Mon Capitaine h�t�ro. [3]Premi�re partie ici - Seconde partie ici Je vous l'ai dit juste avant, apr�s avoir �t� transport� au septi�me ciel, mon militaire mari� et moi passions la nuit blottis dans les bras l'un de l'autre. Le sommeil l�ger et difficile dans ce lit trop petit faisait que nous ne cessions de nous r�veiller pour nous embrasser et nous caresser tendrement. Nous r�alisions alors que nous �tions dans sa chambre, dans un b�timent r�serv� au logement des officiers... Je n'avais rien � faire l� moi et lui n'avait pas � s'y trouver en compagnie d'un appel�, qui plus est compl�tement � poil. Nous �tions plut�t mal lui et moi. Trop tard, le capitaine et moi �tions d�sormais d�masqu�s. Je m'en moquais bien pour moi-m�me, mais c'�tait pour mon bel officier que je m'inqui�tais. Le sergent nous dit alors : "Rest�s l� vous deux !" Et m�me si mon amant n'avait pas � ob�ir � un ordre d'un sergent, on ne comptait pas lui d�sob�ir. Quelques minutes plus tard, le sergent r�apparu � la porte de notre chambre. "C'est bon tout le monde pense que le b�timent est vide" nous dit-il avec un large sourire "vous pouvez baiser tranquille". L� je me rendis compte que nous �tions mon capitaine et moi toujours � poil et cela paraissait ne pas d�plaire au sergent compte tenu de la bosse sur le devant de son treillis... Je lui dis alors, "mais nous ne faisions encore rien, nous allions commencer au moment o� la sir�ne � hurler" Mon capitaine a tout de suite vu o� je voulais en venir... Je me suis alors approch� de mon amant en lui disant : "Vas-y pompe- moi �a va lui plaire, je crois de nous matter". Apres 2 secondes de bonne pipe, le sergent s'�tait d�j� d�barrass� de son treillis trop �troit et se retrouve d�sormais dans la m�me tenue que nous... Il se branlait laissant appara�tre une bite pas longue mais d'un diam�tre cons�quent. Voulait-il seulement se branler en nous mattant ou bien participer un peu ? Une seule fa�on de le savoir : je d�laissais mon capitaine et me dirigeai vers le sergent pour go�ter cette queue nouvelle. � coup s�r il n'etait pas contre... Il se laissa pomper avec plaisir. Mon amant un peu timide d�cida de nous rejoindre enfin et commen�a � caresser son coll�gue. Je lui c�dais la place et me d�lectais seul du spectacle de ces 2 militaires ensemble... Mais il me fallait plus qu'une petite pipe. Je saisis mon capitaine, le mit � quatre pattes sur le lit et commen�a � lui travailler le fion avec ma langue, puis mes doigts comme il l'aimait tant. Je demandais au sergent de venir se faire pomper par cette bouche gourmande. Il ne se fit pas prier ! Je saisis une nouvelle capote et d�fon�ai en levrette mon capitaine su�ant le sergent. Quelques minutes plus tard personne n'avait joui encore. Je d�cidais d'inverser les r�les en demandant au sergent de mon prendre son pied avec le fion de mon capitaine. Moi, je voulais matter �a. Tr�s rapidement la queue �paisse avait �t� engloutie par le Q gourmand de mon amant. Voir les vas et viens de cette queue me plaisait et je d�cidais alors de ma faire pomper par mon capitaine qui, toujours en levrette, se branlait en ce faisant d�foncer et en pompant. Le 1er � �jaculer fut le sergent, puis moi, au fond de la gorge de mon amant. Mon capitaine se branlait encore alors je me glissai sous lui, le visage au niveau de ses couilles pendantes et il me cracha sur le visage ses jets chauds et puissants. Ma langue ne pouvait s'emp�cher de l�cher se foutre onctueux. Mais je sentis rapidement une seconde langue, j'ouvris les yeux et appercu le sergent l�chant lui aussi, le sperme du capitaine sur mon visage puis m�langeant enfin sa langue � la mienne et puis celle du capitaine... DIVIN : mon premier plan a 3 ! Depuis je me suis rattrap� je vous rassure !!!! J'aurais peut-�tre pu avoir plus que 7 mois avec lui... mais l� aussi, je vous raconterais �a plus tard. Florent FloR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |