Bus pour BarceloneLe bus �tait plein. Des jeunes, des vieux, des blacks, des couples. Je me suis dirig� vers le fond o� j'avais rep�r� une place libre. Je m'installe lorsque aussit�t un mec s'est assis � c�t� de moi. Le gars �tait assez baraqu� avec un visage plut�t carr� et des yeux gris glacials. Il s'est pr�sent� : Une fois le d�part du bus il a sorti son lecteur mp3. Au bout d'un moment, il me questionna (la musique le gonflait). Quand je lui ai dit ma destination : Barcelone, il esquissa un sourire en coin en me disant que c'�tait une ville tr�s active. Aux environs de la fronti�re, le chauffeur d�cida de faire une pause pour que les voyageurs puissent faire une pause caf�, casse-cro�te ou pipi. Le bus devint carr�ment vide, c'est pourquoi j'ai entam� une conversation avec David ; Au d�but innocente au sujet du temps, de Barcelone puis (je ne sais pas comment !?) la discussion a d�riv� sur le sexe. Personnellement je n'aime pas trop parler de sexe avec des potes alors un inconnu. J'�tais de plus en plus mal � l'aise et est donc coup� court � cette discussion. Il commen�a � s'endormir (normal pour un voyage de nuit), il s'appuyait de plus en plus contre moi et son odeur de transpiration devenait insupportable. Je n'osais cependant pas bouger de peur qu'il se r�veille et qu'il recommence sa conversation. Apr�s quelques minutes de r�flexion, calculant comment changer de place sans r�veiller " belle au bois dormant ". Je compris qu'il ne dormait pas mais qu'il �tait en train de me reluquer au niveau de l'entrejambe. Et, comme un r�flexe, je lui ai r�torqu� : Bizarrement cette remarque a eu un effet contraire, on aurait dit que �a l'excitait que je lui r�siste. Faut dire que je ne faisais pas vraiment le poids. J'�tais compl�tement choqu� et excit� en m�me temps qu'il puisse imaginer de faire quelque chose dans un bus. M�me si autour de nous il n'y avait personne . enfin personne d'�veiller. David a commenc� � me caresser, ses doigts glissaient sur tout mon corps, et en m�me temps (voyant que je ne le rejetais pas) il me mordilla l'oreille : j'�tais en transe. Je n'entendais plus ma raison ou ma peur d'�tre surpris mais le plaisir que cela me procurer. Au fur et � mesure ses doigts descendaient de plus en plus bas. Il d�boutonna ma braguette et sorti ma queue d�j� � demi raide, il entreprit une petite branlette ; doucement juste avec deux doigts. Je n'en croyais pas mes yeux. David pris ma main et la dirigea sur sa braguette. Sa bite �tait tr�s dure et formait une bosse, il me demanda de lui caresser sa queue � travers le jean ce qui augmenta consid�rablement son engin. Comme moi il �tait en �tat d'�tat extase, sous l'effet de mes caresses, il ferma les yeux et rejeta la t�te en arri�re comme pour montrer qu'il �tait sur le point de jouir (notre excitation �tait d�cupl�e par la situation hors norme). Il baissa sa fermeture �claire, son chibre sorti avec le gland violac� : J'�tais comme dans un �tat second mais pouss� par l'excitation, je m'agenouillai � m�me le sol devant lui. Il dirigea sa bite vers ma bouche qui �tait entre ouverte. S'il avait pu fermer sa gueule ! J'ai ouvert la bouche (sans vraiment m'en rendre compte) et d'un seul coup, il s'y est engouffr�. Son gland �crasait ma langue au passage. Sa bite t�moignait d'une hygi�ne douteuse et me fit saliver davantage. Son chibre glissait et me d�formait la bouche. Apr�s quelques va et viens, elle s'est mise � bien coulisser sur ce monstre de chair. Il allait et venait de plus en plus vite et fort. Son membre eut un soubresaut entre mes l�vres et j'ai compris qu'il allait jouir. Le gland a vibr� sous ma langue et j'ai senti son sperme chaud au fond de ma gorge. J'ai voulu me d�gager mais il m'a retenu en passant sa main sur ma nuque. Ensuite il m'a embrass� go�tant ainsi � son sperme. Il s'est lev�, a pris son sac, s'est �loign� sans se retourner. A. N. OnymeR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |