A Belle-ÎleCette aventure m'est arriv�e en juillet 2005. J'�tais en vacances � Belle-Île. Peut-�tre que celui dont il est question lira cette histoire et qu'il m'�crira. J'aimerais le retrouver. J'�tais � la plage avec ma famille, �pouse et enfants... Je me baignais, il faisait beau et l'eau �tait fra�che. Il y avait peu de monde dans l'eau, alors j'en profitais pour enlever mon short de bain et avoir le plaisir de me baigner nu. J'adore me branler dans l'eau, sentir sa caresse sur mon corps. Et je l'ai vu entrer dans l'eau. Beau mec, slip de bain assez moulant. Lui aussi �tait avec femme et enfants, et je me suis dit que c'�tait perdu d'avance. Pourtant, un regard a suffi pour nous "reconna�tre". Nous avons �chang� des banalit�s et je suis sorti de l'eau. Mais je le voyais me regarder avec insistance. Il m'a fait signe de le rejoindre et son maillot �tait fortement d�form� par son sexe en �rection. J'y suis all�, son sourire �tait craquant. H�las, je n'ai pas donn� suite : trop peur ! Nous avons parl�. Malgr� cette peur, je n'ai pas cess� de penser � lui. Dans la nuit, je me suis r�veill� plusieurs fois en bandant, je me branlais dans le lit. Le lendemain, j'avais tout fait pour revenir � la m�me plage (et le choix est large sur l'�le !). Lui aussi est revenu. Il m'a retrouv� dans l'eau et nous nous sommes baign�s c�te � c�te. C'�tait excitant. Cette fois les choses se sont concr�tis�es de mani�re tr�s fugace et tr�s br�ve. J'ai dit � ma famille que j'allais nager. Et je l'ai retrouv� dans une crique toute proche de la plage. L'endroit �tait superbe. C'�tait extr�mement risqu� pour tous les deux. Et le sentiment de culpabilit� �tait grand et partag�. Nous devions faire attention � ce que personne ne nous voit et nous savions que nos �bats seraient tr�s limit�s. Il m'a embrass� et nous nous sommes caress�s. Nos corps �taient mouill�s. Il a baiss� mon short pour lib�rer mon sexe, qu'il a branl� doucement et il s'est baiss� pour le prendre dans sa bouche. C'�tait bon, je sentais ses l�vres aller et venir sur ma queue. Je la voyais �tre engloutie dans sa bouche. Il �tait tr�s doux. J'�tais trop excit� et pr�t � exploser. Il su�ait merveilleusement bien. Il s'est relev�. J'ai sorti son sexe de son slip et je l'ai branl�. Il �tait beau �pais et tout frais � cause de l'eau. Nous �tions tr�s excit�s et la jouissance est venue tr�s vite. Apr�s �tre revenus s�par�ment, nous avons parl�, comme on aurait pu le faire avec "n'importe qui" d'autre sur la plage. C'est tr�s facile � Belle-Ile, les gens discutent assez spontan�ment, surtout quand il y a des enfants. H�las, je quittais l'�le le lendemain et nous nous sommes s�par�s sans m�me �changer nos coordonn�es. Je sais seulement qu'il �tait de la r�gion nantaise. J'ai esp�r� le voir � l'embarcad�re, en vain. Et lorsque le bateau a quitt� le port, �a a �t� difficile. J'y suis retourn� l'�t� 2006 avec le profond espoir de le revoir. Je suis all� plusieurs fois sur la plage o� nous nous �tions rencontr�s. Mais je ne l'ai pas revu. Dommage. Mais je conserve espoir : je vais � Belle-Île cet �t�... D. si tu lis cette histoire, �cris-moi. Sergay A Belle-Île Cette aventure m'est arriv�e en juillet 2005. J'�tais en vacances � Belle-Île. Peut-�tre que celui dont il est question lira cette histoire et qu'il m'�crira. J'aimerais le retrouver. J'�tais � la plage avec ma famille, �pouse et enfants... Je me baignais, il faisait beau et l'eau �tait fra�che. Il y avait peu de monde dans l'eau, alors j'en profitais pour enlever mon short de bain et avoir le plaisir de me baigner nu. J'adore me branler dans l'eau, sentir sa caresse sur mon corps. Et je l'ai vu entrer dans l'eau. Beau mec, slip de bain assez moulant. Lui aussi �tait avec femme et enfants, et je me suis dit que c'�tait perdu d'avance. Pourtant, un regard a suffi pour nous "reconna�tre". Nous avons �chang� des banalit�s et je suis sorti de l'eau. Mais je le voyais me regarder avec insistance. Il m'a fait signe de le rejoindre et son maillot �tait fortement d�form� par son sexe en �rection. J'y suis all�, son sourire �tait craquant. H�las, je n'ai pas donn� suite : trop peur ! Nous avons parl�. Malgr� cette peur, je n'ai pas cess� de penser � lui. Dans la nuit, je me suis r�veill� plusieurs fois en bandant, je me branlais dans le lit. Le lendemain, j'avais tout fait pour revenir � la m�me plage (et le choix est large sur l'�le !). Lui aussi est revenu. Il m'a retrouv� dans l'eau et nous nous sommes baign�s c�te � c�te. C'�tait excitant. Cette fois les choses se sont concr�tis�es de mani�re tr�s fugace et tr�s br�ve. J'ai dit � ma famille que j'allais nager. Et je l'ai retrouv� dans une crique toute proche de la plage. L'endroit �tait superbe. C'�tait extr�mement risqu� pour tous les deux. Et le sentiment de culpabilit� �tait grand et partag�. Nous devions faire attention � ce que personne ne nous voit et nous savions que nos �bats seraient tr�s limit�s. Il m'a embrass� et nous nous sommes caress�s. Nos corps �taient mouill�s. Il a baiss� mon short pour lib�rer mon sexe, qu'il a branl� doucement et il s'est baiss� pour le prendre dans sa bouche. C'�tait bon, je sentais ses l�vres aller et venir sur ma queue. Je la voyais �tre engloutie dans sa bouche. Il �tait tr�s doux. J'�tais trop excit� et pr�t � exploser. Il su�ait merveilleusement bien. Il s'est relev�. J'ai sorti son sexe de son slip et je l'ai branl�. Il �tait beau �pais et tout frais � cause de l'eau. Nous �tions tr�s excit�s et la jouissance est venue tr�s vite. Apr�s �tre revenus s�par�ment, nous avons parl�, comme on aurait pu le faire avec "n'importe qui" d'autre sur la plage. C'est tr�s facile � Belle-Ile, les gens discutent assez spontan�ment, surtout quand il y a des enfants. H�las, je quittais l'�le le lendemain et nous nous sommes s�par�s sans m�me �changer nos coordonn�es. Je sais seulement qu'il �tait de la r�gion nantaise. J'ai esp�r� le voir � l'embarcad�re, en vain. Et lorsque le bateau a quitt� le port, �a a �t� difficile. J'y suis retourn� l'�t� 2006 avec le profond espoir de le revoir. Je suis all� plusieurs fois sur la plage o� nous nous �tions rencontr�s. Mais je ne l'ai pas revu. Dommage. Mais je conserve espoir : je vais � Belle-Île cet �t�... D. si tu lis cette histoire, �cris-moi. Sergay
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |