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Beurs, je vous aime !

UN FANTASME (histoire sorties de mon imagination)

Comme souvent, j'�tais � Mulhouse pr�s du zoo en train de tourner en voiture depuis pr�s d'une demi-heure, lorsqu'une golf noire a attir� mon attention. � plusieurs reprises en passant � c�t� de la voiture, j'ai tent� d'apercevoir le conducteur mais rien � faire, les vitres �taient teint�es.

Comme je suis d'un naturel r�serv�, je ne me suis pas arr�t� et j'ai continu� mon chemin. Apr�s avoir fait quelques tours suppl�mentaires, j'ai gar� ma voiture dans un endroit discret, histoire d'aller soulager une petite envie. De retour � ma voiture, je me suis rendu compte que la golf noire �tait toute proche. D�j� je faisais des plans sur la com�te en esp�rant voir un bel Apollon venir m'aborder. Au bout d'une vingtaine de minutes cette voiture est venue se garer � c�t� de la mienne. Surprise ! il y avait un passager, et c'est lui qui m'a parl�. Non seulement ce type n'�tait pas mal du tout, mais en plus il �tait �tranger ou d'origine �trang�re et l� je craque, rien ne me retient. Il me demande ce que je fais ici, et je lui r�ponds que je cherche un mec, l�-dessus, il me demande s'il peut monter dans ma voiture histoire de discuter un peu.
Je n'allais pas lui refuser, il �tait trop craquant. Il monte dans ma voiture. Pendant un instant, je crois �tre tomb� dans un mauvais coup. Je d�cide toutefois de laisser faire, non sans appr�hension. Le gars, � c�t� de c�t� de moi, me pla�t beaucoup, il le sait. M�me s'il est de petite taille, il me donne l'impression d'�tre tr�s bien fait. Tout de suite, il prend ma main et la pose sur son sexe que je sens dur et de tr�s bonne taille. D'embl�e, il me dit, que je peux en profiter si je lui donne un peu d'argent. Vous imaginez ma d�ception ! Je lui dis qu'il n'en est pas question pour deux raisons : La premi�re, c'est que je suis absolument contre ce genre de pratique, la seconde, je n'emm�ne que tr�s peu d'argent avec moi quand je vais sur un lieu de drague. Sur mon refus, tr�s vite il remonte dans la golf qui d�j� s'�loigne � toute vitesse. Je reste seul en pensant � ce beau mec qui aurait pu �tre mien.
Je repars en chasse, histoire de ne pas rester sur cette mauvaise impression et vais sur les diff�rents points de drague de Mulhouse. Mais rien, aucun mec n'est � mon go�t. Je reviens sur le secteur du zoo et continue � tourner en voiture. Apr�s deux heures, je me dis que c'est foutu pour aujourd'hui et d�cide que si � 1 heure du matin je n'ai rencontr� personne, je rentre.

Aux alentours de minuit trente, la golf se repointe et passe plusieurs fois � c�t� de moi. Je me dis que le mec de tout � l'heure n'a rien trouv� non plus. Apr�s plusieurs passages, voil� que la voiture s'arr�te � nouveau � hauteur de la mienne.
Le passager de tout � l'heure me fait signe de descendre ma vitre, je refuse. Je n'ai pas chang� d'avis. Il descend du v�hicule et frappe au carreau de ma porti�re, il insiste et souhaite vraiment que je descende la vitre. Pour m'en d�barrasser, je baisse ma vitre et avant que je ne puisse lui dire quoi que ce soit, il me demande si je veux pas tailler une pipe � lui et son pote. Je lui fais comprendre que si c'est dans les m�mes conditions qu'auparavant il n'en est pas question. L�-dessus, il me dit qu'ils sont en manque grave, que depuis tout � l'heure ils n'ont rien trouv� et qu'ils ont vraiment envie de se soulager.

Comme je tarde � donner une r�ponse le type me demande de me d�cider, ils en ont marre d'attendre. Je vois dans leurs yeux qu'ils sont tr�s excit�s.
Moi aussi je suis tr�s excit�. Ce dont je r�vais devient r�alit�. Alors que la raison me dit de refuser, c'est tout mon corps qui vibre et me dit d'accepter. Tr�s rapidement je finis par c�der. Je demande au mec qui est toujours debout � c�t� de la voiture o� l'on va et apr�s quelques mots �chang�s avec le conducteur, il me dit de suivre la golf et me demande s'il peut monter � c�t� de moi.

J'accepte et nous voil� partis vers la ville. Tr�s rapidement, mon passager devine mon appr�hension et me rassure en me disant que je n'ai rien � craindre, que lui et son copain ont juste envie de se faire un mec et pour me le prouver prend ma main et la pose sur sa queue que je sens tr�s raide. Il me raconte que depuis notre rencontre en d�but de soir�e, ils n'ont pas arr�t� de bander.
Apr�s un moment, nous arrivons devant un entrep�t d�saffect� en p�riph�rie de la ville et nous rentrons � l'int�rieur. La golf qui me pr�c�de fait un large demi-tour au milieu de l'entrep�t abandonn� et s'arr�te � proximit� de ma voiture.

A ma grande surprise, le conducteur de la golf est descendu de la voiture accompagn� par deux autres types cach�s par les vitres teint�es de la bagnole. Dans faible lueur des feux de position, je vois leurs yeux brillants, ils se caressent la queue en disant quelque chose d'incompr�hensible. Mon voisin me dit alors " tu veux de la bite ! tu vas en avoir ". Energiquement il me fait sortir de la voiture et m'am�ne devant les trois types, lesquels, � en voir leur paquet, bandent comme des salauds. Pour moi, je r�alise un fantasme. Ils sont tous la peau matte, sont assez mignons et leur d�sir est franchement palpable. C'est celui du milieu qui prend l'initiative, imm�diatement il sort sa queue, appuie sur mes �paules et d�s que j'ai les genoux � terre, me fourre sa bite dans la gueule. D�s lors, je la prends tr�s profond dans la gorge et mon nez vient s'�craser dans sa toison. Ce n'est pas moi qui le suce, c'est lui qui me d�fonce la bouche, encourag� par ses trois comparses qui se tripotent le sexe dans leur cale�on. Ce premier mec tout en me bourrant la gueule n'arr�te pas de me traiter de petite salope, de chienne qui aime la bite. Cela m'excite � un point, vous ne pouvez pas savoir.

Apr�s quelques instants c'est son voisin de droite, le plus costaud des trois qui baisse son froc et me pr�sente son chibre. Sa queue est moins longue que la premi�re mais plus �paisse et barr�e de nombreuses veines qui lui donnent du relief. Comme pour le premier, je la prends direct au fond de la bouche, la diff�rence, c'est que le type, gr�ce � ses mains plaqu�es derri�re ma t�te, m'emp�che de me d�gager et maintient sa bite au fond de ma gorge. Le nez coll� � son pubis, je suis caress� par ses poils et je peux sentir sur sa peau chaude et ambr�e une l�g�re odeur acidul�e. Je veux absolument, me d�gager et lui faire une bonne pipe mais il m'en emp�che. Sans faire de grands mouvements, il se branle dans ma gueule en montant et descendant l�g�rement le bassin. Son gland bien dur me masse le fond de la gorge et tr�s vite se retire car il est sur le point de jouir. Le troisi�me homme de la golf en profite pour prendre son tour. A ce moment, je remarque que celui qui �tait mont� dans ma voiture reste � l'�cart se contentant, sans que je vois son membre, de se toucher. Tr�s vite le troisi�me type me fait revenir � la r�alit�, celle de me foutre son chibre dans la bouche. Sa superbe queue termin�e par un tr�s gros gland se faufile entre mes l�vres, glisse sur ma langue, vient s'�craser au fond de ma bouche et commence dans un rythme soutenu des va et vient puissants. A chaque fois, ses grosses couilles lourdes, pleines et pendantes viennent heurter la base de mon menton. Lui aussi, me maintient fermement la t�te avec ses mains en me disant un tas d'insanit�s. Je lis dans les yeux de mon quatri�me larron qui reste � l'�cart une excitation indescriptible.

Je continue � me faire baiser la gueule lorsque j'entends un des mecs pr�s de moi dire " si on lui faisait le cul ? ". On me rel�ve de ma position, je ne montre aucune opposition, car j'attendais ce moment, je fais simplement signe aux types que j'ai des capotes dans ma voiture. Un va les chercher, le deuxi�me me d�barrasse de mon pantalon pendant que le suc� m'oblige s�chement � reprendre ma pipe. Je suis au comble de l'excitation, mon anus est dilat�. Je sens des doigts y rentrer et forcer le passage, pendant qu'on d�balle une capote. J'entends le bruit du latex qu'on pose sur une bite, et tr�s rapidement je sens une queue se pr�senter � l'entr�e de mon anus. A qui appartient-elle, je ne sais pas ! le suc� avec ses mains m'emp�che de voir. Des mains se posent sur mes hanches et je sens une pouss�e incroyable dans mon cul, �a y est, je me prends la premi�re dans le fion. J'ai envie de gueuler de plaisir, mais celui que je suce m'en emp�che et me fourrant bien profond. Celui qui me prend est tellement excit� qu'il me d�fonce avec une rage inou�e et tr�s vite pousse un max sa tige au fond de mon cul. A ses r�les, et derniers petits coups, je comprends qu'il est d�j� en train de lib�rer tout son foutre. Je l'imagine en train de jouir et d'�vacuer de longs jets puissants. Il se retire.
Je n'ai pas le temps de me remettre de mes �motions que d�j� le deuxi�me assaut se pr�pare, le mec que je suce se d�gage de ma bouche, et passe derri�re moi, il m'oblige � me d�saper compl�tement et me pousse vers l'avant de ma voiture. L�, avec ses pieds, il m'�carte les jambes, m'oblige � poser mon torse sur le capot de la voiture encore ti�de et apr�s avoir enfil� une capote me lime sans retenue. J'ai envie de me branler tellement je suis excit�, mais il me l'interdit en maintenant fermement les mains plaqu�es sur le capot aid� en cela par son pote qui n'a pas encore jouit.

Les deux me traitent de petite femelle en chaleur tandis que celui qui me bourre amplifie la cadence. Celui qui me maintient les mains se penche � mon oreille et continue � me traiter de tous les noms. Je vois maintenant sa queue bien dress�e et son gros gland duquel coule un peu de liquide s�minal, il me voit la regarder et me dit que lui aussi va me passer dessus. Tout en �tant bourr�, je tourne la t�te et m'aper�ois que le quatri�me, mon passager, reste obstin�ment � l'�cart et continu � se tripoter sans rien laisser voir de son membre. Il ne fait rien que mater pourtant c'est lui qui m'excite le plus. A ce moment, j'entends et sens mon sodomiseur me jouir dans le cul. A chaque jet, je sens son membre se raidir encore plus, il jouit tellement qu'il se l�che totalement et gueule son plaisir. Lui aussi se retire et va rejoindre le premier qui est d�j� entrain de fumer une cigarette. Tous les deux me regardent totalement soumis � cette troisi�me offensive qui se pr�pare dans mon dos. Une nouvelle fois j'entends le latex qu'on pose sur la queue et quelques instants apr�s sens la ti�deur d'une nouvelle bite � l'entr�e de mon cul. Malgr� la dilation de mon cul, j'ai un peu mal, il faut dire que ce type a une belle queue. Son �norme gland a du mal � passer la barri�re de mon sphincter qui sous la pression, lib�re le passage. D�s ce moment tout va mieux, et je dois avouer que ce type avec son membre particulier m'apporte des sensations nouvelles augment�es par un massage ferme de mon cul.

De ses mains, il empoigne le globe de mes fesses et les �carte comme s'il voulait encore agrandir mon trou. Apr�s quelques instants, je comprends qu'il le fait car il veut voir sa bite aller et venir dans mon cul. Maintenant, il la sort compl�tement pour aussit�t la r�introduire � fond m'offrant ainsi de nouveaux plaisirs. Une fois de plus, je remarque que le quatri�me, ne bouge pas d'un iota et continue � se caresser, je commence aussit�t � me branler et comme auparavant mon enculeur me l'interdit en disant que je suis � sa dispo et que comme je voulais de la bite, je n'ai qu'� ob�ir. Ce faisant, il pousse sa queue au fond de mon cul, et simplement en faisant de tous petits mouvements fermes, il laisse �clater sa jouissance et inonde le pr�so de son foutre. Il enl�ve la capote, s'essuye et rejoint les autres.

Je reste dans ma position en pensant que le quatri�me, celui qui m'excite le plus va terminer la besogne. Mais celui -ci me demande de me rhabiller et me dit que c'est termin�. Sans un mot, je m'ex�cute et les autres d�cident de partir sur le champ. A ce moment celui qui ne m'a pas touch�, dit sur un ton ferme que je vais le raccompagner laissant les autres partir terminer leur nuit en bo�te o� je ne sais o�.

Je termine de m'habiller, remets un peu d'ordre � mes cheveux tandis que lui est d�j� install� dans la voiture. Il me demande mon pr�nom et me r�pond que lui c'est Aziz.

Je lui demande o� il veut que je le d�pose et il me r�pond de d�marrer, qu'il m'indiquera le chemin et encha�ne aussit�t en me disant que c'�tait super, qu'il a ador� le spectacle, qu'il a aim� me voir encul� par trois mecs et qu'il en a encore la queue raide. Je lui r�pond que je doute de ce qu'il me dit car il ne m'a pas touch�. Nous sommes arr�t�s � un feu, il d�fait sa ceinture de s�curit�, d�boutonne son pantalon et ouvre sa braguette, il sort son pal qui est �norme et me prend la main pour le saisir.

Le feu passe au vert et la voiture qui nous suit klaxonne, car je mets du temps � red�marrer. Il se tripote et moi j'ai de nouveau le feu au cul. Nous sortons d�j� de la ville et je lui demande o� nous allons. Il me r�pond qu'il m'emm�ne dans un endroit o� il va me baiser. Nous arrivons dans un chemin de terre qui m�ne dans une petite clairi�re, je fais tout de suite demi-tour, j'arr�te le moteur et enl�ve ma ceinture. Tout de suite, il prend ma t�te et am�ne ma bouche � son sexe. J'essaye d'en prendre un maximum, mais n'y arrive pas compl�tement, elle est tr�s longue et tr�s �paisse, je dois lui l�cher, il descend totalement son pantalon et m'oblige � lui l�cher les couilles qui sont � la dimension de sa verge. De sa main rest�e libre, il rel�ve ma chemise et s'enfonce sous mon cale�on vers mon cul. Je le suce � nouveau, et tout en me donnant des coups dans la bouche, me dit que j'aime �a sucer avant de me faire sauter. Il rajoute qu'il cherchait depuis longtemps un mec � soumettre et qu'il l'a enfin trouv�. Je suis maintenant pratiquement � poil, il ne me reste que mon string dont il �carte la maigre �paisseur de tissu pour introduire ses doigts dans le cul. Les si�ges sont rabattus, et je me retrouve � quatre pattes vers la lunette arri�re. Dans l'espace exigu de la voiture, je l'entends enlever son jean's, il reprend son inspection et me dit que je suis encore bien lubrifi�. Il entre un, puis deux et trois doigts dans mon cul, il masse ma prostate et me donne un plaisir fou. Je sens sa queue entre mes fesses, et je n'ai qu'une envie... Qu'il me prenne.
Je lui dis, il enfile une capote, heureusement que j'avais aussi des king-size, une capote normale n'aurait pas suffit.

Il se pr�sente � l'entr�e de mon cul. Il pose une de ses mains sur ma t�te et me disant " tu veux de la bite, tu vas l'avoir, je vais te faire le cul une 4e fois ". Joignant le geste � la parole, il pousse son chibre dans mon intimit�, j'ai un peu mal car il est vraiment �norme. Mais apr�s quelques va et vient, sa queue me procure un immense plaisir, il m'encule, me saute, me d�fonce, me laboure et c'est trop g�nial. Tout en me sodomisant, il me dit " tu aimes hein ? tu aimes la queue d'un vrai mec dans ton trou hein, t'es une bonne chienne ". Moi, tout ce que j'arrive � faire, c'est � g�mir de plaisir.

Il est l� par-dessus moi, j'entends sa respiration qui s'acc�l�re au rythme de ses coups, ses mains me prennent les fesses et les �cartent �nergiquement. Il est endurant et plusieurs fois se retient de jouir, mais au bout de quelques instants, il me prend par les �paules et acc�l�re encore la cadence. Cette fois-ci, je sais qu'il va venir, je l'entends � sa respiration aux petits g�missements qu'il pousse. Poussant un dernier coup son membre au fond de moi il r�le. Des soubresauts me font savoir � quel point il jouit. Il continue de r�ler et de pousser, moi aussi je jouis et � chaque gicl�e que j'envoie, mon anus se ressert autour de sa bite, il r�le de plus belle, car il continue de jouir. Nous avons du mal � reprendre nos esprits, et il reste en moi encore un moment. Je sens sa respiration ralentir et redevenir normale, et nous savourons encore un instant, tous les deux la douce ti�deur du corps de l'autre.

Il se rassoit sur son fauteuil, moi sur le mien et me demande s'il peut fumer. Je lui dis que oui, il bande encore, d'habitude, les mecs se d�p�chent de se rhabiller et demandent de partir. Lui, prend tout son temps. Il me demande quels sont mes go�ts musicaux et me demande d'allumer le poste. Cette situation me para�t irr�elle, mais je l'appr�cie. Apr�s un moment, il me dit que je suis un formidable coup, qu'il n'a jamais pris son pied comme aujourd'hui. Qu'il vient de r�aliser un fantasme, je lui demande lequel et il me r�pond " de soumettre un mec � d'autres et de l'enculer ensuite. C'est un truc qui le fait bander � mort. Il me demande quel est mon fantasme � moi, je lui r�ponds que je viens de le r�aliser, mais que j'aimerais aussi le faire avec des noirs ou des asiatiques. Cela fait un quart d'heure que nous discutons et il bande toujours, en fait avec ses questions, il entretient sa forme. Il me dit qu'il a envie de me prendre � nouveau, je suis totalement � ses d�sirs et pour la deuxi�me fois je deviens l'objet de tous ses plaisirs. Il me demande de me mettre au centre de la voiture sans me retourner car il veut voir mon visage pendant qu'il me baise.
Il saisit un pr�so que je venais de pr�parer, l'enfile et lui vient se placer entre mes cuisses. D�j�, je le sens qui me p�n�tre. Il me regarde, ses yeux plongent dans mes pens�es et j'ai l'impression qu'il lit en moi comme dans un livre ouvert car d�j� il acc�l�re et me laboure profond�ment. Je ne demande que cela. Tout � coup, il me prend par les cheveux et me roule un patin d'enfer. C'est la 1�re fois qu'un beur me roule une pelle et c'est d�licieux. Je sens son sexe en moi, son haleine sur mon visage, c'est dingue, j'adore. Brutalement il ressort de mon trou et m'attire la gueule � sa queue que j'enfourne goul�ment. Apr�s m'avoir fait le cul, il me fait la bouche. J'ai envie de gueuler mon plaisir tellement je prends mon pied, mais son chibre m'en emp�che.

Il me retourne � quatre pattes et me lime � nouveau en prenant le soin de rester au-dessus de moi. Ses couilles s'�crasent sur mon entrejambe � chaque fois qu'il me prend � fond. A nouveau, je sens sa s�ve qui monte, il ne fait rien pour l'arr�ter, simplement il l'accompagne et une fois de plus il explose de plaisir tandis que je viens moi aussi.

Ext�nu�s mais heureux, nous nous rhabillons et repartons vers la ville. Tout en fumant une cigarette, il me demande mon N° et l'enregistre sur son portable. Avant de descendre de voiture, il me caresse une derni�re fois le sexe et me dit qu'il me rappelle rapidement.

D�j� il s'�loigne dans la p�nombre, je rentre chez moi fatigu� mais la t�te pleine de r�ves..

sapeurhot

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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