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Un beau cadeau de No�l.

Il y a 2 ans, je venais de trouver du travail dans une agence d'int�rim � Paris et j'habitais un petit appart.
C'est d�cembre et je ne pourrai pas aller dans ma famille pour No�l que je passerai seul. Le soir apr�s le boulot, j'aime me balader sur les boulevards et dans les magasins tout illumin�s et c'est l� que je me suis d�couvert un fantasme : je me taperais bien un mec habill� en p�re No�l. Pas celui qui est en veste, pantalon et bonnet rouge, non, celui que je voudrais c'est celui qui a le grand manteau � capuche. Pourquoi ? Je ne sais pas !

Un coll�gue me dit que plusieurs soci�t�s recrutent des mecs pour aller chez les gens porter les cadeaux aux enfants. Il me vient une id�e : si j'en louais un ! Je m'arrange pour savoir les coordonn�es des soci�t�s qui offrent ce service et le samedi d'apr�s j'en appele d'une cabine t�l�phonique.

Je leur dis que je suis seul � No�l et que j'aimerais qu'un p�re No�l vienne partager la soir�e avec moi. J'essuie quelques refus (on a d� me prendre pour un pervers ou un cingl�) puis, curieusement, je fais la bonne pioche.

Le mec qui est au bout du fil me dit que �a peut se faire; Je vais donc le voir aussit�t, je lui r� explique ce que je veux, il pianote sur son ordinateur et trouve quelqu'un correspondant � ma demande. Donc, march� conclu !

Le soir du 24 d�cembre, j'ai achet� du champagne et ce qu'il faut pour d�ner, je me douche, me parfume, enfile un string et un fute noirs et une chemise � rayures. Je mets la table, des bougies, je tamise les lumi�res, je mets de la musique douce.

Vers 22 heures 45, mon invit� arrive. Au poil ! Il a un manteau rouge et des bottes en velours rouge, de longs cheveux et une longue barbe, blancs, brillants et boucl�s sous sa capuche.

On boit du champagne, le d�ner se passe bien. A la fin, tenant son r�le de p�re No�l au s�rieux, comme un enfant, il m'invite � m'asseoir sur ses genoux. Il caresse mes cheveux, sa main s'�gare dans l'ouverture de ma chemise, s'attarde sur mes t�tons, les presse doucement. Mon sexe se met � durcir tr�s vite.

J'hasarde une main sous son manteau, j'y trouve une cuisse nue l�g�rement velue (putain! Il n'a rien en dessous !) Si ! En remontant plus haut, je m'aper�ois qu'il porte un boxer, et ce boxer est bien rempli !
C'est qu'il a l'air d'avoir un sacr� morcif mon p�re No�l, je sens entre mes doigts ses grosses couilles et une verge grosse comme une canette de bi�re.

Pendant ce temps, il s'est occup� � explorer mon fute et il me malaxe le sexe d'une main experte. Nos l�vres se cherchent et on se roule des pelles d'enfer (Pour moi ce n'est pas facile, des boucles de barbe viennent me boucher les trous de nez, mais je ne veux pas qu'il l'enl�ve)

Je l'entra�ne dans la chambre et l�, � petits gestes lents et tendres, il me d�barrasse de ma chemise, de mon fute puis de mon string.

Il m'allonge sur le lit et commence � me piper voluptueusement, c'est super comme sensation, il suce tr�s bien et en m�me temps mon bas-ventre est caress� par les douces boucles blanches de sa barbe et ses cheveux.

A ce train-l�, je ne vais pas tarder � gicler, mais je me retiens tant que je peux pour que ce moment dure le plus longtemps possible. J'ai r�ussi � r�sister, je m'assois au bord du lit, il est debout devant moi, j'�carte les pans de son manteau. Comme je l'avais suppos�, il porte un boxer, mais pas n'importe lequel : il est rouge avec une ceinture en fourrure blanche, il est p�re No�l jusqu'aux sous-v�tements. Ravi de cette d�couverte, je le suce � travers le boxer puis, n'y tenant plus, je le fais descendre le long de ses jambes fines et muscl�es. Ah quelle biroute ! Des comme �a on en voit peu, pas tr�s longue mais �norme et bien dure, des grosses couilles soigneusement ras�es et une petite toison blond/roux en forme de triangle bien entretenue. Un vrai r�gal !
Je vais � la d�couverte de ses fesses, elles sont bien rondes et bien fermes comme je les aime.

Je prends en bouche l'objet de mes d�sirs, je le pompe goul�ment tout en lui p�trissant les couilles et les fesses. J'en ai plein la gueule, je roule ma langue dans tous les sens, il en g�mit de plaisir. Je r�ussis � introduire un doigt dans son cul, il a l'air d'aimer car il continue de glousser, je lui en mets un autre, je sens son cul s'ouvrir, au troisi�me doigt, il n'en peut plus et me demande de le prendre.

Je me l�ve, pose un pr�servatif, me glisse derri�re lui, retrousse son long manteau, pr�sente ma bite sur sa prunelle et pousse par petits coups l�gers, je le p�n�tre sans effort et m'active en lui de plus en plus fort en pensant que je r�alise mon fantasme de me taper un p�re No�l.

Je le lime un bon moment tout en m'occupant de son gros morcif mais ressort avant d'�jaculer. C'est que j'aimerais bien me faire mettre, moi aussi, �a m'a donn� des id�es tout �a!

Je me mets en levrette sur le lit, il se met � son tour un pr�servatif et vas-y que j't'encule ! J'appr�hendais un peu de prendre ce gros morcif dans le cul mais m�me pas mal ! Il s'y prend bien mon p�re No�l ! Il doit avoir de l'exp�rience ! Schlack ! Schalck ! Fait sa grosse bite. Je sens ses baloches frapper sur moi. Super bien !

Sans doute pr�t lui aussi � d�charger, il sort de mon cul, enl�ve nos capotes, saisit nos deux bites et les branle ensemble. C'est moi qui gicle le premier, suivi aussit�t par les jets chauds du p�re No�l.

Un coup de lingette pour �ponger et on s'�tend sur le lit, il n'a gard� que ses bottes sa barbe et sa perruque. On se repose un peu, on a remis �a dans la nuit.

Quand les lueurs du matin sont apparues, je me suis r�veill� pressant la perruque blanche et boucl�e sur mon coeur. J'ouvre les yeux, la perruque est vide, le p�re No�l a disparu.

A sa place, pr�s de moi, je d�couvre le mec qui m'avait re�u dans son bureau quand j'ai lou� mon p�re No�l.

Il a gard� des bottes de velours rouge et a d�j� la bite en l'air . . .

zicom

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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