Cyrillo

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Le banquet.

Tout a commenc� par une annonce que j'avais remarqu�e � la sortie d'un bar o� j'allais souvent. Sur l'affiche on pouvait lire : " Banquet au 2500. " Banquet? Je me demandais bien ce que cela voulait dire et, o� se situait ce 2500? Il y avait un num�ro de t�l�phone au bas de l'annonce. D�s que je fus rendu dans la rue, j'ai appel� avec mon cellulaire. Sur le papier, en filigrane, des dessins �rotiques garnissaient l'arri�re plan. Tout se confondait dans un joyeux m�lange soit : queues �normes, fesses bomb�es, langues tir�es et d�goulinantes...Bref, tout �a �tait bien suggestif.

Apr�s deux sonneries, on m'a r�pondu.
-All�! Le 2500, que puis-je pour vous?
La voix de l'homme �tait tr�s particuli�re.
-J'ai pris connaissance de votre annonce, ai-je formul�. De quoi s'agit-il exactement?
-D'un banquet monsieur.
-�a je l'avais compris mais, de quelle genre de banquet?
-Comme on en voit rarement, m'a r�pondu mon interlocuteur en ricanant.
-Pouvez-vous �tre plus pr�cis.
-Au 2500 nous offrons � notre client�le une soir�e dont elle se souviendra longtemps.
J'�tais de plus en plus intrigu� et � la fois irrit� par tant de myst�res. Je l'interrogeai avec plus d'insistance.
-Il se pourrait que cela m'int�resse mais je dois en savoir davantage.
-Premi�rement, monsieur, est-ce que vous avez des amis? Je veux dire, des gars qui pourraient aussi s'int�resser � notre banquet?
-Assur�ment. Votre annonce est plut�t explicite. Elle m'a mis l'eau � la bouche. Mais si vous m'en dites plus, je leur en parle et peut-�tre seront-ils partants.
-Tr�s bien. Je vais vous mettre en app�tit. Pensez � une grande table garnie de tout ce qui peut vous faire envie, je dis bien tout, et plus encore. Le plus encore, je ne peux pas vous le d�voiler, ce sera � vous de le d�couvrir et de l'appr�cier, comme tant d'autres l'ont fait. J'ai vu des hommes quitter le banquet soul�s de tous les plaisirs go�teux qu'on peut esp�r�s lors d'un bon repas.
J'ai �t� vraiment piqu� de curiosit� et grandement all�ch�. Je ne sais pourquoi mais, d�s cet instant, je savais que j'irais � ce banquet et cela m�me si aucun de mes amis ne devait m'y accompagner.
-Cela m'int�resse, ai-je dis vivement. Que dois-je faire?
Il m'a alors demand� de trouver cinq autres candidats parce qu'il n'organisait de banquet que pour six personnes. Puis, quand j'aurais r�uni tout ce beau monde, je devais payer � l'avance � partir de leur site internet, l� o� l'on me r�v�lerait l'adresse du fameux 2500.

Je n'ai eu aucune difficult� � r�unir le groupe. Mais ce souper si excitant qu'il y paraissait, co�tait au bas mot 400 $ par personne.
Fort heureusement, mes amis et moi avions tous de bonnes situations et de bons comptes en banque. L'argent n'�tait pas un probl�me et, le fait que ce soit � ce point on�reux nous rendait encore plus avides de savoir.

Nous avions extr�mement h�te de nous retrouver � ce myst�rieux banquet, c'est pourquoi, le soir venu je roulais � vive allure pour nous amen�s tous les six au 2500 rue des Ifs.

Sans vouloir nous vanter, mes amis et moi �tions de beaux mecs bien roul�s, pour des gars qui amor�aient la quarantaine. Nous �tions tous sexuellement tr�s actifs et ce rendez-vous plus qu'�trange nous ravissait.

Une grande b�tisse semblable � un ancien manoir se dressait sur la droite derri�re une grille de m�tal. C'�tait le 2500 rue des Ifs.
En stoppant la voiture devant la grille, cette derni�re s'est aussit�t ouverte pour nous laisser passer avant de se refermer. J'ai roul� jusqu'� l'avant du b�timent et j'ai coup� le moteur. Tout le monde �tait impressionn� par le grand escalier qui conduisait � la porte. On a mont� les marches puis, en grin�ant, la porte d'entr�e s'est ouverte.
-Soyez les bienvenus messieurs.
Un homme tr�s �l�gant, une sorte de valet nous � invit�s � entrer � l'int�rieur.
Jamais nous n'avions �t� re�us dans un endroit aussi somptueux. Chacun de nous s'interrogeait � savoir si nous ne venions pas de mettre pied dans l'antre d'un grand magna du p�trole ou quelque chose du genre. Puis, deux immenses portes coulissantes se sont ouvertes et, le valet nous a fait signe de passer dans une autre pi�ce. Nous foulions une moquette somptueuse et, tout autour de nous le d�cor n'�tait que richesse et d�cadence. Nous en �tions tous bouche b�e.
C'est alors qu'un rire puissant nous a tous fait sursauter et se retourner.
Un homme r�ellement beau venait de faire son apparition dans la pi�ce. Il devait avoir la mi-trentaine.
-Heureux de vous voir messieurs, a-t-il prononc� en marchant vers nous. Je m'appelle Samuel. Mais vous pouvez m'appeler Sam. C'est moi le ma�tre des lieux et c'est moi qui organise les banquets. L�, dit-il en pointant l'homme qui nous avait ouvert la porte, c'est Paul, mon valet de chambre et homme � tout faire. C'est lui qui assurera le service ce soir. D'abord, j'aimerais conna�tre vos noms.
Chacun de nous a d�clin� son nom en serrant la main que nous tendait notre richissime h�te.
-Vous avez faim? A demand� Sam.
On a tous acquiesc�. Depuis le temps qu'on r�vait de savoir ce en quoi consistait ce fameux banquet.
Sam nous a dit de le suivre. Paul marchait devant et ouvrit une autre porte. Il y avait une immense table recouverte d'un drap blanc qui tombait jusqu'au sol.
-Intrigu�s, n'est-ce pas? S'amusait Sam de nous voir aussi impatients.
Paul s'est approch� de la table et Sam nous a dit d'en faire autant, tout en gardant une certaine distance. L�, d'un geste calcul�, Paul a agripp� le drap blanc et l'a litt�ralement arrach� � la table. WOW!!! Ce qu'on a aper�u nous a coup� le souffle.

� la droite de chaque convive se dressait blanche, dodue et palpitante, une paire de fesses superbes. Des fesses d'hommes, il va sans dire, ferme, sans poils aucun, l�g�rement �cartel�es. Elles semblaient �merger de la table tel un d�licieux plum-pudding sur un plateau. On ne pouvait apercevoir les queues et l'on distinguait tout juste l'amorce des couilles.
Notre h�te riait de nous voir aussi abasourdis. Jusque l� nous ne savions pas tellement ce que nous devions faire. Il nous a dit de choisir la place de notre choix. Moi j'ai opt� pour une paire de fesses bien charnues avec un anus d�j� dilat�. D'ailleurs, ayant fait le tour de la table, j'avais remarqu� que tous les anus �taient dilat�s.
Nous nous sommes assis et nous avions tous des �clairs de f�licit� dans les yeux. Sam a pris place au bout de la table. Lui aussi avait son cul � sa disposition. Puis il a frapp� dans ses mains. Paul nous a mis au courant de certains points qu'ils jugeaient importants de pr�ciser.
-Premi�rement, interdiction formelle de frapper, mordre, piquer ou rudoyer de quelque fa�on que ce soit les jolies fesses qui sont � votre port�e. Deuxi�mement, inutile de regarder sous la table � qui elles appartiennent car cette table n'entre pas dans les normes.
Effectivement, nous n'avions que de la place pour les genoux sinon, tout le reste �tait ferm� jusqu'au plancher. Paul a continu�.
-Chacun de ces culs sublimes a �t� m�ticuleusement lav� du dehors comme du dedans. Impossible d'y d�celer la moindre impuret�. Ils ont �t� aseptis�s. Vous comprendrez assez vite que l'enjeu ici est de vivre une exp�rience qui sort de l'ordinaire et, qu'il ne faut surtout pas h�siter � se laisser prendre au jeu. Apr�s tout, il vous en co�te 400 $.

Paul frappe vivement dans ses mains, la lumi�re devient tamis�e.
-Du vin messieurs? Propose Sam.
On a tous accept� d'embl�e.
�trangement, il n'y avait pas de coupe sur la table. Paul a pris une bouteille de vin qu'il a d�bouch�e puis il nous a remis � chacun une sorte de grosse paille tr�s flexible transparente. � notre grande stup�faction, il a vers� le vin dans une immense poire en plastique munie d'un embout tr�s fin, ce genre de truc dont on se sert pour faire un lavement...
Je venais de comprendre. Paul a introduit l'embout dans l'anus qui palpitait sous mes yeux et y a inject� une bonne ration de vin rouge. Et il a r�p�t� ce geste sur les six autres post�rieurs.
� la blague, Sam a alors lanc� :
-Cul sec!
Il a ri et il a pris son petit tuyau transparent qu'il a introduit dans le trou du magnifique cul qui tr�nait sous son nez. Ensuite, il a pos� ses l�vres sur le bout du tuyau et, on a vu monter le liquide rouge jusqu'� sa bouche. Il avala une bonne gorg�e puis il nous invita � en faire autant.
Paul a d�pos� des bouteilles de poppers devant chacun de nous, au cas o� cela s'av�rait utile. Je n'ai pas eu besoin de poppers pour m'ex�cuter et, tout comme Sam, j'ai bu une excellente gorg�e de vin rouge. Mes amis ont fait de m�me et nous en �tions tous ravis. Cette formule �tait g�niale. Manger et bander en m�me temps. Wow!
On nous a servi du vin � volont�. Les effets de l'alcool nous aidaient � relaxer et � appr�cier notre fabuleux banquet. Paul nous injectait du vin � la demande tandis que nous mangions une salade succulente.
Par la suite, le valet a plac� des coupes devant nous, ce qui nous a un peu intrigu�s.
-Ce vin �tait d�licieux. N'est-ce pas? M'a demand� Sam.
-Le meilleur que je n'ai jamais bu. Ai-je r�pondu le plus honn�tement du monde.
-Dans la coupe, il sera bon �galement. Pr�cise notre h�te en voyant Paul verser le vin dans les verres.
-Assurez-vous d'avoir bien vid� vos culs, d'intervenir Paul. La suite s'en vient.
On a tous tir� le vin de nos anus palpitants jusqu'� la derni�re goutte et on a retir� notre tuyau.
Apr�s nous avoir rempli nos verres, Paul a d�pos� des crudit�s devant nous. En fait, il s'agissait de fines carottes tr�s longues ainsi que de grandes lani�res de c�leri.
-O� est la sauce trempette? A questionn� Luc, un de mes amis.
-Elle arrive, a r�pondu Paul avec une autre poire � lavement munie d'un embout plus gros que le premier.
;Et comme avec le vin, il a farci g�n�reusement les sept culs avec une sauce trempette.
Il fut inutile de nous faire un dessin, nous n'avions qu'� introduire les l�gumes directement dans les anus pour aller y chercher la sauce qui �tait purement d�licieuse. Hum! Je prenais une gorg�e de vin � la suite de chaque bouch�e et il me semblait que ce que j'�tais en train de vivre �tait tout simplement divin. Je ne sais pas pour mes amis mais, pour moi c'�tait le cas. D'apr�s les sourires et les propos qu'on tenait, je crois que tout le monde se r�galait et jouissait de ces instants d'une mani�re difficile � exprim�e.
Pour profiter de tout ce qu'on avait mis � notre disposition et pour ajouter encore plus de piquant � la chose, j'ai sniff� des poppers.
Ouf! Le cul qui �tait ;devant moi me fit dr�lement envie. J'aurais �t� pr�t � y enfoncer ma queue mais, je ne crois pas que j'aurais eu le droit de le faire.
Sam me surveillait et il voyait bien que j'�tais dans les vapeurs. Il m'a murmur� que je pouvais rentrer la langue dans le trou du cul si cela me tentait. Bien s�r que oui. Je me suis jet� litt�ralement la face entre ces deux belles fesses charnues et j'y ai enfonc� la langue le plus loin que j'ai pu. J'y retrouvais le go�t de la sauce trempette et celui vin. Mes amis m'encourageaient � d�florer mon sublime cul quand, quelques autres en ont fait autant avec le leur.
On entendait des bruits de succion et des " Hum " par ci par l�.
Je crois que Sam s'amusait bien de nous voir si excit�s.
-Jusqu'� maintenant, ce repas vous plait? A-t-il questionn� � la ronde.
-J'ai l'impression d'�tre un ogre, a r�pondu Frank, un autre de mes amis qui se pourl�chait comme un porc.
Nous �tions bien impatients de savoir quel serait le plat principal. Il �tait �vident qu'on ne pourrait pas d�guster un steak de boeuf dans nos merveilleux fessiers. Notre curiosit� a vite �t� satisfaite lorsque Paul est arriv� avec un immense plateau ovale rempli de crustac�s.
Il a d�pos� son lourd fardeau au centre de la table et il nous a demand� si nous avions pr�lev� de nos culs toute la sauce trempette. Il nous semblait que oui. Alors, le valet a voulu savoir si nous aimions de beurre � l'ail, ce � quoi tout le monde a r�pondu par l'affirmative. M�me proc�d� : poire � lavement et injection de beurre fondu dans les anus. Paul nous a aussi remis une petite pince au bout arrondi.
-R�galez-vous maintenant! A lanc� Sam en saisissant une crevette de Matane qu'il enfon�a entre les fesses charnues. On a tous fait de m�me en alternant : crevettes, p�toncles, chair de crabe, chair de homard et moules.
Paul garnissait le plateau de crustac�s au besoin. Le vin coulait � flot, et un grand bol de salade C�sar accompagnait le repas. Olives noires, marinades en tout genre, pain, p�te de foie...bref, c'�tait un festin des rois. Mes amis et moi nous festoyions comme jamais dans notre vie nous l'avions imagin�. La pr�sence de ces beaux culs sur la table avait quelque chose de g�nial. Celui qui avait pens� � ce concept devait �tre un tr�s grand �picurien.
-Que faites-vous dans la vie Sam? Ai-je os� lui demand�.
-Rien. A-t-il r�pondu en s'esclaffant.
Il a pr�cis� que son p�re et son grand-p�re �taient des gens d'affaires redoutables et, qu'ils avaient mont� un empire dans le march� de l'alimentation. � la mort de son p�re, Sam enfant unique, a h�rit� de tout et � revendu toutes les soci�t�s � prix d'or.
-Je ne vivrai pas assez vieux pour d�penser tout cet argent, a-t-il conclut.
Nous �tions jaloux de sa bonne fortune. Bien que mes copains et moi n'�tions pas sans le sou, il �tait clair que nous aurions � travailler jusqu'� l'�ge de la retraite. Des banquets � 400 $, nous ne pourrions pas nous en payer � chaque semaine.

Puis, le repas fut termin�. Vient un temps o� l'estomac n'en peut plus. Paul nous a servi un digestif, dans des verres, puis on nous a fait passer dans une autre pi�ce. C'�tait un vaste salon avec un foyer qui flambait et o� tr�nait un immense lit blanc. En fait, je n'avais jamais vu un si grand lit, Au premier coup d'oeil, j'estimais qu'il pouvait facilement accueillir 20 personnes � la fois.

Sam s'est assis dans un fauteuil pr�s du feu et nous nous sommes install�s dans des sofas moelleux. Subitement, Paul a fait son apparition en proclamant : " Voici votre dessert! "

Sainte m�re de Dieu! Nos merveilleux post�rieurs venaient de faire leur entr�e.
-Reconnaissez-vous les fesses qui vous ont si bien servis? Nous interrogea Sam.
Les gars �taient divinement beau et bien roul�s. Ils se sont tous retourn�s pour montrer leurs jolis culs. J'ai tout de suite reconnu le mien.
-Celui-ci est � moi! Ai-je lanc� tout f�brile.
Tous les autres ont reconnu le leur.
-Maintenant, a d�cr�t� Sam, c'est Party time!

Paul nous a conduits aux douches communes d'o� l'on est ressorti avec une serviette enroul�e � la taille. Les jeunes hommes �taient agenouill�s sur le vaste lit, le cul en levrette.
Une lumi�re rouge tamis�e m�l�e aux lueurs du feu de foyer rendaient la sc�ne torride. Une musique techno, sourde et rythm�e fit monter en nous des pulsions animales. Mes chums et moi on a d�capuchonn� nos bouteilles de poppers et on en a sniff� un bon coup.
Puis, nous avons recommenc� � l�cher nos merveilleux post�rieurs sous le regard lubrique de Sam qui laissait son partenaire agenouill� d�faire sa braguette.
On nous a dit que nous pouvions enculer, sucer, et baiser ces jolis mecs de toutes les fa�ons. Plus rien n'�tait interdit et que, de toutes fa�ons nous avions aussi pay� pour �a. Wow! Finalement, 400 $ ce n'�tait pas si cher pour autant de plaisir!
Sans capote, puisque les candidats �taient impeccables et nous aussi, nous les avons bais�s tous les six dans l'ordre et le d�sordre. Ils ont suc� nos queues qui go�taient le beurre � l'ail et le vin rouge et l�ch� aussi nos jolis culs. Notre h�te, un verre de cognac � la main, jouissait sous les ardeurs de son partenaire qui lui pompait divinement la bite. Et Paul entra finalement dans le jeu en enculant le poulain de Sam.

La musique des backrooms, les lumi�res rougeoyantes, les flammes dansantes du feu, les vapeurs des poppers et d'alcool, tout cela contribua � nous mener � un nirvana qui ne connu son apog�e qu'aux petites heures du matin.
Ce fut la plus extraordinaire exp�rience de ma vie et j'esp�re la revivre bient�t.

Glouton

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