Cyrillo

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Une bonne grosse lope � l'internat

1�re partie

Issu d'une bonne famille bourgeoise je suis entr� au lyc�e dans un �tablissement priv�, religieux, tr�s strict. Et comme la plupart de mes camarades de classe j'�tais totalement puceau, car en plus de ma timidit�, mon physique n'attir� ni les filles, ni les mecs. En effet je suis ce que l'on appelle vulgairement Un petit gros, fort en maths et nul en gym.

Le hasard voulu que je sois dans une chambre � l'internat avec deux autres mecs de ma classe. Marc dont les parents �taient de riches industriels et Rachid qui venait d'une banlieue et profit� d'une bourse d'�tudes. Rachid �tait particuli�rement bien foutu, grand muscl� et totalement impudique. Tous les soirs il prenait un malin plaisir � se balader en cale�on ;torse nu dans la chambre tr�s fier de son corps muscl� et bronz� sans une once de graisse. Rapidement il devint le chef de la chambre et commen�a � dicter sa loi. Il avait pour Marc une profonde estime car celui-ci l'emmenait passer chaque week-end avec lui dans la propri�t� de ses parents. Marc que je consid�rais comme un super copain commen�a � ne plus m'adresser la parole. Il parlait tout le temps avec Rachid de leurs exploits sexuels du week-end avec les filles en prenant bien soin que je les �coute, moi, le pauvre petit puceau, ridicule dans mon pyjama taille 48.

Les choses s�rieuses commenc�rent un lundi soir, nous �tions tous les trois assis � nos bureaux en train de r�viser quand Rachid pris la parole en me regardant droit dans les yeux avec un air particuli�rement vicieux.

- Olivier, avec Marc on a pens� que tu pourrais faire notre lit le matin et tout le m�nage de la chambre car cela te fera faire un peu d'exercice. Hein mon gros !

Marc rigolait assis � son bureau.

Affol� � l'id�e de devenir leur boniche je protestais timidement

- Vous d�connez les mecs, je ne suis pas votre femme de m�nage.

Rachid se leva, se pointa � un m�tre devant moi et dit

- Ecoute gros tas de graisse, soit tu nous ob�is bien sagement, soit on te casse la gueule et on te fout � poil devant tout le bahut � la r�cr� demain.

Apeur� je baissais les yeux en signe de soumission. Je savais qu'il ne rigolait pas car il avait, la semaine pr�c�dente avec deux autres mecs dont Marc, foutu un gar�on � poil dans les vestiaires de gym. Le pauvre gars avait d� les supplier � genoux pour qu'ils lui rendent ses fringues. Ce jour l� dans mon coin je regardais la sc�ne en bandant sous mon surv�tement.

Marc ajouta

- Alors grosse lope tu pr�f�res quoi ? Le m�nage ou une bonne vieille mise � l'air devant tous les mecs et les filles du lyc�e.

R�sign� j'acceptais de faire le m�nage. Rachid me tapota les joues en disant :

- C'est bien, t'es un bon gros et tu vas voir on va bien s'amuser.

La soir�e continua comme s'il ne s'�tait rien pass�. Avant de m'endormir dans mon lit je pensais d�j� aux multiples humiliations qu'ils allaient me faire subir, moi qui �tais devenu ce soir l� leur bonne grosse boniche. Et cette pens�e me faisait bander un maximum, j'aillais devenir leur jouet et cela sans m�me m'en rendre compte me faisait un grand plaisir. ;

Le r�veil sonna comme chaque jour � 6 h 30, et je fus le premier � me lever et � aller dans la salle de bain me doucher. Je sortis de la salle de bain en slip une grande serviette autour du corps pour cacher mes rondeurs. Rachid et Marc �taient encore allong�s. Rachid me dit :

- Alors grosse merde, tu dis pas bonjour ?
- Heu.. Si, si bonjour.
- Mieux de �a salope.
- Bonjour Rachid, bonjour Marc.
- Putain, mais il comprend rien le gros, nous sommes tes ma�tres.
La t�te basse et d'une petite voix je m'entendis dire
- Bonjour ma�tre Rachid, bonjour ma�tre Marc.
- Allez vire moi cette serviette qu'on puisse t'admirer.

J'ob�is, la serviette glissa le long de mon corps et rouge de honte j'exhibais mon gros ventre et mes nibards de meufs.

- Hum putain on dirait un gros porcinet. Et d'ailleurs maintenant c'est comme �a qu'on va t'appeler : " gros porcinet ".

Marc se leva en riant et passant devant moi en me pin�ant les bourrelets de graisse au ventre, me dit :

- Alors porcinet d�p�ches toi va faire mon lit.

Sous l'oil de Rachid je fis avec application le lit de Marc pendant qu'il prenait sa douche. Je sentais son regard sur mon corps et principalement sur mon gros cul. Il se leva pendant que je rivais les couvertures et plaqua ses mains sur mon bide et me claqua les fesses. Sous mon slip ma petite queue gonfl�e par l'excitation ne demandait qu'� sortir.

- C'est bien porcinet, va faire le mien maintenant.


Une fois ma t�che accomplie ils me laiss�rent tranquille et je pus m'habiller normalement.

Nous descend�mes au r�fectoire pour le petit d�jeuner, en chemin Marc me dit :

- Si tu es bien ob�issante, on fera rien en public, alors � toi de voir porcinet !

Pour la premi�re fois il utilisa le f�minin en me d�signant " ob�issante ". Cela me fit fr�mir de honte et d'envie.
La journ�e se passa normalement, � la r�cr�ation ils pass�rent leur temps � humilier le pauvre mec qu'ils avaient mis nu dans les vestiaires, lui faisant r�p�ter qu'il n'�tait qu'un pauvre puceau, fils � papa tout juste bon � l�cher le cul des professeurs. A quelques m�tres de la sc�ne je ne pus m'emp�chais de me juter dessus.
; ;
;La fin du d�ner marqua le retour en chambre. J'avais h�te de pouvoir enlever discr�tement dans la salle de bain mon slip encore plein de foutre s�ch�. Mais cela ne se passa pas comme je l'avais pr�vu.

Rachid me sourit

- H� bien porcinet, il faut faire le m�nage maintenant et en slip car on voudrait pas que tu ab�mes ton costume de fils � papa.

- Non stp piti� pas maintenant il faut que je r�vise.

- Ta gueule grosse merde, en slip et vite sinon c'est moi qui te fout � poil.

Mon excitation grandissait et la crainte de me retrouver en slip devant eux me faisait de plus en plus bander.

- Allez d�p�che toi ou je me f�che.

Pris au pi�ge de ce jeu, je me retrouve en slip sous leurs yeux.

- Putain mais c'est qu'il bande le con. Alors t'aime �a ma salope te faire dominer par deux mecs. Hein dis le que tu aimes �a.

- Non piti� laissez moi non c'est trop la honte

Marc approcha et me caressa les couilles et la queue.

- Mais oui elle bande la grosse.

Il baissa mon slip et sous mon bide apparu ma petite queue dress�e par la honte et la soumission.

- Alors pauvr'mec tu vois que tu aimes te faire humilier. H� bien tu vas pas �tre d��u.

Il fallait bien que je me rende � l'�vidence. Jamais je n'avais band� autant et les entendre se moquer de moi me procurer une immense jouissance.

A suivre.

olivier

)

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