�a sent bon !Deux mots sur moi : 25 ans, bien muscl�, belle gueule, p'tit cul serr� et surtout bien gaul�. Avec une envie totale de tirer ma crampe. Je ciblais les gars qui passaient dans la rue pendant que je d�chargeais mes caisses. Une livreur, �a voit tout... Je remarque un bar dans la rue o� rien que des hommes entrent. Je me dis " OK, juste une pause, rien que pour voir". Une fois les packs livr�s et apr�s avoir support� la meuf qui devait signer... une chieuse... je me gare au mieux et je bouge mes fesses vers l'endroit. Putain, c'est sombre ! Quelques gars au bar. Du tout venant. Des mecs quoi. Je vise un m�le. La quarantaine, baraqu�, la gueule carr�e, de la viande sur les bras et qui devait s'emmerder total. C'est clair, �a sentait le matou ! Je me gare tout pr�s, histoire de montrer que j'existe et je commande � boire. Putain, ce mec sentait le gnou ! Et �a, je r�siste pas. Un mec, �a doit sentir le mec. Un gros paquet et l'odeur en plus et je d�colle... Je palpitais � mort. Ca devait se voir, remarque. A un moment, son regard me dit que j'�tais une bonne cible. Ni une ni deux, sans avoir l'air d'y toucher, le pote se colle � moi, histoire de me dire un truc � l'oreille et me murmure "une bonne grosse bite, �a te dit ?". Merde, je me suis accroch� au bar. J'�tais pr�t pour la totale. On file dans les toilettes. Sans souci. Le barman devait conna�tre l'animal. Il a pas bronch�. Il a commenc� � me l�cher le cou, les oreilles. Il a soulev� mon tee-shirt et il a continu�. Boutons d�faits, braguette ouverte, bite sortie et mon homme qui me file une des ces coup de langue sur le manche, Ouahh ! Je me dis " c'est ton heure de gloire, mon gars. Tu vas te faire ramoner. Ben tiens ! Je le ralentis quant m�me, juste le temps de regarder ce qu'il a dans le boxer. Maman ! Un monstre : deux grosses balles et dessus un gourdin bien gros. Avec la peau. Et l'odeur... J'ai pas r�sist�. A genoux, vive la sucette. Putain, je d�lirais. Ca, c'�tait de l'homme ! Apr�s, le palpitant au top, on a d� se calmer quand m�me. On a �chang� les calebards, histoire de garder l'odeur et on s'est ramen� peinards au bar. Je puais le foutre, bordel. J'avais les fesses pleines de salive. Marqu� par l'homme. Ca n'avait pas dur� une demi-heure ! ThiernoR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |