Mon beau douanier m�tisOUF ! Enfin arriv�s ! C'est bon de retrouver ROISSY apr�s 22 heures de vol ! J'ai l'impression de sentir le fennec. Je n'ai qu'une envie : une bonne douche. Si elle pouvait �tre � deux . Mais, pas d'espoir pour aujourd'hui. Mes vacances au paradis sont termin�es et j'en garde des souvenirs divers et tr�s marqu�s. Ma peau est dor�e � souhait, et vous ne le direz � personne, mais je n'ai aucune trace de maillot. Je suis couleur pain brul� : partout, partout. Ce que je n'avais m�me pas imagin� c'est qu'il puisse faire aussi frais sur Paris. Je suis en short surfer assez large avec des poches classiques et des grandes sur les cot�s des cuisses, teeshirt, sandales, lunettes de soleil, bandana rouge et noir, avec juste mon sac � dos qui contient papiers et appareil photo. Je me sens l'�me l�g�re et pr�t � tout de revenir sur Paris. Formalit�s d'usage pour les papiers et vlan, on fait la queue pour r�cup�rer les bagages. On ne sait jamais combien de temps va durer cette attente pour r�cup�rer les valises. En plus, on ne peut m�me plus fumer ! Je fais les cents pas et remarque un douanier qui �pie le moindre comportement des passagers. Il est grand, beau, m�tis, bien balanc�, � priori Antillais. Je n'ai pas vraiment le fantasme de l'uniforme, mais l�, je dois dire qu'il le porte tr�s bien, et que je devine un corps tout � fait s�duisant avec des formes bien avantageuses et des muscles fins et d�li�s. Je le regarde faire, mais sans trop insister, me rappelant une m�saventure que j'avais eue avec un policier trop z�l� et pour qui j'avais eu un �lan terrible, mais r�fr�n�. Il avait mal pris mes regards et la note qu'il m'avait fait payer avait �t� un peu trop sal�e, et tout � fait injustifi�e. Donc, je le surveille autant qu'il me surveille, mais sans plus. OUF ! Enfin ma valise est l� ! Direction la sortie. Mon beau douanier m�tis me suit et avant que je ne sorte, m'interpelle : " Monsieur, pou! Mes aisselles, mon torse. Je tr�saille un peu lorsqu'il passe ses mains sur mes t�tons (je suis tout particuli�rement sensible de ces endroits). " Pardon, vous sembler �tre tr�s chatouilleux ? " Je r�ponds b�tement : ! Il continue son investigation. Mon torse � nouveau, mon ventre, ma taille. Il se baisse (enfin) et me dit d'enlever mes sandales. Il touche mes pieds, remonte, remonte, remonte. Il passe ses mains sous mon short jusqu'� l'aine. Mon dieu, il ne va pas falloir que cela continue comme �a sinon mon �rection va �tre encore plus manifeste. Bon ! Je crois qu'il n'a pas vu. Il palpe mon short, mes cuisses et mes poches. Il en extirpe ma monnaie, mon paquet de clopes et mon briquet. De l'une des poches de cot� il en ressort deux pr�servatifs, oubli�s lors de ma derni�re nuit tropicale ! Il les pose sur la table, me regarde avec un petit sourire qui ne veut rien dire, mais qui veut tout deviner. " Monsieur, pouvez vous enlever votre tee-shirt s'il vous plait " Je r�ponds : " Vous savez, je n'ai rien en dessous ". Il juge bon que ce soit � lui d'en d�cider. Il tourne autour de moi en me fr�lant la poitrine et les t�tons ? Je ne peux pa! Des aller et retours tr�s lents font prendre la v�ritable dimension � ma queue. Je savoure tout en �tant un peu perplexe et inquiet. La porte s'ouvre : " Tout va bien Louis-Joseph ? " Tout va bien je finis l'inspection initiale je vous fais signe une fois que j'en ai termin�. Son coll�gue (un black Antillais aussi) s'en va. Louis-Joseph (maintenant, nous sommes plus intimes) reprend son inspection " initiale " de mon sexe. Il s'attarde maintenant sur mes bourses qu'il caresse avec beaucoup de douceur. J'en bave, sans trop savoir si je peux g�mir de contentement. Je reste muet. Il vient se coller � mon dos et je sens son souffle court sur mon cou et sur mon �paule. Il coulisse d'une main sur mon sexe et de l'autre me caresse les couilles et le p�rin�e. " Vous voyez Monsieur, je savais bien que vous me cachiez quelque chose de tr�s int�ressant. Je vais devoir faire un compl�ment d'inspection parce que vous me paraissez particuli�rement tendu". Je ne sais plus quoi penser. Allez ! Je me jette � l'eau. Je descends mes bras, je les passe derri�re moi et chope le paquet du douanier. Bigre ! Il est tendu, lui aussi au maximum. Il ne doit pas y avoir beaucoup de place dispo dans son ... ? Slip, cale�on, shorty. Je veux savoir. Je descends sa fermeture �clair d'uniforme. Pendant ce temps il continue de me palper, de me caresser tr�s lentement. Je dois dire que mon �rection fait honneur � ses caresses. Ma main p�n�tre dans son froc. Il est � poil sous son froc. A poil ? Non. Il me semble que mon beau douanier est bel et bien ras� tout frais, et de partout. En tout cas sa respiration sur mon cou se fait plus rapide, plus haletante. Vu ce que j'ai dans la main, le bougre poss�de une belle arme de destruction massive. Pr�puce long recouvrant bien le sexe. Je le fais glisser pour ressentir une petite moiteur digne de l'excitation que mon beau douanier a pu ressentir. Je ressors ma main avec la goutte au bout des doigts et vient lui faire glisser sur ses l�vres. Il me suce les doigts avec fr�n�sie. " Vas-y, encore. Encore plus. J'ai envie de beaucoup plus ". Bouillant le Louis-Joseph. Je d�grafe sa ceinture, calmement je fais descendre son froc, lui palpe encore son sexe tendu. Je me retourne. Et Hop ! En me baissant, je lui descends d'un coup son froc jusqu'au chevilles. Je ne peux pas faire autrement que de lui caresser ses mollets, ses cuisses et son cul bomb� et dor�. Je lui mordille ses fesses entre baisers et coups de langue tr�s appuy�s. Mon lascar se gondole et soupire de plaisir. Mes deux mains �cartent ses fesses : il g�mit. La porte serait-elle ouverte ? Ma langue fouille sa raie. Il glousse et se penche en avant. FEU VERT. J'attrape ses hanches et ma langue vient lui faire la plus d�licieuse des caresses. Son cul s'ouvre, je le sens bien, d�tendu, pr�t � tout. Je le l�che consciencieusement, longuement, patiemment. Il attrape mon short. En sort une capote. " Equipe toi, j'ai envie de t'avoir en moi. Viens d�fonce moi ! " Je m'�quipe. Pendant ce temps il m'a repris en main et m'astique pour ne pas que je d�bande. Je crache sur ma queue �quip�e et je me pr�sente sur sa raie. Il me tient toujours ferme. Il fait le travail tout seul. Il guide ma queue � l'entr�e de sa porte de jouissance. Je n'ai plus qu'� pousser un peu. J'entre doucement, mais surement. L� ! Il m'attrape les fesses et me pousse d'un coup vers lui de fa�on � m'empaler direct dans son cul. Il a juste un " Ho " de plaisir m�l� de douleur furtive. Mon beau b�b� Antillais n'en est pas � sa premi�re, on dirait. Je l'avais d�j� devin�. " Donnes moi du plaisir comme tu le veux, mais fait moi grimper haut, tr�s haut " Je n'en demandais pas tant. Je ne demandais m�me plus l'autorisation. Je me suis amus� � coulisser tr�s lentement, faisant ressortir mon sexe de son cul � plusieurs reprises pour mieux m'enfourner, toujours doucement, lentement. " Viens, merde, d�fonces moi ". Je ne fis aucun commentaire et continuais ma lente progression, ma lente excitation. Mon va et vient avait quelque chose d'irr�m�diable, d'insistant, d'�ternel, de languissant. Je prenais un plaisir rare de le p�n�trer de cette fa�on. A chaque fois que je ressortais il poussait un " HAH " de plaisir. A chaque fois que je le p�n�trais, il devait fermer la bouche et je n'entendais qu'un " MMMM " murmur� l�vres ferm�es. Je continuai mon exercice pendant un temps qui me paru (apr�s coup, fort long. J'�tais au maximum de mon �rection et rien ne pouvait me faire baisser � ce niveau. " Attends, je vais me mettre � plat dos sur la table, j'ai envie de te voir me faire l'amour " En un rien de temps nous avions chang� de position et je reprenais, d'une mani�re inexorable mes lentes p�n�trations et mes lentes sorties. Il se mordait les l�vres, il fermait les yeux. Il semblait parfois pr�t � tomber en pamoison tellement ses yeux roulaient et louchaient de plaisir. Ses commentaires muets mais bien sonores m'excitaient encore davantage. Je ne pouvais pas m'arr�ter de le pistonner avec une tr�s grande lenteur. Son sexe plaqu� sur son ventre avait atteint des proportions plus que g�n�reuses. Les gouttes qui perlaient de son sexe tendu d�goulinaient bien au dessus de son nombril, humectant le bas de sa poitrine. Voir son sexe aussi grand, aussi beau, aussi tendu me donnait encore plus d'envie que cela dure, dure, dure encore. Brutalement, il a �t� secou� par deux fois d'une fa�on tr�s brutale et tr�s tonique. Son �rection que ces spasmes annon�aient a �t� extr�mement g�n�reuse et puissante. Ses deux premiers jets de sperme pass�rent bien au-dessus de sa t�te pour finir sur le sol, apr�s la table. Ensuite, il a eu encore 6,7 ou 8 jets, moins puissants qui lui inond�rent le thorax. Je crois que je n'avais jamais vu un mec �jaculer comme �a. Quelle puissance. Sans que je m'en rende compte, j'avais acc�l�r� la cadence et je continuais de le pistonner avec encore un peu plus d'ardeur. Mon �jaculation se bient�t fit sentir et ma jouissance a �t� � la mesure de la sienne. J'avais l'impression de compl�tement me vider. Lui restait compl�tement affal� sur la table, sans bouger, sans m�me presque respirer. Je suis rest� un moment en lui et, me penchant je l'ai embrass� tr�s tendrement. Notre baiser a dur� un tr�s long moment. Je crois que tous les deux on avait l'impression qu'il fallait que nous restions embo�t�s comme �a pendant encore un bon moment. Oh oui ! Encore . Je me suis r�tabli dans une position verticale normale. Lui, restait allong� sur la table. Je lui ai pris la main et je l'ai aid� � se remettre droit. Il semblait parti ailleurs. Il s'est assis sur la table toujours sans bouger. " Tu vas bien. Tu n'as pas l'ai d'�tre dans ton assiette " Il ne r�pondait rien. La crainte qu'il ait un malaise m'a travers� l'esprit. Mais, tr�s vite il a dit : " Non ! Je vais bien. Tu viens de me faire vivre l'un de mes plus grands moments de jouissance. Et j'ai du mal � atterrir " Ouf ! J'�tais soulag� et aussi content de voir qu'il avait appr�ci�. De nouveau un long baiser. Nous nous sommes rhabill�s et nous ne pouvions rien faire d'autre que de rester plant�s l'un devant l'autre. Je l'ai aid� � remettre sa cravate en bonne position. De l'ordre dans nos tignasses. Tout allait bien ! La porte s'est ouverte brutalement. " Alors Louis-Joseph, des probl�mes avec ce Monsieur ? " " Non Chef ! Tout va bien. Juste une petite formalit� administrative encore � r�gler. Sinon, aucun souci. Tout va bien " La porte referm�e, il est venu m'embrasser tr�s tendrement. " Monsieur, dit-il d'un ton rieur, il ne me reste plus qu'une seule chose � vous demander. Pouvez-vous me donner un num�ro de t�l�phone pour que je puisse vous joindre en cas d'urgence ou de n�cessit� " Ses yeux emplis de malice et son sourire ont provoqu� un grand �clat de rire sonore de ma part. Nous sommes tomb�s dans les bras l'un de l'autre. " Tu finis ton service � quelle heure ? " " Je crois qu'il ne me reste plus qu'un quart d'heure " " Alors, je t'attends au bar. Ensuite je voudrais bien faire plus ample connaissance. Et tiens, je le dis comme je le pense. Si tu n'as rien � faire de sp�cial ce soir, on peut diner ensemble et je t'emm�ne visiter mon appart. Alors ? Qu'en dis-tu ? " Il resta un moment songeur. Puis avec un grand sourire il me dit : " Je crois que nous allons passer une bonne superbe soir�e. Attends-moi ! " Toute la soir�e fut agr�able, d�tendue, heureuse. Nous avons reparl� avec de nombreux rires de la " fouille initiale " et de notre jouissance partag�e. Il est venu chez moi. On a pris un verre. Puis, le dernier. Le dernier avant quoi au fait ? A ma plus grande joie, il est rest� dormir avec moi. Enfin ! Dormir, certes, mais pas tout de suite. Nous avons encore go�t� nos corps et l'avalanche de caresses re�ues et donn�es m�ritaient bien que nous nous t attardions encore. On se revoit tr�s r�guli�rement. A chaque fois, c'est la m�me joie, le m�me d�sir. M�me si nos �jaculations ne sont pas � la hauteur de notre premi�re. Mais � chaque fois le d�sir d'enchanter l'autre est toujours l�. Pour ma part, je dois dire que lorsqu'il me fait l'amour, je ne suis pas loin de planer dans une autre dimension. Son sexe est un vrai distillateur de PLAISIRS renouvel�s. Runner91R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. 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