement dessin�e. "Honn�tement, C�dric, ce ne pouvais �tre mieux, non seulement �a ne me d�range pas mais �a me plait beaucoup. " Le sourire qu'il m'adressa �tait plein de coquinerie. " Je t'assure que si je pouvais je ferais bien de m�me. C�dric, me planta son regard bleu dans les yeux Il s'approcha de moi. Ses mains fines et longues se promen�rent rapidement sur le col de ma chemise et doucement il commen�a � d�faire les boutons de ma chemise. Je ne r�sistais pas et assistais � mon propre strip-tease.

" Houa ! fit il lorsque je fus torse nu ! Costaud le mec : " il est vrai que j'entretien mon corps r�guli�rement pas deux fois trois heures de musculation par semaine. Je suis assez fier du r�sultat. " Doucement, il approcha sa t�te et commen�a � me sucer les seins, j'�tais aux anges. Puis sans commentaire il promenait ses mains sur mon torse et rapidement tata ma queue qui n'en pouvait plus d'�tre serr�e. Le bouton de ma ceinture ne r�sista pas longtemps � cet effeuillage. Et moins de 5 mn apr�s je me trouvais � poil avec la queue dans la bouche chaude de C�dric. Il me l�chait les couilles, su�ais tendrement ma bite. Il avait quitt� son boxer et sa petite bite ras�e se ballottait devant mes yeux. C�dric me poussa pour que je me trouve allong� sur le dos. Et sans me demander, ni dire quoi que ce soit, il se positionna face � moi pour rentr�e ma queue band�e dans sa rondelle glabre. C�dric avait une grande habitude car ma bite rentra sans gel et coulissait d�licieusement dans ce fourreau de chaire fra�che. Ses mouvements lents me donnaient un plaisir immense. Je voyais sa queue sauter � chaque mouvement. A ce r�gime, je ne mis pas 10 mn � sentir ma jouissance monter. Je le dis � ma petite crevette qui change�t aussit�t de position pour placer son visage sous ma bite. Il voulait une �jac faciale, il allait �tre servi. Je lui projetais trois grandes gicl�e de foutre .La premi�re s'�tala sur l'aile gauche du nez et lui ferma l'oeil. La deuxi�me lui recouvrait le front et la derni�re se projeta sur sa langue qu'il avait sortie pour recueillir la liqueur. Aussit�t, il recrachait mon foutre qui s'�coulait sur son menton et son cou.

Le visage recouvert de mon sperme il semblait aux anges et, changeant de position, il se masturbait vivement pour m'inonder le torse d'une cr�me blanche et �paisse dont la quantit� me surpris. Je tentais d'essuyer ce foutre ti�de. C�dric me bloqua la main et me fixant dans les yeux se coucha sous mes couilles pour doucement remonter le long de mon torse pour l�cher tout son foutre. Il mettait une application minutieuse pour ne pas laisser de trace de sa semence.

Epuis�, nous �tions cote � cote couch�s sur le dos. C�dric, m�me dans cette postions, promenait ses mains sur ma queue qui d�bandait. D�cid�ment ce petit mec �tait insatiable.

J'ai confirm� cette appr�ciation par de nombreuses autres baises que nous avons entretenues chaque semaine. C�dric, sans cesse, innovait dans nos �bats sexuels. Mais voil� ce bel �quilibre hebdomadaire, a cess� le mois dernier. C�dric viens d'�tre nomm� responsable de magasin dans la r�gion parisienne. Nous nous sommes promis de poursuivre notre relation, mais la distance est un beau frein. En attendant, je partage au quotidiens mon lit avec mon mec, tout aussi tendre et expert mais avec 25 ans de plus que mon petit c�dric. La diff�rence autre que sexuelle c'est l'amour entre mon mec et moi je vous assure que c'est irrempla�able

Yannick.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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