LA CAVE DE TOUS LES VICES.La peur ! Elle est toujours pr�sente chaque fois que je rencontre un nouveau partenaire, mais c'est bien de cette peur que na�t mon excitation. J'ai vingt-six ans, je suis brun et je mesure 1,75 m pour 70 kilos. Adolescent, je me branlais d�j� en r�vant de situations perverses o� je me retrouvais totalement soumis � un ou plusieurs hommes. Je m'imaginais attach� � un arbre, fess� puis flagell� avant de me faire d�foncer le trou du cul par d'�normes bites. Francis a trente-sept ans. II est brun, poilu, pas tr�s costaud, bien membr�. C'est un avocat qui troque la robe pour s'habiller de cuir tous les soirs, avec un pantalon serr� qui moule bien sa bite et ses couilles et qui est tenu � la taille par un gros ceinturon clout�, un perfecto sans rien dessous, m�me l'hiver, un bracelet clout� et des santiags. Nous �tions en plein mois de janvier et je suis arriv� sur le perron, transi de froid. II m'attendait en haut des marches, juste v�tu de son pantalon en cuir et de ses bottes. II me toisa et, sans rien dire, tourna les talons. Nous sommes descendus par des escaliers en colima�on dans une vaste cave �clair�e par des dizaines de cierges et sp�cialement am�nag�e pour les actes tr�s sp�ciaux qui s'y d�roulaient. L�, j'ai su que mon vrai dressage allait commencer. Je suis rest� debout devant Francis pour ex�cuter ses premi�res directives. Pour raser mon anus, je me suis accroupi avec le miroir pos� entre mes cuisses et je me suis appliqu� pour faire dispara�tre tous les poils qui masquaient ma rondelle. Une fois mon travail termin�, j'ai repos� le miroir et le rasoir, bien � leur place sur les �tag�res et je me suis approch� de lui : "Voil�, j'ai fini." Je lui ai pr�sent� mes couilles et mon pubis, lisses et sans poil, puis je me suis tourn�. Ecartant bien mes fesses avec ses mains, je lui ai fait v�rifier l'�tat de mon anus. Il me donna alors un �norme godemich� noir. Il gardait les yeux fix�s entre mes fesses. Je faisais aller et venir le gode entre mes fesses en l'enfon�ant aussi profond�ment que possible. Je grima�ais de douleur mais d�j� j'essayais de retenir mon orgasme. Le silence de Fran�is, cet objet qui me d�fon�ait et cette cave lugubre ressemblant � la crypte d'une cath�drale m'avaient conduit au paroxysme de l'excitation. Mon foutre ne tarda pas � venir arroser mon ventre, ce qui fit r�agir Francis : "Qui t'a dit de jouir, sale chienne ?... Je vais t'apprendre � ob�ir !" Il me fixa les chevilles et les poignets � quatre anneaux en acier fix�s au mur. Il fit claquer une cravache avant de m'en mettre un violent coup sur les fesses: "Tu vas r�p�ter ce que je vais te dire !" Un deuxi�me coup de cravache, bien ajust� sur la raie de mon cul me fit r�pondre: "Oui, ma�tre !" Chaque r�ponse de ma part �tait scand�e par un coup de cravache: " Je suis ta chienne", " Je t'appartiens", "Je n'existe que pour toi..." Sous la violence ce des coups, j'ai failli c�der � plusieurs reprises. J'ai entendu Francis d�poser la cravache. Quelques secondes apr�s, son gros gland pressait mon trou du cul. D'un seul coup de reins, il s'est enfonc� jusqu'� la garde. Il m'empala sur son manche et m'encula violemment pendant plus d'une demi-heure avant de m'inonder avec son foutre chaud. Une fois son plaisir pris, Francis redevint un autre homme. Il me prit dans ses bras avec douceur et me monta � la salle de bains o� il alla jusqu'� me laver. J'obtins un nouveau rendez-vous pour le lendemain. L�, il y eut beaucoup de monde. Francis avait bien pr�par� les choses, donnant un aspect tr�s c�r�moniel � la soir�e. Ce soir-l�, je faisais serment d'appartenance exclusive � mon ma�tre. Je lui jurais ob�issance totale et soumission sans condition, � genoux devant lui, en pr�sence de tous les invit�s. Pour symboliser cette "union SM", je fus tatou� sur la fesse gauche des initiales de Francis avant de descendre � la cave et d'�tre mis au service de tous ses amis. Certains �taient accompagn�s de leur propre esclave, tatou� eux aussi de deux lettres majuscules sur leur fesse gauche. Histoire extraite de MARCUS #2, 1990. etienne02R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |