Cyrillo

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LA CAVE DE TOUS LES VICES.

La peur ! Elle est toujours pr�sente chaque fois que je rencontre un nouveau partenaire, mais c'est bien de cette peur que na�t mon excitation.

J'ai vingt-six ans, je suis brun et je mesure 1,75 m pour 70 kilos. Adolescent, je me branlais d�j� en r�vant de situations perverses o� je me retrouvais totalement soumis � un ou plusieurs hommes. Je m'imaginais attach� � un arbre, fess� puis flagell� avant de me faire d�foncer le trou du cul par d'�normes bites.
J'�tais toujours puceau et je m'amusais � dilater mon anus et � me faire mal en me d�fon�ant. Une douleur vive et profonde entre les fesses me jetait dans l'orgasme, il n'y avait que de la souffrance que je pouvais retirer du plaisir.
Mes s�ances de masturbation commen�aient par quelques pages de l'oeuvre du marquis de Sade ou de Sacher-Masoch et je m'identifiais � tous les personnages soumis de ces livres avant de me satisfaire dans des actes d'auto soumission ou d'auto punition.
Mes premi�res exp�riences furent assez d�cevantes. J'ai rencontr� plusieurs gar�ons, actifs mais trop tendres avec moi. Ma v�ritable �ducation dans la soumission a d�but� lorsque je suis arriv� � Paris pour poursuivre des �tudes sup�rieures. L�, j'ai trouv� les partenaires vicieux et dominateurs esp�r�s dans mes fantasmes. Puis, il y a eu Francis, rencontr� au cours d'une soir�e tr�s sp�ciale.

Francis a trente-sept ans. II est brun, poilu, pas tr�s costaud, bien membr�. C'est un avocat qui troque la robe pour s'habiller de cuir tous les soirs, avec un pantalon serr� qui moule bien sa bite et ses couilles et qui est tenu � la taille par un gros ceinturon clout�, un perfecto sans rien dessous, m�me l'hiver, un bracelet clout� et des santiags.
Le lendemain soir, j'�tais invit� chez lui pour un "t�te-�-t�te" qui allait me conduire � devenir un esclave soumis � ses fantaisies et ses perversions sexuelles.
Francis habite � une centaine de kilom�tres de Paris une vieille b�tisse familiale entour�e d'un grand parc. J'ai sonn� au portail en fer forg� et j'ai reconnu sa voix � l'interphone: "Laisse tes v�tements dans ta voiture, et traverse le parc enti�rement nu."

Nous �tions en plein mois de janvier et je suis arriv� sur le perron, transi de froid. II m'attendait en haut des marches, juste v�tu de son pantalon en cuir et de ses bottes. II me toisa et, sans rien dire, tourna les talons. Nous sommes descendus par des escaliers en colima�on dans une vaste cave �clair�e par des dizaines de cierges et sp�cialement am�nag�e pour les actes tr�s sp�ciaux qui s'y d�roulaient. L�, j'ai su que mon vrai dressage allait commencer.
Francis me donna son premier ordre: "Rase-toi les couilles, le pubis et le trou du cul !" et il me tendit le mat�riel n�cessaire, rasoir et glace.

Je suis rest� debout devant Francis pour ex�cuter ses premi�res directives. Pour raser mon anus, je me suis accroupi avec le miroir pos� entre mes cuisses et je me suis appliqu� pour faire dispara�tre tous les poils qui masquaient ma rondelle. Une fois mon travail termin�, j'ai repos� le miroir et le rasoir, bien � leur place sur les �tag�res et je me suis approch� de lui : "Voil�, j'ai fini." Je lui ai pr�sent� mes couilles et mon pubis, lisses et sans poil, puis je me suis tourn�. Ecartant bien mes fesses avec ses mains, je lui ai fait v�rifier l'�tat de mon anus.
II prit un cierge et l'approcha tr�s pr�s de mon cul pour l'examiner. La chaleur de la flamme �tait � la limite du supportable. Je serrais les dents et si je souffrais, j'en bandais encore plus. II parut satisfait et me mit une grosse claque sur les fesses avant de reposer le cierge.

Il me donna alors un �norme godemich� noir.
" Encule-toi avec ! " L'engin devait faire pr�s de trente centim�tres de long. En le tenant � deux mains, j'ai commenc� � le l�cher de haut en bas, � avaler le gland artificiel et � mimer une pipe. Quand il fut bien mouill� de salive, je me suis allong� sur le sol en terre battue, face � Francis et je me suis plant� l'engin dans le cul.

Il gardait les yeux fix�s entre mes fesses. Je faisais aller et venir le gode entre mes fesses en l'enfon�ant aussi profond�ment que possible. Je grima�ais de douleur mais d�j� j'essayais de retenir mon orgasme. Le silence de Fran�is, cet objet qui me d�fon�ait et cette cave lugubre ressemblant � la crypte d'une cath�drale m'avaient conduit au paroxysme de l'excitation. Mon foutre ne tarda pas � venir arroser mon ventre, ce qui fit r�agir Francis : "Qui t'a dit de jouir, sale chienne ?... Je vais t'apprendre � ob�ir !" Il me fixa les chevilles et les poignets � quatre anneaux en acier fix�s au mur. Il fit claquer une cravache avant de m'en mettre un violent coup sur les fesses: "Tu vas r�p�ter ce que je vais te dire !" Un deuxi�me coup de cravache, bien ajust� sur la raie de mon cul me fit r�pondre: "Oui, ma�tre !"

Chaque r�ponse de ma part �tait scand�e par un coup de cravache: " Je suis ta chienne", " Je t'appartiens", "Je n'existe que pour toi..."
J'avais les fesses en feu. Pour v�rifier ma totale soumission, Francis lib�ra mes deux mains. Elles devaient me servir � tenir mes fesses bien ouvertes pour qu'il puisse aligner ses coups sur mon anus ras�. Je devais tenir bon et ne pas l�cher.

Sous la violence ce des coups, j'ai failli c�der � plusieurs reprises. J'ai entendu Francis d�poser la cravache. Quelques secondes apr�s, son gros gland pressait mon trou du cul. D'un seul coup de reins, il s'est enfonc� jusqu'� la garde. Il m'empala sur son manche et m'encula violemment pendant plus d'une demi-heure avant de m'inonder avec son foutre chaud.

Une fois son plaisir pris, Francis redevint un autre homme. Il me prit dans ses bras avec douceur et me monta � la salle de bains o� il alla jusqu'� me laver. J'obtins un nouveau rendez-vous pour le lendemain. L�, il y eut beaucoup de monde. Francis avait bien pr�par� les choses, donnant un aspect tr�s c�r�moniel � la soir�e. Ce soir-l�, je faisais serment d'appartenance exclusive � mon ma�tre. Je lui jurais ob�issance totale et soumission sans condition, � genoux devant lui, en pr�sence de tous les invit�s. Pour symboliser cette "union SM", je fus tatou� sur la fesse gauche des initiales de Francis avant de descendre � la cave et d'�tre mis au service de tous ses amis. Certains �taient accompagn�s de leur propre esclave, tatou� eux aussi de deux lettres majuscules sur leur fesse gauche.

Histoire extraite de MARCUS #2, 1990.

etienne02

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