Cyrillo

Page pr�c�dente

Epidode pr�c�dent

A l'internat avec C�dric -2

Les quinze jours qui ont suivi cette exp�rience avec C�dric ont �t� �tranges et, � vrai dire, particuil�rment excitants. En apparance, rien n'a chang�. Mais en r�alit�, C�dric joue � m'allumer comme un fou. Il est assez subtil pour que personne ne s'apercoive de rien. Mais je ne pouvais manquer de rep�rer ses multiples allusions. Il arrivait � me faire parvenir au moins une dizaine de messages par jour sexuellement implicites ou m�me tout � fait clairs. Le plus b�b�te a consist� � dessiner une bite sur ma gomme. Il avait d�j� l'habitude de raconter des blagues de cul mais maintenant, elles �taient plus fr�quentes et il me regardait directement dans ces moments l�, surtout en �voquant les fellations. Quand on joue au basket ou au foot, l'esprit de camaraderie virile nous invite � nous donner les uns aux autres des petites tapes sur les fesses ou " camion " aux burnes. C�dric ne s'est donc pas priv�. Et quand il m'arrivait de le faire, avec une grande mod�ration, il poussait de petits g�missements de plaisir.

C'est dans notre chambre, bien s�r, qu'il �tait le plus chaud. Toujours aussi exhib, il me faisait profiter de ses �rections matinales en repoussant l�g�rement ses draps de mani�re � ce qu'une de ses jambes soit couverte et l'autre pas. Par un �trange malheur, souvent sa bite bien dure �merger bien souvent de sous la couverture. Thomas, le troisi�me gars de la chambr�e, qui connaissait C�dric depuis longtemps, n'h�sitait pas � le vanner l� dessus mais ne s'en offusquait pas non plus. Les moments o� C�dric venait discuter ou chahuter, lorsque Thomas est sur son lit superpos�, se sont particuli�rement multipli�s. Le plus souvent, C�dric est nu et tandis qu'ils jouent, je suis sur mon lit en dessous, j'ai donc sa bite sous le nez. J'ai pu remarquer qu'elle n'�tait pas compl�tement molle dans ce cas. Pas en �rection, juste plus grosse, le pr�puce plus remont�. C�dric d'ailleurs n'h�site pas � utiliser une main pour la caresser discr�tement, la d�calotter un instant, � l'insu de Thomas bien s�r.

Ce climat semi-torride dure quinze jours, sans qu'il ne passe autre chose. Il faut dire que nous n'avons pas beaucoup de temps personnel et C�dric et moi n'avons jamais �t� seuls plus de quelques instants. Il n'emp�che, j'�tais infiniment troubl� et pour moi, c'�tait un peu la f�te du slip en permanence. Je sentais sans cesse une chaleur diffuse dans ma queue et mes burnes et sans bander � fond, ma bite �tait gonfl�e de d�sir et mouillait abondamment. Mes rares masturbations �taient br�ves et intenses, apportant un soulagement qui ne durait gu�re.

Une semaine avant les vacances de Toussaint tant attendues, la grand-m�re de Thomas est d�c�d�e et il a d� rentrer dans sa famille de mani�re impromptue. En apprenant cette nouvelle, C�dric m'a regard� avec un immense sourire qui m'a fait rater 4 battements de coeur, au moins. Nous avons appris �a le matin d'une journ�e charg�e. Elle est pass�e avec un lenteur infinie, d'autant que C�dric n'a pas un instant fait d'allusion sexuelle. Mon coeur battait � tout rompre, j'avais le souffle court et le calecon humide d�s que je songeais � la fin de cette journ�e...

Enfin, elle se termine et C�dric et moi nous allons nous retrouver seuls dans la chambre. J'arrive le premier et me met en sous v�tement et T-shirt comme d'habitude. Je m'allonge sur mon lit et ouvre un bouquin. J'ai d� relire la m�me phrase une vingtaine de fois sans la comprendre. Puis C�dric est arriv�. Il referme la porte avec le verrou derri�re lui. Je le note mais ne fait aucun commentaire. Il se d�shabille, int�gralement. Comme souvent. Sauf qu'il bande aux trois-quarts. Il est beau. Il a un corps d'�ph�be : muscl�, viril mais d'une virilit� de jeune homme. Il n'a pas de poil sur la poitrine, ou si peu. Son ventre est plat et semble doux. Mais c'est sa queue que je ne peux manquer de voir. Elle est grosse et gonfl�e et s'avance fi�rement tandis qu'il vient s'assoir sur son lit. Les pieds au sol, il �carte les cuisses et me dit d'une voix alt�r�e par le d�sir " Viens "

En d'autres circontances, j'aurai plus r�sister � ces pulsions que je souhaiterais �trang�res. Mais apr�s deux semaines de d�sir allant croissant, je n'ai pas la force de m'opposer et je vais � lui. Il me regarde un instant avec des yeux fi�vreux puis les ferme et tend son visage. Je me penche et l'embrasse. C'est tout d'abord un simple baiser, un peu maladroit mais tr�s vite, il devient profond : ;nos langues se m�lent et nos mains saississent nos visages, nos cous. Sans m'en rendre compte, je m'agenouille devant lui pour �tre � sa hauteur et notre baiser se poursuit, enflammant nos sens. Notre d�sir refoul� nous submerge et prend le contr�le de nos corps et de nos �mes. Mes mains commencent � explorer ce corps, si souvent admir�. Je caresse son dos, ses flancs, ses reins, ses cuisses, l'ext�rieur, puis l'int�rieur. Il m'arr�te un instant pour retirer mon T-shirt, lui aussi me caresse la poitrine. Puis nous reprenons notre baiser, fi�vreusement et mes mains continuent cette exploration charnelle.

J'en arrive � son sexe sans en avoir conscience, mais au premier contact, je sens une d�charge �lectrique. Lui aussi. Nous interrompons notre baiser pour nous regarder quelques secondes. La jouissance est toute proche, mais c'est bien trop t�t. Tacitement, nous laissons retomber l'excitation. Il me met une main sur l'�paule, m'invitant plus bas. Je m'assoie sur mes mollets et me retrouve face � cette bite majestueuse.

Enorme et fi�rement dress�e, elle m'impressionne dr�lement : je n'ai pas eu souvent l'occasion de voir des sexes masculins en �rection, en dehors du mien et celui-ci est hors normes : tr�s long et �pais, un gourdin de chair. Avec respect, j'embrasse le gland ros� et brillant puis je regarde C�dric qui acquiesce pour ensuite fermer les yeux et mettre la t�te en arri�re, confiant et offert. Je descend et embrasse ses couilles lourdes et l�g�rement velues : elles sont toutes douces. Je remonte doucement cette hampe avec de multiples baisers l�gers, go�tant cette peau satin�e.

J'arrive enfin au gland et je sors ma langue pour l�cher le liquide qui s'en �chappe. Mon baiser suivant se transforme en pipe, tandis que je commence � t�ter la queue de mon copain. Il g�mit doucement, m'encourageant � poursuivre. Je m'ex�cute mais me rend vite compte de l'�normit� de cette bite. Son gland et une petite partie du corps du p�nis emplissent toute ma bouche. Je m'applique toutefois, jouant avec ma langue et bien s�r, en la branlant sur la longueur. Je veille � rester d�licat pour ne pas le faire jouir, m�me si l'id�e de son foutre sur moi ou dans ma bouche m'excite terriblement. Malgr� ma mod�ration, C�dric se redresse et me fait interrompre mes caresses : il est au bord de l'explosion. Il m'invite � me lever et je me rends compte que ma bite a trouv� un chemin pour passer l'ouverture de mon calecon et se dresse elle aussi fi�rement. C�dric me met la main sur les fesses pour me faire approcher et me gobe directement la queue. Ce simple contact m'�lectrifie de suite et la jouissance arrive de suite.

Par un immense effort de volont�, je r�ussis � la retenir en partie. C�dric go�te � un petit jet de foutre qu'il avale de suite. Il comprend bien la situation et cesse de caresser ma bite pour se concentrer sur mes couilles, le temps que la pression retombe. Il est g�n� par mon cale�on et me le retire. Pas si facile avec une queue en pleine �rection.

Mais enfin, il reprends la fellation que je suis plus en mesure d'appr�cier. Je n'ai pas un sexe �norme comme mon amant mais il est de belle taille tout de m�me. Pourtant, il arrive � l'avaler toute entier et je me r�gale en sentant son nez dans mon pubis, mes couilles sur son menton et surtout ma queue au fond de sa gorge. La jouissance revient et cette fois, ni C�dric ni moi ne tentons de la retenir. Je pose mes mains sur sa t�te et lui m'a attrap� une fesse et une cuisse pour avoir ma bite bien � fond. La cadence va furioso et je ne le m�nage pas.

Quand j'explose enfin, je manque de m'�vanouir. L'excitation a �t� tellement longue et forte que la jouissance est comme un barrage qui c�de et emporte tout sur son passage. Je sens avec une �norme intensit� chacun de mes jets qui me paraissent puissants, longs et nombreux. C�dric avale tout sans h�siter. Apr�s quelques secondes, il me branle la queue sur toute sa longueur pour r�cup�rer jusqu'� la moindre goutte. Dans un �tat second, je me penche pour l'embrasser, me sentant amoureux comme je ne pensais pas qu'on puisse l'�tre. Notre baiser est tendre et je sens le go�t de ma semence.

A mon tour de lui donner du plaisir, je m'agenouille � nouveau et avale sa tr�s grosse queue. Je suis motiv� pour lui donner le maximum de plaisir et arrive � l'engloutir aux trois-quarts. C�dric se laisse aller � la caresse et s'allonge en travers de son lit. Je peux admirer sa poitrine magnifique, son ventre plat et ses abdominaux que se contractent. Je sens sa queue qui grossit encore et comprend que sa jouissance arrive. J'accentue mes soins, une main qui branle son sexe sur la longueur, ma bouche active et l'autre main qui lui serre les couilles. Son corps se contracte et un flot de foutre se d�verse dans ma bouche en longs jets �pais.

Il pousse un grognement peu discret puis se rel�che en arri�re pour se d�tendre. Je branle doucement sa queue en la t�tant pour r�cup�rer moi aussi tout son jus. Elle d�senfle un peu et je la laisse reposer sur le ventre. Je dois avouer que j'adore la regarder quand elle est ainsi : encore grosse, humide et palpitante, tandis que le pr�puce se remet partiellement en place.

C�dric en travers du lit est mal install� et se replace dans la longueur. J'ai peur qu'apr�s la jouissance, il ne devienne un goujat, salissant notre �bat mais non. Il m'invite � le rejoindre et me prend dans ses bras. Maintenant, je crois au Paradis, j'y �tais.

Nous nous sommes embrass�s, nous nous sommes assoupis puis nous sommes all�s prendre une douche et d�ner au self. J'�tais � 3000 m�tres dans les nuages mais C�dric avait retrouv� son panache habituel, dissulant habilement notre troublante exp�rience � nos camarades. Et enfin, nous nous sommes retrouv�s � nouveau seuls dans la chambre...

Merci pour les gentils commentaires re�us suite � la premi�re partie. J'esp�re que cette suite vous a plu. N'h�sitez toujours pas � m'adresser un petit commentaire ou un mot d'encouragement � l'adresse lelionvert at

Le Lion Vert

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :

ob.ob5.ru site gay gratuit. Textes et histoires gay.



"histoire gay mature""baise à 3""se faire branler""baise en voiture""histoire gay vestiaire""histoires cyrillo""recits sexe""cyrillo biz""beurette twitter""il jouit dans sa bouche""recit erotique travesti""histoire gay soumission""histoires cyrillo""histoire gode ceinture""histoires gay cyrillo""esclave gay""histoires cyrillo"cyrillo.biz"histoire de suceuse""histoire de sewe""histoire gay black""bbk gay""première fellation""recit gay inceste""encule a sec""histoire sex gay""recit de cul""histoire gay gratuit""x story histoire""hds gay""histoire de mature""sex shop gay paris""photo cul gay""histoire gay gratuit""recits xstory""recit sauna gay""histoires de cul""histoire d inceste gay""recit cocu""zone dial com""histoires gay soumis""cyrillo blog""histoires gay cyrillo""lope soumis""histoire gay salope""recits gays gratuits""cyrillo texte""histoire sauna gay""wc gay""histoire erotque""récits pornos""histoires gays""je suce mon pere""histoire gay sauna""histoires gay sm""histoire gay sport""pompeur gay""histoires cyrillo"cyrillogay"histoires gay gratuites""grosse queu""histoire beur gay""visite médicale gay""enculee par son chien""cyrillo histoires""langue dans le cul""texte porno"sneakersgate"gay cyrillo""esclave gay""recit depucelage gay""sodomie gays""cyrillo histoire""histoires cyrillo""histoire ero""sauna california"zobapapa"plage naturiste gay""hetero suce""blog de cyrillo""maitre nageur gay""recit gay x""zone dial com"