Le cambrioleurLe silence paisible de la maison n'�tait perturb� que par le ron-ron discret du ventilateur. L'homme �tait allong� sur le ventre, � m�me le couvre-lit, les yeux mi-clos, caress� par la l�g�re brise intermittente et artificielle dispens�e par le ventilateur. Les volets �taient baiss�s et il reposait dans une douce p�nombre. Soudain, il entendit un bruit au rez-de chauss�e. Sa conscience se d�gourdit imm�diatement, tous les sens tendus pour d�crypter le son qui l'avait sorti de sa torpeur. Des bruits de tiroirs qu'on ouvre, de raclements, d'objets qui tombent, parvenaient � ses oreilles. Il y avait quelqu'un dans l'appartement ! Il se leva prudemment. Il n'�tait habill� que d'un cale�on mais il ne prit pas le temps de se v�tir. Il ouvrit la porte en priant pour qu'elle ne grince pas. Il marcha pieds nus sur la moquette et glissa silencieusement vers la mezzanine. De l�-haut, il voyait un type un peu fr�le, encagoul� malgr� la chaleur, avec un blouson souple noir, un jean, des baskets. Ses gestes �taient pr�cis et ses deux grands sacs de toile se remplissaient de ses tr�sors. L'homme enjamba pr�cautionneusement la rambarde. Retenu par ses deux bras, il attendit un moment favorable pour sauter sur le cambrioleur. La rambarde �mit un craquement de protestation et le cambrioleur tourna la t�te vers le haut aux aguets. L'homme se l�cha et sauta sur lui. Apr�s une courte lutte, il prit le dessus sans trop de peine sur le cambrioleur, moins fort physiquement. Il s'assit � cheval en lui maintenant le bras gauche tordu dans le dos, dans une clef qui lui aurait valu les f�licitations de son prof d'arts martiaux. Le cambrioleur tenta de se d�gager mais l'homme maintint une immobilisation de fer. Il chercha du regard de quoi lui lier les mains. Il avisa un rouleau de ruban adh�sif marron pour d�m�nagement qui �tait sur le sol avec le reste d'un tiroir renvers�. Il le prit et lui attacha les mains dans le dos. " On va voir quel salopard se cache l�-dessous " cracha-t-il. Il le retourna, se rassit sur son ventre pour lui arracher sa cagoule. C'�tait un jeune homme, pas plus de 25 ans, les tr�s fins, agr�ables, les yeux verts, les cheveux ch�tains en brosse. - Qu'est-ce que je vais faire de toi ? L'homme contempla le cambrioleur et regarda le contenu des sacs. Le ton �tait faux et il ne le crut pas. Sans doute que cette petite frappe �tait d�j� all�e en prison. " Tu ne seras pas venu pour rien, je vais te faire payer tout ce bordel et te passer l'envie de recommencer, salope. " Le cambrioleur ne dit rien et le regarda droit dans les yeux d'un air de d�fi. - tu vas me sucer pour la peine Il sortit sa bite qui commen�ait � bander de son cale�on. Elle �tait �paisse, circoncise et d�j� longue. Le cambrioleur regarda un peu effar� le gland luisant s'approcher de sa bouche. - ouvre la bouche et mets pas les dents sinon . " dit-il en levant la main d'un geste mena�ant. Le cambrioleur tourna la t�te et refusa le chibre qui �tait maintenant compl�tement dur. L'homme for�a sa t�te � se tourner et appuya son sexe contre ses l�vres. " Allez ! " aboya-t-il et lui tordant une oreille. Le cambrioleur soupira et ouvrit la bouche avalant le gland. Il sentait l'odeur d'homme qui s'en d�gageait. Il avait du mal � avaler le reste de la verge et failli s'�touffer. L'homme allait et venait dans la bouche. " pas trop mal, mais tu devrais aspirer un peu " dit-il dans un souffle. Le cambrioleur essaya de dire quelque chose mais la bite �tait � nouveau au fond de la gorge. Il arrondit les l�vres, se laissa p�n�trer et fit jouer sa langue. De temps en temps, le gland cognait au fond provoquant un haut le coeur. Sa bouche �tait remplie de la hampe vigoureuse de l'homme. L'homme g�mit et posa sa main sur la braguette du cambrioleur. Il sentit une grosseur. " mais tu bandes ma salope ". Le cambrioleur rougit tout en continuant � enserrer le chibre de ses l�vres. L'homme quitta la bouche qui s'�tait r�v�l�e accueillante. Il se retourna, d�fit la ceinture, d�boutonna le pantalon et la braguette du cambrioleur. Il se le va, puis baissa le pantalon et le joli cale�on vert qu'il d�couvrit en dessous. Une bite de belle taille, non circoncise apparut, le pubis et le sexe �taient ras�s de pr�s. L'homme enfon�a son dard � nouveau dans la bouche du cambrioleur qui la happa sans broncher. Apr�s l'avoir d�calott�e, il enfourna � son tour goul�ment la bite qu'il venait de d�couvrir. Sa langue de s'activa tout autour du gland et entre les trous. Il aspirait, massait les couilles et branlait en m�me temps, tout en ondulant pour �tre suc� par son amant forc�. La verge du cambrioleur �tait band�e au maximum. Un doigt quitta les couilles et fouilla les chairs pour arriver � la rondelle. L'homme appuya un peu et p�n�tra l'orifice intime de son malfaiteur. Celui-ci g�mit. L'homme s'activa de plus en plus vite, le doigt �tait compl�tement rentr� maintenant et les va-et-vient sur la hampe �taient parfaitement synchronis�s. Sans pr�venir, le cambrioleur s'arc-bouta et sa semence jaillit au fond de la gorge de l'homme qui l'avala tout en continuant de branler la verge. D'un coup de rein, le cambrioleur tenta de virer l'homme couch� sur lui. Pris par surprise, l'homme roula sur le cot�. Le cambrioleur tenta de donner un coup de genou qui ne porta pas car il �tait entrav� par son pantalon. L'homme reprit le contr�le et balan�a une gifle au cambrioleur. La trace de la main apparue sur la joue enflamm�e. " On se rebiffe encore ?! Tu vas voir ce que tu vas voir ! ". L'homme retourna le cambrioleur sur le ventre. Il caressa ses fesses imberbes et douces. Il cracha dans sa main et lui tartina la rondelle. Sa bite �tait tr�s dure et en pleine �rection. La cambrioleur cria " non pas �a ! pas �a ! je suis pas p�d� ! ". L'homme se coucha et s'accrocha � ses �paules. Il lui chuchota � l'oreille " tant mieux ". Il se releva, et d'un coup de reins, le p�n�tra compl�tement. Sa bite d�chira les entrailles du cambrioleur l'�cartelant sans m�nagement. Il poussa un cri rauque de douleur et de protestation. " Tu vas t'habituer ". Pour toute r�ponse, le cambrioleur se tourna et cracha. L'homme s'essuya vite rapidement. Une gifle sonore cinglant le flanc du cambrioleur empal�. Il commen�a � le limer brusquement, s'enfon�ant le plus loin possible d'un coup de rein et avec un petit cri. sauvage A chaque coup de boutoir, le cambrioleur r�lait plaintivement. " tiens salope, �a t'apprendra � venir chez moi ". Il se coucha � nouveau sur lui et lui mordit l'oreille. Un peu de sang perla du lobe. Tout en lui mordillant successivement les lobes, il rudoyait le cul de son petit cambrioleur. L'homme se retira. Il prit sa victime par les hanches pour le soulever et pour lui cambrer ses reins. Il le p�n�tra � nouveau et le pilonna � une fr�quence rapide. De temps en temps, il lui donna des claques sur les fesses. Dans ce rod�o, le cambrioleur g�mit sans savoir si c'�tait de douleur, de plaisir ou d'humiliation. L'homme sentit les vagues de volupt� qui le faisait frissonner. Le cul du cambrioleur �tait juste assez �troit pour lui donner �norm�ment de plaisir. La main de l'homme glissa vers le sexe du cambrioleur qui bandait � nouveau. L'homme caressa le jeune homme tout en ondulant. " tu ne t'attendais pas � �a ? hein en venant ici ? " Le jeune homme r�pondit dans un souffle " tu me le paieras ". " Tu r�ves mon petit " lui r�pondit-il doucement � l'oreille. L'homme d�fit la glissi�re du blouson en cuir pour faire appara�tre un tee-shirt noir. Avec une main, il lui caressa le pubis et le ventre. Il �tait ferme et muscl�. Il parcourut les abdominaux parfaitement dessin�s sous ses doigts. L'homme continua ses caresses et finit par empoigner le chibre encore d�goulinant de son voleur viol�. Il sentit le membre se raidir mais pas compl�tement. " Tu en redemandes alors ? " dit-il d'un ton goguenard. Le cambrioleur se laissa faire sans r�pondre. La verge de l'homme reprit �galement de la vigueur. Il recommen�a un va-et vient mais plus lent et plus lascif. Ses mains s'occupaient du sexe du jeune homme tout en continuant � le labourer plus sensuellement. L'homme prit son temps et continua � limer le jeune homme qui respirait de plus en plus fort, la verge compl�tement tendue. Le plaisir les envahit tous les deux. Apr�s un certain temps, le cambrioleur d�versa � nouveau sa semence sur son tee-shirt avec juste un petit hoquet. L'homme sortit de son cul �cartel� et ouvert. Il se releva, et remit le cambrioleur sur le dos. Il se positionna au dessus de son visage et se masturba rapidement. Une s�rie de jets puissants se d�vers�rent sur le visage du cambrioleur. L'homme reprit ses esprits et arracha le scotch. Le cambrioleur sourit et frotta ses poignets. Il prit son tee-shirt et essuya son visage de la cr�me encore chaude. L'homme le prit par la main pour l'aider � se relever. Il l'enserra par la taille et l'embrassa tendrement. Le cambrioleur lui rendit son baiser. Ils plong�rent leurs regards l'un dans l'autre. - Ca t'a plus mon amour ? demanda l'homme R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |