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Les Belles Boules

J'ai un gros f�tiche : les couilles, les burnes, les boules, les bourses...Appelez-les comme vous voulez mais dans tous les cas je les adore! Quand je vois des photos ou des vid�os de mecs sur des sites pornos, la premi�re chose que je remarque ce sont les bijoux de famille. Leur taille, leur pilosit� ou manque de pilosit�, leur forme, leur couleur, leur fa�on de se contracter ou de se rel�cher selon que le mec soit en �rection ou pas.

Ma pr�f�rence va aux grosses couilles, poilues, pendantes mais pas trop et j'aime bien quand la couleur de peau des couilles est un peu plus fonc�e que celle du reste du corps.

Pendant des mois j'avais trouv� mon paradis avec un blog allemand o� un mec a t�l�charg� une impressionnante collection de centaines de photos de burnes sous toutes les formes et sous tous les angles. J'�tais tr�s triste quand le blog a �t� supprim� et avec lui toutes les photos.

J'ai pris l'habitude d'aller dans des saunas et des hammams de la ville. Qu'ils soient des �tablissements pour tout le monde ou des �tablissements gays. Je profite bien s�r pour m'en mettre plein la vue et mater un tas de paire de couilles.

Un jour je suis all� dans un de mes hammams pr�f�r�s. Il est principalement fr�quent�e par des hommes d'origine arabe et turque. J'aime bien cet endroit car la client�le est plut�t �g�e (40 ans et plus). La plupart des hommes se connaissent bien. Certains habitent le m�me quartier, d'autres vont � la m�me mosqu�e et d'autres sont originaires de la m�me r�gion du Maghreb ou de Turquie. Ils se connaissent tellement bien que personne n'utilise de serviette et tout le monde se balade les boules � l'air. Autant dire que c'est le paradis pour un f�tichiste comme moi. En plus, tous les hommes ont des couilles bien poilues ce qui m'excite encore plus. En ce qui me concerne, je n'ai que 29 ans et je suis blanc comme neige. Donc c'est un peu rat� pour passer inaper�u. Mais je n'ai jamais eu de probl�mes et plus je viens, plus j'attire moins de regards suspicieux.

Une matin�e de septembre, tous mes rendez-vous ont �t� annul�s par pur co�ncidence et je me retrouve sans rien � faire de 10h jusqu'� 15h. Je d�cide d'aller me d�tendre (et me rincer l'oeil) au hammam.

Dans la grande salle centrale, il n'y a que trois vieux habitu�s qui ne m'int�ressent pas beaucoup physiquement parlant. Je pars faire un tour dans les petites salles et l�, je trouve une salle occup�e par une seule personne. C'est un homme arabe que j'avais d�j� rep�r� les deux derni�res fois que je suis venu. Il doit avoir 50 ans environ. Il est un peu fort mais pas gros. Il est assez grand de taille, environ 1m83. Il a une belle gueule d'homme viril et en bonne sant�. J'aime beaucoup ses sourcils bien fournis et sa moustache qui lui donne un air de dictateur d'un pays arabe. Il est poilu. Sa bite au repos est un joli morceau circoncis de 14 centim�tres environ. Mais ce qui me fait craquer ce sont ses couilles qui sont proches de la perfection. Honn�tement, m�me dans mes r�ves, je n'imagine pas une aussi belle paire de boules. Elles sont grosses, lourdes, velues et pendantes. J'ai envie de plaquer ma gueule contre elles et de les laver avec ma langue.

Je m'assois en face de lui. Je le salue poliment comme il est d'usage de le faire ici m�me avec des inconnus. Il retourne ma salutation.

Les gens ici sont assez bavards et le monsieur ne tarde pas � faire la conversation avec moi. Il parle tr�s bien fran�ais avec un l�ger accent arabe. J'aime beaucoup l'entendre rouler les "R" avec sa voix grave. J'apprends que c'est un homme d'affaires alg�rien et qu'il passe son temps � voyager entre les deux pays. Il fr�quente ce hammam depuis 15 ans � chaque fois qu'il vient en France.

Je participe peu � la conversation. De toute fa�on mon attention est fix�e sur sa superbe paire de couilles. J'essaye de ne pas trop regarder mais je sens que je n'y arrive pas. �trangement, le monsieur �carte un peu plus ses jambes au fur et � mesure que le temps passe. Puis, je remarque avec un choc immense que son zob est en pleine �rection. Une magnifique tige de 22 centim�tres. Mais le plus surprenant c'est que moi aussi j'�tais en train de bander sans m'en rendre compte. Je l�ve les yeux vers le monsieur et je le vois me regarder avec malice et avec un petit sourire en coin qui veut tout dire.

-"Approche jeune homme" me dit-t-il avec sa voix virile.

J'ob�is et je me mets instantan�ment � genoux devant lui. Il prend ma t�te entre ses mains larges et m'�crase le visage contre sa bite et ses couilles. Je g�mis de plaisir et il comprend que c'est ce que je recherche. Alors il continue � m'enfoncer la gueule dans son entrejambe. Ensuite, il prend sa queue et me donne des petits coups sur la langue avec.

-C'est mon zob que tu veux? C'est pour �a que tu n'arr�tes pas de le regarder depuis que tu es venu? R�ponds -moi, petit p�d�!

-Oh OUI! JE VEUX SUCER VOTRE BITE MONSIEUR. JE VEUX BOUFFER VOS COUILLES, LES L�CHER BIEN COMME IL FAUT.

-Ah je le savais! Tu sais comment on appelle les gens comme toi chez moi. Un aatay, une qahba! �a veut dire p�d�, catain. Vas-y bouffe mes boules. Et attention, je veux bien sentir ta langue. Compris salope?

-Oh oui. Merci Monsieur. C'est un honneur de vous l�cher les couilles. Vous ne pouvez pas savoir comme �a m'excite!

-Hahaha toi tu aimes vraiment les couilles! Alors mets-toi au boulot!

L'homme a ensuite mis ses mains derri�re sa t�te et il a �cart� un peu plus les jambes. Je n'en croyais pas mes yeux. Ce m�le arabe me laissait carte blanche pour m'occuper de ses burnes. D'habitude, les mecs sont tellement press�s d'avoir leur bite au fond de ma bouche qu'ils m'emp�chent de bien me concentrer sur les couilles. Mais l�, cet homme m'offrait la possibilit� unique de v�n�rer ses couilles aussi bien et aussi longtemps que je veux. J'avais envie de jouir rien que pour �a!

Je me suis mis au boulot. J'ai pris le gros zob du monsieur dans une main pour le branler lentement et avec mon autre main, j'ai d�licatement saisi son joli sac poilu. J'ai approch� ma t�te et j'ai pris le temps de sentir son odeur masculine. Mon nez s'est coll� au centre du sac et j'ai respir� profond�ment cette senteur de m�le viril. Puis j'ai appuy� mon nez et ma bouche contre ses burnes. J'ai ensuite l�g�rement ;tourn� la t�te dans tous les sens pour que ses couilles se frottent contre mes joues, mon front, mon menton. Je voulais que mon visage tout entier entre en contact avec cette merveille de Dame nature.

Ensuite, j'ai sorti ma langue et laissez moi vous dire que j'ai failli juter au moment o� elle a touch� le scrotum. Apr�s, j'ai commenc� par l�cher lentement en prenant soin de ne pas n�gliger le moindre recoin. Le monsieur semblait appr�cier mon traitement car il a pouss� un grognement de plaisir. Ma langue est all�e derri�re le sac, devant, sur les cot�s. Les poils �taient tremp�s et collaient � la peau du sac.

Enfin, le moment est venu de prendre en bouche les jolies boules. J'ai d�marr� par la couille gauche que j'ai suc�, lav�, l�ch� pendant deux longues minutes. Puis, je suis pass� � l'autre couille et je lui ai r�serv� le m�me traitement. Ensuite, j'ai ouvert grand la bouche et je les ai prises toutes les deux en m�me temps. Le monsieur semblait impressionn� par ma technique et tr�s excit� par tout ce que je lui faisais. Il n'arr�tait pas de r�p�ter des phrases comme "Vas-y continue salope! ", "C'est bon �a petite pute!",...

Ma main sur sa bite a acc�l�r� le mouvement. Dans ma bouche, c'�tait l'extase. Je sentais les deux couilles se frotter l'une contre l'autre, s'�craser l'une contre l'autre. Avec ma langue, je jouais avec, je faisais monter l'une sur l'autre. Avec mes dents, je mordillais gentiment les deux testicules. Ma succion des boules est devenue aussi fr�n�tique que les mouvements de ma main sur sa queue. J'ai gard� le rythme jusqu'� ce que j'entende le monsieur r�ler de plaisir. Dans ma bouche, les couilles se sont contract�s brusquement. Puis, cinq grosses gicl�es de foutre sont tomb�es sur mon visage. Moi-m�me je n'ai m�me pas eu � me toucher pour jouir et cracher mon sperme sur le sol du hammam.

L'homme s'est ensuite lev�. Il m'a regard� et m'a dit que jamais il n'aurait imaginer prendre autant de plaisir avec un mec lui l�chant les couilles. Puis il est parti et je suis rest� dans la petite salle emplie de vapeur. J'avais mal � la m�choire mais ce n'�tait rien compar� � l'exp�rience fantastique que je venais de vivre.

FDES2R

PS : Si l'histoire est malheureusement fictive, mon f�tiche est bien r�el.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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