Page pr�c�dente

MON POTE ME BRANLE DANS LE METRO.

Plus on est de fous, plus on jouit...

Son truc � Victor, c'est de s'envoyer en l'air devant des gens. Plus il yen a, plus la situation est " dangereuse ", mieux c'est pour lui. Moi, �a ne me d�range pas trop mais un peu quand m�me !
Un apr�s-midi, on est all� faire une longue balade dans la proche banlieue. Vers cinq heures du soir, on a pris le R.E.R. pour rentrer. Inutile de vous dire qu'on n'�tait pas les seuls dans le wagon. On �tait serr�s comme des sardines !

D�s que la rame d�marre, Victor se colle contre moi. Sa cuisse se frotte avec insistance sur ma braguette et je me mets �videmment � bander. Voyant qu'il me fait de l'effet, il appuie un peu plus son attouchement, et remplace tr�s vite sa cuisse par une main. Au milieu de tous les voyageurs, je commence � �tre plut�t g�n�, d'autant qu'il sait y faire pour m'exciter, Victor !
" S'il te pla�t, Victor! Arr�te ! "

Ma r�sistance l'excite. Plus c'est risqu�, plus il aime ! Encore moins discr�tement, il se met � me peloter la queue � pleine main. Je me recule l�g�rement, mais il insiste. Les gens autour de nous commencent � se retourner. Victor est aux anges, �a d�cuple son audace.
D'un geste prompt, il fait glisser ma braguette et enfouit sa main dans mon slip. J'ai de nouveau un geste de recul mais ses doigts me font de l'effet.
" Je t'en prie Victor ! Arr�te ! A la maison, tout ce que tu voudras, mais pas l� ! On nous regarde ! "

Il se fout compl�tement de ce que je lui raconte ! Au contraire, �a l'amuse... Le R.E.R. stoppe � une station. Mouvements de foule. On est encore plus nombreux, plus serr�s. Haletant d'excitation, Victor me tripote la queue avec de plus en plus d'acharnement. Ses doigts vont et viennent sur ma bite dress�e. Ils la d�calottent doucement et roulent mon gland avec fermet�. Je respire difficilement.

" Tu vois bien que tu aimes �a ! Petite sainte Nitouche ! Je te sens pr�t � d�charger ! "
Il enfourne un peu plus profond�ment sa main dans mon slip, va me gratter le trou du cul, puis referme ses doigts sur ma verge pour me branler �nergiquement. Je suis p�trifi�, fig� d'angoisse � l'id�e que quelqu'un peut nous surprendre et faire un scandale. Mais Victor m'a eu. Il est all� trop loin pour que je puisse l'emp�cher de continuer.
" Je te sens le foutre au bout du noeud !"
II a parl� trop fort. Je crois que nos plus proches voisins savent parfaitement ce qu'on est en train de faire. J'aimerais �tre � six pieds sous terre tellement j'ai honte ! Mais je ne peux plus lutter. La peur m'excite encore plus.
Nouvel arr�t et nouveaux mouvements de foule.

Le voyageur qui est juste � c�t� de moi me regarde fixement en souriant. Il se colle un peu plus � moi et il se met � me caresser les fesses avec insistance. Je ne peux pas protester : qu'est-ce que je pourrais dire ? Je le laisse faire et lui tends mon cul... Victor a vu le man�ge. Je le pr�viens en chuchotant :
" Attention ! Je... je vais jouir ! "
Victor me souffle alors dans l'oreille :
" Eh bien, vas-y mec ! Jouis ! Vide-toi les couilles ! "

Il astique mon zob � toute allure, sans la moindre discr�tion, comme si on �tait seuls dans la rame. Son coude va m�me frapper le dos d'une femme qui �videmment fait volte-face, l'air tr�s f�ch�. J'ai honte, je sens les pleurs monter, mais je serre les dents pour ne pas r�ler de plaisir pendant que je jute dans mon pantalon, sur les doigts de Victor.
L'autre type me fait un clin d'oeil et me l�che. Je me sens �puis� en refermant ma braguette...

Histoire extraite de MARCUS #2, 1990.

etienne02

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :