Mon Capitaine h�t�ro. [suite]Vous �tes nombreux � avoir lu l'histoire de la premi�re fois de mon beau capitaine h�t�ro. Je ne manquais pas d'aborder le sujet d�s le lendemain. C'�tait un jeudi, jour o� sur toutes les bases a�riennes de France, tous nos beaux (et moins beaux...) militaires ont l'obligation de courir. Etant au service des sports, moi je ne courais pas, mais devais surveiller que tous ces beaux m�les mais n'avaient d'yeux que pour mon capitaine. Avant la fin du jogging, j'interpellais mon pilote de chasse � son premier passage devant moi lui demandant si nous pouvions parler. Je lui dis � peu pr�s : "Hier j'ai pass� un super-moment avec toi et je pense ne pas me tromper en disant que cela a �t� r�ciproque. Je n'attends rien de toi, mais je suis pr�t � recommencer si tu le veux toi aussi." Il me dit : "Je te retrouve dans deux heures � peu pr�s � ton bureau et on en parle ! L� c'est trop indiscret ". Il faut dire qu'il �tait en compagnie de ses coll�gues machos et surtout de sa femme militaire quand je m'ai interpell� durant sa course. Les deux heures ont �t� longues, tr�s longues. Je le vis enfin arriver � l'heure pr�vue, en combinaison de pilote. C'est horrible une combinaison de pilote de chasse mais putain ce qu'il �tait beau. J'�tais assis devant l'ordinateur quand il entra sans frapper. Il s'avan�a avec un joli sourire, se pencha et m'embrassa � pleine bouche en me serrant dans ses bras muscl�s mais tendres. "Je n'ai pas beaucoup de temps devant moi, mais je voulais te dire que je ne r�ve que de recommencer � me faire baiser par toi, te pomper et sentir ta bouche sur ma queue". Il ne pouvait pas �tre plus clair et moi plus heureux. Il repart en me promettant de me t�l�phoner avant la fin de la journ�e. Je suis aux anges. Dans l'apr�s-midi, coup de fil de mon capitaine : "Ce soir, on se prend un verre au mess ? Je te ferais venir au mess des officiers si tu veux ?" Que dire? je n'osais pas trop mais s'il me le proposait cela devait �tre possible apr�s tout. Me voil� donc le soir venu au milieu des officiers de la base � prendre une bi�re avec mon capitaine. Je sens tous les regards de l'assembl�e sur nous, mais je m'en fous. On parle lui et moi, on rit : on est bien tous les deux. 5 Minutes plus tard nous voila lui est moi dans cette chambre. Il referme la porte, tourne la cl� et me dit : "Baise-moi comme la derni�re fois" tout en s'approchant de moi, me mettant direct la main au paquet et me malaxant d�licatement les couilles et la queue qui se durcit en peu de temps. Je le repousse, le jette sur ce petit lit, me mets � califourchon sur son treillis gonfl�, lui retient les mains en arri�re et l'embrasse � pleine bouche. Je ne sais pas combien de temps a pu durer cette pelle. Mais c'�tait long... et bon... Il embrassait comme un dieu. Je finissais par lui lib�rer les mains pour pouvoir enfin profiter de ses caresses et moi aussi pourvoir toucher et appr�cier ce corps si parfait. Lentement je le d�shabille. Mes doigts retrouvent enfin cette peau, caressent ces t�tons, ce torse muscl� de mec, ce ventre dur, cette queue si parfaite, si dure, si droite. Je suis toujours tout habill�, lui allong� sur ce lit trop petit. Je me glisse entre ses cuisses, ma langue joue avec ses burnes, son gland. Je ne le suce pas. J'attends qu'il le r�clame. Je joue seulement avec le bout de ma langue chaude et humide. Ses g�missements en disent long. J'arr�te car je ne veux pas qu'il jouisse aussi vite que lors de sa premi�re fois. Je veux qu'il ne puisse plus se passer de ma queue, de ma bouche, de mes mains, de mon corps tout entier. Alors je me rel�ve et entame devant lui un strip-tease : mon premier ! Lentement, en le fixant droit dans les yeux et tout en humectant mes l�vres avec ma langue, je d�fais ma cravate, d�boutonne ma chemise. Torse nu, je me caresse devant lui, titille mes t�tons, joue avec ma queue � travers ce pantalon militaire si moulant. J'enl�ve enfin la ceinture, le pantalon et mon boxer. Je n'oublierais jamais l'�tincelle dans ses yeux et son sourire quand ma queue se dressa enfin devant lui. Toujours allong�, il ouvrit grand la bouche et je compris rapidement le message. Alors je m'approche de ce lit, il se redresse, se met assis, me prend par les hanches et commence � me sucer. Ma queue, bien que d�j� tr�s raide, enfle davantage. Quelle bouche ! Quelle gorge ! Il la prend enti�re dans sa bouche, me caressant d�licatement les fesses, les cuisses, les mollets sans jamais arr�ter de me branler avec ses l�vres. C'est divin. Alors je l'allonge � nouveau. Il tend sa queue s'attendant � ce que je le pompe, moi aussi. Je le retourne sur le ventre, m'allonge sur lui et commence � lui l�cher le cou, l'embrasser. Ma bouche descend petit � petit sans oublier le moindre centim�tre carr� d'�paules, de dos, de fesses. Ma langue s'aventure enfin entre ses fesses qui me font tant bander. Il se cabre l�g�rement, g�mit, agrippe les draps quand ma langue fr�le enfin son fion. Il aime �a et moi aussi. Alors je ne me prive pas. Je l�che ce trou serr� qui en redemande de plus en plus. Ma salive coule le long de ce cul pour terminer sa course sur ses couilles pendantes. Ma langue s'aventure � l'int�rieur de ce Q qui semble d�sormais pr�t � accueillir plus. Tout en continuant � jouer de ma langue sur ses fesses, un de mes doigts approche ce fion, s'aventure dans ce Q qui se resserre de temps en temps pour en profiter plus. Je le travaille � merveille, il g�mit de bonheur. Je m'arr�te un temps pour m'allonger � ses c�t�s, le caresser, l'embrasser, sentir son corps br�lant de d�sir contre le mien. Il est aussi c�lin que moi. Nos caresses mutuelles ne font qu'augmenter notre excitation, sa bouche retrouve � nouveau mes t�tons, ma queue qu'il suce de mieux en mieux. D�cid�ment il apprend vite mon capitaine. Sentant la sauce monter je lui demande de tout stopper. Il s'ex�cute, me met sur le dos, se pr�cipite sur une capote qu'il d�roule sur ma bite et tel un cavalier enfourche ma queue qui se retrouve au plus vite au fond de lui. Je ne bouge pas, je lui dis simplement : "vas-y fais-toi plaisir avec ma queue ! Fais nous jouir !" Mon capitaine commen�a alors un va et viens fracassant et rapide. Il se branlait en m�me temps que je le d�fon�ais. Tr�s rapides d�s le d�part ses mouvements s'acc�l�raient de plus en plus. Il avait les yeux ferm�s, la t�te l�g�rement en arri�re, se mordillait les l�vres pour ne pas hurler de plaisir et de bonheur. Soudain il ouvrit les yeux, me regarda et se mit r�ellement � hurler. Au m�me moment je sentais de longs et vigoureux jets de sperme m'envahir le torse, le cou, le visage. C'est au m�me moment que moi aussi je crachais la sauce dans un cri de soulagement et de bonheur. Nous sommes rest�s la nuit enti�re dans les bras l'un de l'autre � nous embrasser, nous caresser mais sans faire l'amour. Vous le saurez bient�t, c'est promis. Florent. FloLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |