Bisexualit� � DakarSory avait choisi "une fille pas trop maigre", comme il disait, car il aimait se repa�tre de gros seins et de fesses charnues � bouffer, ouvrir, malaxer, �carter, forcer. Le programme �tait clair : il allait la baiser sous mes yeux en s'exhibant au maximum et j'aurais le droit de la caresser en m�me temps. Aurais-je le droit de le caresser, lui, comme je le d�sirais tant ? Je l'avais lev� et excit� dans un bar � putes de la place de l'Ind�pendance, � Dakar, o� il �tait videur. De banalit�s en sexualit�, et sans l'avoir pr�m�dit�, je m'�tais peu � peu d�couvert � lui : j'�tais un touriste esseul� qui aimait les filles, surtout pour les regarder, de pr�f�rence avec un gar�on sur elles, car j'aimais les couples et, pour tout dire, par dessus tout, les gar�ons... La douceur, la gentillesse et la tol�rance progressivement palpables de Sory m'avaient conduit � aller jusqu'au bout de ma v�rit�. Awa, belle, parfum�e, maquill�e, orn�e de bijoux dor�s et l�g�rement mais superbement v�tue de rouge sur des dentelles noires, �tait au rendez-vous. Sory et elle formaient un tr�s beau couple d'africains : avec sa casquette blanche, son t-shirt vert vif en faux Nike, ses baskets en faux Reebok et, surtout, ses beaux bras nus muscl�s couleur de chocolat, ce grand gars baraqu� mais pas trop, sexy, au pantalon blanc gonfl� sur le devant et au magnifique cul tr�s cambr�, aux cheveux bien coup�s, courts et cr�pus, au bouc superbement taill� autour de sa belle bouche sensuelle me faisait craquer absolument et, d�j�, bander. A mon h�tel, je me crus oblig� de faire le malin pour justifier la pr�sence de mes invit�s. J'inventais, pour le veilleur de nuit ensommeill� qui, d'ailleurs, s'en foutait, que j'�tais journaliste � la radio et devais m'isoler avec eux pour les interviewer tranquillement. En entrant dans ma chambre, j'allumai les deux veilleuses autour du lit et, sans perdre de temps, je m'assis dans le fauteuil, au pied du lit. Il cria d'admiration en lib�rant les gros seins ronds largement aur�ol�s qui roul�rent bien vite sur son visage et sous sa langue. Je vis les grosses mamelles durcir rapidement dans la bouche de Sory, tandis qu'Awa ouvrait la ceinture puis la braguette du m�le en rut. Le pantalon blanc tomba. Elle baissa aussit�t le cale�on gris en faux Calvin Klein. Ce qu'elle et moi attendions tant apparut : la grosse queue circoncise hyper band�e et les couilles rondes et fermes de Sory. Son beau cul rond et lisse aussi. En m�me temps, j'avais moi-m�me �t� mon pantalon. Nu dessous, je me rassis pour me branler doucement, cuisses �cart�es en continuant de les admirer. J'�tais d�j� tr�s excit� et allais devoir faire gaffe � ne pas gicler trop vite. Il la coucha doucement sur le lit et vint se mettre � quatre pattes sur elle pour lui donner des baisers, la l�cher, la t�ter, lui doigter et lui d�vorer les t�tons, la chatte et l'anus. Awa s'offrait, soupirait, geignait, �prouvait de partout un plaisir palpable et palp�. Je me levai et vint m'agenouiller au pied du lit pour voir de derri�re le magnifique cul de Sory, ouvert, offert � mes regards et, entre ses cuisses muscl�es, ses couilles ramass�es mais pendantes et sa grosse bite, le plus souvent emprisonn�e dans les mains, puis dans la bouche d'Awa. A ce moment l� c'�taient surtout la raie du cul, imberbe, et le bel anus pliss�, noir dehors, rose dedans, qui me fascinaient et m'excitaient incomparablement; comme chaque fois qu'un beau gar�on h�t�rosexuel avait �cart� ses fesses pour me laisser voir et parfois toucher, l�cher, p�n�trer le tr�fonds de son intimit� virile. Ils se mirent ensuite en soixante neuf, lui sur elle, Sory broutant goul�ment la chatte humide et rouge d'Awa tandis que, sous mes yeux, elle d�vorait sa grosse et large queue hyper band�e en lui caressant ses belles couilles rondes et fermes ainsi que ses belles fesses soyeuses. Elle m'a m�me paru jouer plusieurs fois � bien �carter les deux globes muscl�s du cul de Sory, pour que je ne perde pas trop longtemps de vue l'anus palpitant du m�le, qui me fascinait tant. Awa �tait une hyst�rique et elle m'offrit un spectacle extraordinaire. Elle ne se contenta pas de tirer Sory par la queue en le suppliant de la baiser mais, quand il fut en elle, elle ne cessa de le caresser et bouffer partout, de se tr�mousser et se tordre, de g�mir, r�ler et couiner, de vouloir plein de fois changer de position. Il la troncha donc dans tous les sens, � tous les rythmes et par tous les trous. Car il ne tarda pas � l'enculer. Elle avait l'air d'adorer �� autant que moi. Il alla ensuite plusieurs fois de l'anus � la chatte d'Awa. A chaque fois qu'il changeait de position, il avait toujours un regard et un grand sourire pour moi. Il adorait visiblement qu'on le mate; cette complicit�, sa beaut� et sa gentillesse me comblaient de bonheur comme rarement. A un moment je ne pus r�sister � l'envie de me risquer � les caresser. Elle d'abord, ses seins, ses fesses... Puis, tr�s vite, Sory : ses �paules, ses bras, son dos... Comme il en murmurait d'aise, je caressai ensuite ses merveilleuses fesses, puis j'effleurai ses couilles. D�finitivement encourag� par un "oui" �loquent, je n'h�sitai plus. Je vins mater entre leurs cuisses r�unies et touchai la queue de Sory dans la chatte d'Awa. Comme Awa dix minutes plus t�t, je fus infiniment heureux de me mettre � quatre pattes et d'�carter mes fesses � deux mains. Le gros gland brun caoutchouteux puis la longue et forte pine tout enti�re ne tard�rent pas � me pilonner la prostate si fort que je bramai de jouissance. Awa se masturbait ouvertement la chatte tandis qu'elle tendait ses seins � Sory et que mon baiseur la t�tait. Dans la glace o� je matais nos trois corps nus en d�lire, je vis tout � coup Sory d�culer et balancer en criant, au plafond, de longs traits de sperme. Je parvins � me retourner assez vite pour que les derni�res gicl�es chaudes me retombent sur le visage. Awa lui rel�cha sa bite encore hyper dure. Il s'�croula sur nous ruisselant de sueur, de sperme, de cyprine et de salive, apais�, heureux comme Awa et moi. Nous nous enla�ament tendrement tous les trois et dorminent un peu. Jusqu'� ce que Sory rebande dans nos mains et saillisse Awa puis moi, � nouveau, comme un dieu de la baise. Le dieu de la sensualit� lib�r�e qu'il �tait. Si vous aimez comme moi mater, t�ter, exhiber, partouzer avec des beaux africains, contactez moi � : nous en d�braguetterons ensemble, � Paris ou � Dakar. Partageur R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |