Cyrillo

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Avec mon cousin

PREMIERE PARTIE : Bavardages...

Me voici donc plus jeune, beaucoup plus jeune...
J'ai d�couvert depuis peu les plaisirs de la masturbation, et ceux en particulier que procure l'�jaculation. La toute premi�re, qui fut loin d'�tre la derni�re, s'est produite alors que je le branlais m�caniquement devant la t�l�, seul, pendant les grandes vacances pr�c�dant l'ann�e de cinqui�me. Ô joie, � extase. Mais ces petits plaisirs qui occup�rent d'une bien plaisante fa�on ces vacances demeur�rent solitaires !

Le jour de la rentr�e, je d�couvris que mon cousin Chris �tait dans la m�me classe que moi. Fils d'une soeur de mon p�re, nous n'�tions pour autant pas des intimes. Mais, en passant toute une ann�e ensemble, nous nous sommes rapproch�s.
A Paques, lors d'un repas de famille, qui consistait en un pique-nique au bord de l'eau, nous e�mes une petite discussion qui portait bien �videmment sur la chose. Discussion dont je vais m'efforcer de retracer les grandes lignes :

" Euh, je voulais te demander quelque chose Alex !
-Oui, vas-y, lui r�pondis-je.
-Euh, voil�. Tu t'es d�j� branl� ? " Il avait dit cela tr�s vite, et semblait regretter ses propos � peine les avait-il prononc�s.
" Oui, de temps en temps, r�pondis-je sans trop vouloir m'avancer. Et, et toi ?
-Oui moi aussi "
Un silence s'installa pendant quelques instants. Il se prolongea plus qu'il ne l'aurait d� � cause d'un couple qui faisait une promenade avec ses enfants et qui passait juste devant le banc sur lequel nous �tions assis pour s'�clipser du repas qui, comme tous les repas de famille s'�ternisaient.
Voyant qu'il n'osait pas aller plus loin, je d�cidais de ramener le sujet sur le tapis :
" Et, euh, quand tu fais �a, tu vas jusqu'au bout ?
-Comment �a jusqu'au bout ? "
Je sentais qu'il avait tr�s bien compris ce que je voulais dire, mais qu'une timidit� qui ne lui �tait pourtant pas coutumi�re avait pris le contr�le de son cerveau.
" Tu sais bien, tu �jacules � la fin ?
-Ah �a ! Euh. Oui, pas toi ?
-Si aussi "

Le reste de la discussion �tait � l'avenant. Je finis par apprendre que sa premi�re �jaculation datait du pr�c�dent week-end, et je lui appris la date de la mienne. La g�ne initiale s'�tait peu � peu dissip�e, remplac�e chez moi par une l�g�re excitation dont les effets ne furent heureusement pas trop visibles. Il m'avoua �galement qu'il avait vol� une revue porno dans un magasin, ce qui l'aidait � " le stimuler " selon lui. Moi, je n'avais que mon imagination, mais cela me satisfaisait. Il me raconta bri�vement ce qu'il y avait dans ce magazine, c'est-�-dire rien de tr�s original, hormis le fait que ce n'est pas le genre de revues que j'ai dans mon placard puisque celui �tait bien �videmment d'ob�dience h�t�rosexuelle.

Le repas se terminant enfin. Notre poign�e de main fut l'occasion d'un sourire : chacun remerciant ainsi l'autre d'avoir satisfait sa curiosit�, curiosit� l�gitime � cet �ge. On se s�para et on ne se revu plus avant la rentr�e !

DEUXIEME PARTIE : L'invitation

Les cours reprirent (trop vite). Evidemment, �tant rarement seuls tous les deux, nous ne parlions plus des m�mes th�mes que lors de ce repas familial. Il e�t m�me le premier jour le retour d'une petite g�ne, g�ne de s'�tre confi�. Mais elle ne dura que peu de temps et tr�s vite, nous repr�mes des rapports " normaux ".

Quelques semaines pass�rent.

Un mercredi, pendant le cours d'anglais o� nous �tions c�te � c�te, il me dit que ces parents partaient dans le sud d�s le jeudi soir et qu'ils ne reviendraient que le mardi suivant. Il serait donc seul pendant ces quelques jours, son fr�re de trois ans son a�n� �tant interne, il ne rentrait pas chez lui ce week-end. Il m'a donc propos� de venir chez lui le samedi et de rester dormir, apr�s tout, ce ne sera pas les lits vides qui manqueront. Il a plein de nouveaux jeux de Play � me faire essayer, son anniversaire datant de peu. Je lui dis que pour ma part, c'�tait ok. Nos m�res s'appelleraient pour mettre �a au point.

Tout �tant arrang�, ma m�re me conduit chez nos cousins le samedi vers 15h et me dit qu'elle viendra me chercher le lendemain � la m�me heure. Je descends de voiture, sors mon sac avec des affaires de rechange, fais un signe pour dire au revoir � ma m�re et m'�loigne de la voiture. Je sonne � la porte et Chris vient m'ouvrir, grand sourire aux l�vres.
On d�pose vite fait mes affaires dans la chambre de son fr�re, et on se r�fugie dans le salon o� la console tourne d�j�. (D�cidemment, la PlayStation m'aura beaucoup aid� dans mes aventures !) L'apr�s-midi passe relativement vite, on ne voit pas le temps pass�. A sept heures, on va mettre la table et on s'occupe de la pizza quatre fromages. C'est pourquoi d�s huit heures, nous sommes tous les deux allong�s sur son lit � papoter de tout et de rien, un coca � la main.

Il me dit alors : " Ca te brancherais de regarder mon magazine de cul ? "
Vous pensez bien que cette id�e ne m'�tait pas d�sagr�able.
" Oui, pourquoi pas. " Je pr�f�re rester prudent pour l'instant. Il ouvre alors son placard, farfouille dans le fond de son tiroir � chaussettes, en sors un paire qu'il d�fait pour en extirper une cl�. Puis d'un pas nonchalant, il va ouvrir le tiroir de son bureau et sors enfin cette revue. Je d�couvre alors des dizaines de photos de fellations goulues, de branlettes espagnoles et autres perforations de toute part. Mon sexe durcit violemment. Il me semble que le sien aussi, car une l�g�re bosse arrive � se faire remarquer � travers son jean's.
Il dit alors : " Euh, je sais pas toi, mais moi, ce truc �a m'excite.
- Moi pareil, peut-�tre qu'on devrait se soulager, tu ne crois pas ? "
Il semble h�sitant devant ma proposition � laquelle il ne s'attendait visiblement pas. Sans un mot, il sors de la chambre et reviens trente secondes plus tard avec un paquet de mouchoir. Il en prend un et m'en donne un.
" Ok, je veux bien, me dit-il, fais juste gaffe de pas en foutre partout. "
Il pose le magazine entre nous, sur le lit, et commence � se caresser � travers ses fringues. Je comprends alors qu'il attend de moi que je fasse le premier pas, �tant donne que c'est mon id�e � la base. Je sors alors ma queue tendue et me crosse tout doucement. Il fixe ma queue, respire un bon coup et m'imite. Sa queue est longue et fine. On se regarde et on compare. Difficile de savoir qui a la plus longue. On dit en rigolant que la prochaine fois, on se les mesurera. De sa main ;droite, il se branle, de sa main gauche, il tourne de temps en temps les pages du magazine. Moi je fais semblant de m'int�resser aux nombreuses photos, mais je ne reluque que sa queue sur laquelle glisse ses doigts. Au bout de quelques minutes, je vois tout son corps se raidir, et un flot de sperme se disperse sur le mouchoir qu'il avait plac� sur son bas-ventre. Son �jac pr�cipite la mienne. Je jouis comme rarement j'avais joui depuis ma d�couverte de la branlette. Sans doute l'excitation de se branler avec quelqu'un d'autre.
On se marre en voyant les t�tes que l'on fait au moment de l'extase.
Les mouchoirs sont jet�s aux toilettes et on retourne faire de la Play, comme si rien ne s'�tait pass�. Cependant, j'ai encore la vision de sa bite en permanence dans ma t�te, et j'ai donc du mal � bien jouer. La soir�e s'�coule paisiblement. Vers trois heures du matin, l'heure est venue d'aller se coucher.

TROISIEME PARTIE : Au petit matin.

Nous nous sommes donc chacun couch�s dans notre lit, dans une chambre diff�rente. Pour ma part, je m'endormis assez vite. Nous avions convenu la veille que le premier qui se r�veillera et se l�vera ira r�veiller l'autre. Mais pour le moment, j'�tais dans les bras de Morph�e.
Sur les coups de onze heure (heure du radio-r�veil de son fr�re), j'entendis la porte de la chambre voisine grincer, puis des bruits d'eau dans les toilettes. Peu apr�s, ma porte fut ouverte, une imposante lueur p�n�tra dans la pi�ce, et je vis Chris, seulement v�tu d'un cale�on, dans l'encablure de la porte :
" Debout, cousin. T'as assez dormi comme �a !
-Mmmm, laisse moi encore cinq petites minutes, r�pondis-je tout en �touffant un b�illement.
-D'accord, mais dans ce cas, moi aussi je me recouche. "
Envie de pouvoir r�pliquer, il se d�barrassa de son cale�on et se glissa nu comme un vers sous mes draps.
Quelques minutes pass�rent, et on se rendormit tous les deux.

11h35 : J'ouvris un oeil. Je sentis une main pos�e sur mon torse. Une main qui n'�tait pas la mienne. Mon cousin dormait coll� contre moi. Je sentis mon zgeg se redresser, �mu par ce contact entre nos peaux. Une petite tente se dessina sous les draps. Je commen�ai � me palucher doucement, en pensant � son corps.
Mais cette masturbation en solitaire produit quelques bruits de frottements, suffisant pour r�veiller Chris. Il commen�a par se d�caler sur le c�t�, et bafouilla quelques explications pour expliquer le pourquoi du comment de ce contact charnel. Il vit cependant assez vite que ce dernier �tait loin de m'avoir d�plu, et baissa les draps. Nos deux verges �taient debout, attendant les ordres.
Il saisit d�licatement ma queue, et devant mon h�sitation feinte, il me dit :
" Laisse-toi faire, on va se faire mutuellement du bien, tu verras "
Et on se sourit, je lui pris alors sa bite dans ma main, et on commen�a � effectuer de longs va-et-vient sur la bite de l'autre. C'�tait r�ellement bon. Je descendis flatter ses bourses, faisant danser ses couilles parmi mes doigts, et il m'imita. On s'embrassa quelques secondes, juste assez de temps pour que nos langues se rep�rent, se croisent et s'emm�lent. Que c'est jouissif la bouche d'un mec !
Tout d'un coup, il l�cha ma bite et se leva. Il me dit de ne pas bouger, qu'il reviendrait dans deux minutes.

Il fit ce qu'il a dit et rentra dans la chambre avec un m�tre de couturi�re dans la main.
" Bouge pas, m'a t'il dit. " Il me caressa quelques secondes pour redonner toute sa vigueur � ma tige puis posa le m�tre dessus avant d'annoncer " 13 cm, pas mal � 12 ans !! ". Et on s'embrassa � nouveau. Mes mains se balad�rent sur son torse, puis je lui pris la main et lui d�roba son m�tre :
" A ton tour. Bon voyons voir., dis-je en lui appliquant le m�me protocole, oui 13 cm aussi. On a des bites interchangeables, on peut continuer � se branler mutuellement. "
On �clata alors tous les deux de rires, sans pour autant laisser nos mains oisives. Elles repartirent en effet � la d�couverte du corps de l'autre puis se rabattirent sur son sexe. Son mouvement s'acc�l�rait sans cesse et je l'ai inform� que la s�ve montait.
" Pour moi aussi, r�pondit-il, acc�l�re un tout petit peu, et on sera synchrone. "
Je m'ex�cutai et il s'av�ra en effet que nos semences respectives jaillirent en m�me temps. J'en avais plein le bide et plain la main, lui aussi. Je pris mon T-shirt de la veille que j'avais abandonn� parterre avant de me coucher et l'essuya avant de m'essuyer moi-m�me.
On �tait heureux comme des m�mes et on se promit de recommencer bient�t, voire d'aller plus loin. Mais pour l'instant, on se doucha ensemble, en ayant des gestes sensuels tout du long de notre toilette commune, puis on d�jeun�t.

Il �tait d�j� deux heures, je fis mes valises et on joua � la console vu le (trop) peu de temps
Qu'il restait avant que ma m�ne ne vienne me rechercher. On se dit au revoir en �changeant un doux baiser, bien que je savais que de part et d'autre, il n'�tait pas question d'amour mais juste de d�couverte, de plaisirs en commun et de remerciements.

Le soir, je me suis branl� en passant � ce week-end de folie !

QUATRIEME PARTIE : P�che.

La fin de l'ann�e arriva, ce qui signifiait que nous serions tous lib�r�s des corv�es scolaires pendant deux mois entiers. Nous �tions tous ravis dans la classe de faire nos adieux � nos profs. L'�t� �tant d�j� bien install�, il a fait pendant les premiers jours de juillet une canicule qui durait. Je passais mon temps dans le jardin. C'est ainsi que j'ai eu l'id�e d'inviter mon cousin � faire une partie de p�che pour le lendemain, car mon p�re avait achet�, dans un village environnant, un terrain o� l'on disposait d'un plan d'eau rempli de poissons pr�sents juste pour notre plaisir. Je lui ai donc pass� un coup de fil, je lui ai demand� ce qu'il en pensait, et devant son apparente satisfaction, je lui ai expliqu� comment se rendre l�-bas. Nous avons en effet pr�vu de nous y rejoindre, car comme nous y allions tous les deux en v�lo, nous voulions aller au plus court sans nous rallonger en faisant d'abord aller l'un chez l'autre. Nous sommes �galement tomb�s d'accord sur l'heure, � savoir 13h30 l�-bas, ainsi nous n'aurions pas besoin de pr�parer un pique-nique, chacun mangera chez soi.

En me r�veillant ce matin, j'�tais d�j� extr�mement excit� en pensant � l'apr�s-midi qui m'attendait. Mes affaires de p�che �tant d�j� sur place, � l'abri dans une cabane de fortune, je n'avais pas d'autre chose � pr�parer que mon corps : je pris donc une longue douche o� je pris soin de bien laver chaque centim�tre de mon corps, notamment les centim�tres situ�s entre mes cuisses. J'ai piqu� du parfum � mon p�re, puis m'habilla d'un short, tout en omettant volontairement de mettre un cale�on, et d'un marcel. Apr�s avoir mang� avec mes parents, je leur ai dit au revoir et suis parti en v�lo. J'avais en sorte d'arriver en avance, afin d'installer les tabourets, l'eau etc. avant que Chris ne me rejoigne. Je suis donc arriv� vers 13H pass� de quelques minutes. Alors que je finissais de tout mettre en place, et qu'il n'�tait que 13h20, j'entendis le v�lo de Chris arriver. Je me dis qu'il avait d� partir plut�t de peur de se perdre, � moins que ce ne soit � cause de la m�me excita!
tion qui m'envahissait. On se salua et je lui ai pr�sent� le terrain, ainsi que notre lieu de p�che. Il se d�barrassa de son �quipement, et on s'attela � la t�che, motiv�s � l'id�e de ramener � la maison des anguilles et autres carpes.

Cependant, tandis que nous nous racontions les derni�res nouvelles, nous n'avions pas de touche. Tout se passait comme-ci les poissons, �tourdis par la chaleur, �conomisaient leurs forces et ne mangeaient plus. Mon esprit quitta peu � peu le monde de l'eau pour ne penser plus qu'aux cuisses de Chris que me permettaient d'observer dans leur int�gralit� son short trop petit. Tout � coup :
" Alex, ton bouchon ! Regarde ! me dit-il ". En effet, quelque chose de gros venait apparemment de se laisser tenter par mon ver de terre. Malheureusement, mon mat�riel �tait vieux et us�, si bien qu'il fut la victime de la lutte qui m'opposa au poisson. Je n'avais plus de ligne !

" C'est pas grave, continue-toi, ram�ne quelque chose pour moi., lui dis-je "
On est donc rest� � regarder son bouchon. Puis j'ai rang� mon mat�riel et me suis allong� sur l'herbe, pr�s du tabouret de Chris. J'ai pos� ma main sur sa cuisse droite et je suis peu � peu remonter jusqu'� effleurer ses bourses. En moins de temps qu'il n'en faut pour l'�crire, nous nous sommes retrouv�s tous les deux nus, allong�s l'un sur l'autre, nos mains caressant tout ce qu'elles pouvaient caresser. Nous repr�mes l� o� nous nous �tions arr�ter dans la chambre de son fr�re : ma main a pris possession de son chibre, la sienne coulissait sur mon zob. Pendant ce temps, mais nous ne nous en sommes pas rendus compte, son bouchon s'enfon�ait de plus en plus profond�ment dans l'eau.
" Attends, j'ai une id�e, ou plut�t une envie, ne dis rien, ne pose pas de question, ferme les yeux 2 minutes ! " lui ai-je dis. Il m'a ob�it. Je me d�gagea de son corps (c'est lui qui �tait sur moi) puis sans rien dire, je me mis � l�cher son gland, puis sa tige, puis ses couilles. Je l�chais tout ce qui �tait bon � l�cher. Il ouvrit les yeux, je vis son sourire, ses doigts me caress�rent les cheveux. Me sentant encourager, j'entrepris de mettre sa teub toute enti�re dans ma bouche. Puis j'entrepris de le sucer, aussi bien que je le pouvais, c'�tait ma toute premi�re pipe. Il g�missait sans retenue. Je sentais sa bite grossir encore et encore entre mes l�vres. Tout � coup, il me dit, ou plut�t il me cria " arr�te " et se retira. J'ai pens� qu'il regrettait et qui voulait stopper, mais ce n'�tait pas le cas :
" Waoo, un peu plus et je te jutais dans la bouche !
-Ca n'aurait pas �t� grave, tu sais.
-Oui, mais j'aimerais qu'on jouisse simultan�ment dans la bouche de l'autre, tu vois, c'est plus �quitable "
A �a pour voir, je voyais bien ! On se mit donc en 69 et je repris sa sucette en bouche, ma queue �tant elle aussi dans une tendre et appr�ciable chaleur moite. On s'activait ensemble, on se bouffait les couilles, le gland, nos langues d�rapaient et glissaient sur nos freins. Je n'en pouvais plus et j'ai inond� sa bouche. Mon �jaculation fut quasi-imm�diatement suivie par la sienne et j'ai go�t� pour la premi�re fois de ma vie au foutre. A ce sperme dont je r�vais temps mais que je n'osais pas encore avaler quand je me branlais. Le go�t �tait sp�cial au d�but mais au bout de quelques jets, je l'aimais d�j�. On se sourit, on s'embrassa, m�lant et nos langues et nos spermes. On se blottit dans les bras de l'autre ma main caressait ses fesses mais je compris qu'il n'y �tait pas encore pr�t. Ce n'�tait pas grave, j'�tais heureux, � d�faut d'�tre amoureux, et je saurai encore attendre un petit peu !

Ainsi se d�roula la plus belle partie de p�che de mon enfance !

CINQUIEME PARTIE : Saint Sylvestre

L'�t� s'�coula paisiblement, ponctu� de temps en temps par des instants de vases communiquant entre les couilles ce Chris et ma bouche, ou entre mes couilles et sa bouche ! En effet, durant ces deux moi de vacances, nous nous sommes vu peut �tre cinq ou six fois, et ce fut � chaque fois un r�gal pour les papilles. En particulier la fois o� nous avons jou� � la biscotte chez moi. Mais je m'�gare, je m'�gare !
Fin ao�t, une lettre du lyc�e �tait envoy� pour informer les �tudiants et leurs parents sur tout ce qu'il y avait � savoir en vue de la rentr�e des classes. Nous appr�mes ainsi que nous ne serions pas ensemble pour l'ann�e de quatri�me. Nos relations �tant purement amicales et sexuelles, ce ne fut pas un drame !
On se revu pendant les vacances de la Toussaint, et nous avons vite repris nos anciennes habitudes : nous avions la bite dure. Il me demanda si j'avais quelque chose de pr�vu pour le R�veillon, car ses parents ne seraient pas chez lui ni le 31, ni le 1er, de m�me que son fr�re. Je fus donc inviter � passer le r�veillon chez lui, avec un autre de ses copains, pr�nomm� Sylvain, que je ne connaissais pas. Je me suis empress� d'accepter cette invitation. Il m'informa que le Sylvain en question ne partageait pas nos trips, et que cette soir�e ne serait pas une partie de jambes en l'air � trois, mais juste une f�te arros�e (son p�re avait une bonne petite cave) en petit comit�.

Quelques semaines pass�rent. Ainsi que le P�re No�l.

La veille du R�veillon, le trente, Chris m'appela pour qu'on aille faire les courses. On se retrouva sur le parking d'une grande surface. Sylvain �tait arriv� avant moi, ils discutaient tous les deux. Ce jeune homme �tait magnifique, grand, brun, avec de beaux yeux verts, il �tait muscl� juste ce qu'il fallait, et-ce gr�ce � son entra�neur de foot qui les for�aient � faire de la musculation. Ses fesses, particuli�rement, �taient excitantes. Dommage qu'il ne soit qu'un h�t�ro farouche. On acheta de quoi faire � manger, principalement du vite pr�s : crevettes, pizza, b�che. Pas d'achat d'alcool car c'�taient nos parents qui r�glaient la facture et ils avaient interdits l'alcool. Mais encore une fois, pas de soucis, la cave du p�re de Chris contenait tout ce qu'il fallait. On se donna rendez-vous vers 18h le lendemain !
Ce soir-l�, je ne pus r�sister au plaisir de me branler en imaginant le corps nu de Sylvain se balader dans ma t�te.

31 d�cembre, 18h :

Cette fois, j'�tais arriv� le premier. Je me suis d�barrass� de mes affaires pour la nuit dans la chambre, puis avec Chris, on a install� la table et enfin nous sommes all� choisir la bouteille de whisky qui accompagnera nos bouteilles de coca. On entendit alors la sonnette, c'�tait Sylvain.

Les pr�paratifs finis, on s'installa dans le salon et on se servit notre premier verre de la soir�e pour trinquer � cette ann�e, qui restera inoubliable pour Chris et moi, qui s'effa�ait. On passa � table, on mangeait doucement et on parlait beaucoup. Cela m'a permis d'en apprendre davantage sur le bel inconnu. Chris surprit quelques une de mes coups d'oil loin d'�tre innocents et me fit comprendre sans un mot qu'il �tait inutile d'esp�rer.

A la fin du repas, nous �tions tous les trois passablement �m�ch�s, alors que la bouteille n'�tait pas beaucoup entam�e. Il n'en avait pas fallu beaucoup pour faire craquer nos jeunes organismes encore vierges de grosses so�leries.

On se mit devant la t�l� le temps de r�cup�rer. C'est alors que Chris nous dit qu'il avait trouv� r�cemment une cassette porno dans les affaires de son p�re :
" Ouais, je vous le dis. Il a d� enregistrer �a sur Canal. Mais il n'a pas d� penser que je fouillerais sans son armoire.
-Tu pourrais peut-�tre aller la chercher pour qu'on puisse la matter, non ? " C'�tait Sylvain l'auteur de cette proposition. Apparemment, l'alcool prenait le contr�le de son cerveau. Chris accepta et revint une cassette � la main qu'il mit dans le magn�toscope.

La sc�ne qui se d�roulaient sous nos yeux montraient une blonde et trois hommes. Comme d'habitude, les mecs n'�taient pas particuli�rement beaux, hormis leurs membres qui �taient de bonne taille. C'�tait somme toute tr�s excitant. J'�tais sur le canap� � c�t� de Chris, tandis que Sylvain �tait sur un fauteuil un peu plus loin.

" D�tes les gars, �a cous ennuie si je me soulage ?, ai-je demand�.
-Fais comme chez toi, d'ailleurs je vais en faire autant je crois " me r�pondit la voix de Chris.
On sortit tout les deux nos engins que l'on commen�a � astiquer. Sylvain nous regarda et en fit autant apr�s avoir respir� longuement. J'ai fix� ce cale�on que descendait puis cette bite qui s'exhibait. Elle semblait mesurer � peu pr�s 16cm, elle �tait donc plus grande que la mienne. Mais elle �tait surtout beaucoup plus large. Son gland tendait vers le violet. J'�tais m�dus� vers cette bite mais je me for�ais � regarder de temps en temps l'�cran.

Hormis les g�missements de la blonde et les bruits de frottements distinctifs d'une bonne vieille branlette, on n'entendait pas un bruit. Je remarquais que Sylvain regardait lui aussi de temps en temps ce qui se passait sur le canap�. Une fois, je le vis nous regarder avec tellement d'insistance, que j'ai l�ch� ma queue et j'ai pris dans ma main la bite de Chris. Il en fit autant. Sylvain �tait m�dus�.
" Tu peux venir si tu veux " lui ai-je propos�. Sa r�ponse fut de se retourner vers l'�cran.
Chris se pencha vers mon oreille et me murmura quelque chose. J'acquies�ai. Il se leva et nous dis qu'il allait chercher du sopalin pour tout le monde, car il ne fallait pas en mettre partout. Il s'absenta quelques instants, revint et s'approcha de Sylvain pour lui tendre des feuilles. Mais il se jeta sur lui, et moi de m�me. Nous r�uss�mes � deux � l'immobiliser.

J'�tais en face de la bite du prisonnier, que je m'h�tai de l�cher. Je lui fis deux trois coups de langue. " Ecoute, on veut pas te forcer, si tu veux qu'on arr�te l�, dis-le ! " Ordonna Chris. Il ne r�pondit pas. Alors on rel�cha notre emprise.
" Continue Alex, c'�tait bon ! " me dit-il.
Je repris donc mes caresses buccales, l�cha toute sa tige, lui goba les couilles, les fit rouler avec ma langue avant d'entreprendre la fellation proprement dite. Je sentais qu'il prenait vraiment son pied. Je levai les yeux vers lui et je vis qu'il appliquait le m�me traitement � la bite de Chris, qui �tait debout face � lui. Ce dernier lui caressait les cheveux. Sans me pr�venir, au bout de cinq minutes, Sylvain a d�vers� dans ma bouche des flots de pur�e. J'avalai et je pris l'initiative de lui nettoyer sa teub. Elle ressortit de ma bouche propre comme un sou neuf. C'est alors que j'entendis Chris jouir, que je vis Sylvain avaler, bien qu'un petit filet de sperme s'�chappait entre ses l�vres. Il vient le chercher avec un de ses doigts et l'avala lui aussi.
On �tait tous les trois �puis�s. Mais moi, je n'avais pas joui. Chris me proposa de le sodomiser. Je lui ai dit d'accord et ai demand� � Sylvain de me sucer pour lubrifier ma queue, pendant que je pr�parerais la rondelle de mon cousin.

Assis sur le fauteuil, j'avais le cul de Chris sur ma gauche. La bouche pulpeuse de Sylvain me su�ait. Je l�chais la rondelle de Chris, puis je lui ai mis mon index. Pendant ce temps, Sylvain passait de la cat�gorie pipeur d�butant � la cat�gorie suceur professionnel : en effet, sa bouche et sa langue ont vite appris les gestes du plaisir. Il faut reconna�tre aussi qu'il a eu un bon prof. Mon index allait de plus en plus loin dans l'anus de Chris, �largissait l'entr�e. Mon majeur le rejoint. J'ai failli m'oublier dans la bouche de Sylvain, tellement il me su�ait bien. Je lui dit de s'occuper de mes couilles pour que je garde mes forces pour le p�n�tration anale � suivre.

Sentant son anus bien pr�par�, Chris me dit vas-y. Je pr�sentai mon sexe devant sa rondelle et m'enfon�a en lui tout doucement centim�tre pas centim�tre. Une fois totalement entr�, je d�cula totalement et recommen�a la m�me op�ration. Il me dit qu'il n'avait ressenti aucune douleur. Je mis donc en route les coups de bassins, d'abord lents, puis plus violents, mes couilles venant frapper les siennes � chaque fin de course. Sylvain le masturbait.

On changea de position, Chris vient s'asseoir sur mon zgeg. Je finis par exploser dans ces tripes, alors que lui jouissait sur les doigts de Sylvain. Minuit sonnait !!
;Ce dernier les nettoya de sa langue, avant de venir me nettoyer la queue avec le m�me ustensile.

On alla chacun notre tout prendre une douche, les deux autres s'occupant comme ils le pouvaient pendant ce temps. Je vous laisse imaginer !

On d�cida de dormir tous dans le m�me lit, bien qu'il y avait un lit de disponible par personne. On s'endormit donc dans le lit deux places de Chris, moi �tant plac� au milieu. Le sommeil arriva rapidement pour nous trois, bien aid� pas notre fatigue (due aux �v�nements de la soir�e) et � l'alcool. Je me dis que le lendemain on ferait tous semblant que ce qui s'�tait pass� �tait � mettre sur le compte de la boisson.

Ce ne fut pourtant pas le cas. En effet, au r�veil, alors que nous �tions en pleine possession de nos moyens, je fus pris en sandwich pas mes deux amis : Chris m'enculait, j'enculais Sylvain et le branlais. Les draps s'en souviennent encore. Je fus m�me sodomis� par la large bite de Sylvain dans le courant de l'ann�e. Le fier h�t�ro avait en fait bien des choses � cacher.

MaQueue

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