Non voyant auto-stoppeur. 2�me partieApr�s un petit repas bien sympa dans une auberge savoyarde, nous sommes donc all�s chez lui. Ce repas fut pour moi, un tr�s bon moment. Je ne me sentais pourtant pas tr�s � l'aise en arrivant dans ce resto. En effet, nous �tions " bruts de pomme ", frais d�barqu�s de notre petite vir�e, et toujours dans les m�mes tenues. J'avais ajout� un tee-shirt noir, mais je ne me sentais pas � l'aise, dans ce resto, avec mon short en " toile parachute ". Pascal lui, rayonnait de vrai contentement et plaisantait avec les serveurs qui, et c'�tait notoire, le connaissaient tr�s bien. Nous repartons dans ma voiture, et l�, comme s'il pouvait voir comme tout le monde, rien qu'au bruit du moteur et des d�c�l�rations, il m'a guid� jusque devant chez lui. J'�tais bluff�. " Alors, �a te la coupe hein ? C'est une question d'habitude. J'ai appris � conna�tre tous les bruits de mon quartier et ils me guident Allez ! Viens, on monte. Toujours d'accord ". Comment ne pas �tre OK. J'�tais avec un mec au corps superbe qui d�gageait je ne sais quelle tr�s forte impression de s�r�nit� et de joie de vivre. Une fois entr�, il me dit : " Fais comme tu as envie, mais surtout ne d�place aucun meuble sans me le dire, il en va de ma simple survie. Je blague. Non, mais dit-moi si tu bouges quelque chose, sinon je ne retrouverai plus rien. Installe toi dans le canap�, je vais nous chercher une bi�re et je vais aux chiottes ". Je m'installe. J'enl�ve mes tennis ; mes chaussettes et mon maillot. Me voil� � nouveau avec juste mon short " l�ger ". Je me vautre dans le canap�. Lui ? Il va, il vient, ouvre un meuble, en sort 2 verres, ouvre un placard et y prend un plateau. Il entre dans la cuisine, etc, etc,etc. Je suis tr�s impressionn� par son aisance, qui pour moi, me para�t tr�s �tonnante. " Tu vas bien ? " Me lance-t-il. " Tout est ok pour moi ". Il s'approche du canap�, d�pose le plateau avec tout ce qu'il faut dedans, touche le canap� et viens pratiquement s'asseoir sur moi. " Pardon, mais j'ai l'habitude de me mettre l�. Dis donc, tu es comme moi. Nous sentons un peu beaucoup le renard des sables en rut. Je pense qu'apr�s avoir bu, il serait bon que nous passions sous la douche " Il m'�tonne et je suis �merveill� et fier de le voir si � l'aise. " Allez le fennec, � la douche " A oui, enfin ! Mais quelle douche. En fait, � la place d'une baignoire, Pascal avait fait install� dans l'alc�ve, une douche avec toute une partie carrel�e au sol, un peu comme une plage pr�s du receveur, le tout ferm� par une glace coulissante � 3 volets. Grandiose et cela fait avec un go�t tr�s s�r. " Allez vas-y, je te rejoins, je vais fermer la porte, je crois que j'ai oubli� de boucler ". Me voil� sous l'eau chaude et son installation luxueuse d�verse sur moi un flot de bonne eau chaude par l'interm�diaire des 6 ou 7 buses murales, un vrai bonheur. J'ai sursaut� lorsque ses mains sont venues me toucher au niveau de mes t�tons. " Tu sais Andr�, c'est le privil�ge des gens comme moi. Toi, tu ne m'as pas entendu arriver. Alors que moi, � ta place, je t'aurai d�j� entendu entrer dans la pi�ce. � ce que je vois, toujours aussi sensible des t�tons ? ". Je me suis alors laiss� port� par ses caresses. Bien s�r, je bandais. Bien s�r il bandait et venait caresser ma raie avec son membre dur et lev� comme il se doit. Je fermais les yeux et je m'abandonnais � ses envies. Ce n'�tait pas possible. Comment faisait-t-il pour avoir autant de mains ! Mon corps fr�missait de partout. Lorsqu'il a arr�t� de me caresser, j'ai ouvert les yeux pour le voir prendre un verre, bouger le robinet thermostatique et le remplir d'eau. " Ferme les yeux, je veux te faire une surprise. Ne triche pas ". � nouveau, j'ai senti une de ses mains me fr�ler le ventre, descendre et happer mon sexe tendu. Il m'a sembl� reconna�tre l'effleurement de mon sexe par le bout de ses l�vres. Je ne trichais pas, mes yeux restaient ferm�s. Ila appuy� sa bouche sur mon sexe et d'un seul coup, l'a gob�. La sensation fut inattendue et forte. J'avais l'impression que mon sexe �clatait. En m�me temps, c'�tait d'une intensit� et d'une douceur inconnue. Je m'abandonnais. Il �tait entrain de me pomper doucement mais s�rement et je ne reconnaissais aucune des pipes que j'avais eu � " subir ". Il a laiss� mon sexe. Il m'a sembl� l'entendre cracher. Et il a recommenc� de plus belle. J'�tais au bord de l'explosion. " Pascal, je ne sais pas ce que tu me fais. C'est tr�s, tr�s, tr�s bon et j'ai envie de savoir. Je vais ouvrir les yeux ". Pas de r�ponse, sinon qu'il continuait de s'activer sur mon sexe. Je l'ai alors vu ; entrain de me pomper avec ses joues gonfl�es � bloc. Il montait, descendait le long de ma tige. J'avais l'impression de baigner dans je ne sais quoi. Il a arr�t�, s'est vid� la bouche. " Alors mon p'tit D�d�, j'ai comme l'impression que tu viens de faire une d�couverte ? Je me trompe ? Tu n'avais jamais eu de pipe � l'eau chaude ? Tes amis ou tes amants ne sont gu�re cr�atifs alors ? ". Pascal �tait rayonnant, apparemment fier de lui et de m'avoir fait d�couvrir �a. " Je peux essayer, moi aussi ? " Je vous le dis tout net : le plaisir est valable dans les deux sens. Et le sourire et les g�missements de Pascal m'ont confirm� cette v�rit�. Nous avons poursuivi par le savonnage m�ticuleux et r�ciproque de nos deux corps, sans oublier le lavage et l'inspection de nos virilit�s exacerb�es par tant de plaisir. Mes mains parcouraient son corps dans les moindres d�tails. Je lui lavais son sexe, ses couilles avec minutie, mes doigts sont all�s v�rifier le bon savonnage de sa raie, puis de son anus. Le gel douche �tait le bien venu. J'ai ador� astiquer son sexe, ses bourses et surtout, en continuant mon lavage, pour descendre un peu plus bas et que, dans le m�me mouvement, j'introduisais mes doigts dans son cul. Mon sexe battait contre ses fesses, et lui il ronronnait de plaisir, s'appuyant de tout son poids le long de ma poitrine. " Continue Andr�. C'est d�licieux. Tu fais �a bien et j'aime la mani�re que tu as de faire toujours attention � la plus petite de mes perceptions. J'ai envie de ton sexe en moi. Je vais prendre ce qu'il faut ". Il est sorti de la cabine et est revenu aussit�t, toujours d�goulinant de savon dilu�. Nous avons repris, l� o� nous avions quitt�. � nouvelles mes mains redevenaient introspectives, pour notre plaisir mutuel. Il s'est un peu d�gag�, a pris mon sexe et l'a dirig� vers son cul. Mon gland frappait � son entr�e. Il m'a agripp� les fesses et est venu, lui-m�me s'empaler sur mon dard impatient. Il y a eu juste un cri. Il m'a maintenu serr� contre lui, sans bouger. Je sentais son anus battre et se faire � l'introduction de mon dard. En m�me temps il me masturbait par ses contractions. Un moment de pose, et il a commenc� de lents allers et retours. Je ne bougeais pas, et le laissais faire. Je crois que je n'avais jamais �t� aussi dur de toute ma vie. Je n'avais pas besoin de me tenir le sexe, il �tait op�rationnel, tout seul. J'en profitais pour me titiller les t�tons. Nos deux g�missements, � l'unisson, prouvaient qu'il n'�tait pas la peine de faire de commentaire superflu. Sentant que des contractions m'envahissaient, il s'est retir�, m'a fait face. Il a retir� la capote et m'a pomp� � fond. " Andr�, je ne veux rien perdre de toi et je veux te go�ter jusqu'au bout ". Je n'�tais plus sur terre. J'ai explos�. J'avais l'impression de me vider. Tous les muscles de mon ventre et de mes cuisses battaient. J'ai litt�ralement cri� lors de l'explosion dans sa bouche. J'�tais saisi de spasmes gigantesques et presque douloureux. Mais, bon sang : que c'�tait bon. Je tremblais, et je me suis affal� sur le carrelage : inerte et b�at. Il m'a caress� doucement, tendrement. " Tu vas bien ? Tu es un super et superbe amant ? Que c'�tait bon. Et je crois que cela l'a �t� pour toi aussi ? " Je ne pouvais que faire " oui " de la t�te (mais il ne le voit pas) " Oui Pascal. Tr�s bon et je n'ai jamais eu d'orgasme aussi fort. Il faut dire que ta pr�paration "maison " � l'eau chaude y a �t� pour une bonne part. Je ne peux pas te dire Je t'aime, mais il y a quelque chose de �a, quand m�me. Je crois que nous avons v�cu un grand moment de plaisir, tous les deux ". � sa demande, nous avons fini par nous laver, nous rincer, nous s�cher. De nouveau sur le canap�, nus, nous avons parl�. J'ai pris son sexe a peine tendu pour le caresser. " Non. Andr�. Je ne vais pas pouvoir pour le moment. De plus, j'ai envie de rester avec cette impression de pl�nitude l�. Moi aussi, j'ai envie de toi. Moi aussi, j'ai envie de t'investir, de te faire l'amour. Mais pas maintenant. Allons sur le lit. J'ai juste envie de poser ma t�te sur ton ventre et de juste tenir ton sexe dans mes mains ". Nous sommes rest�s �tendus, sans mot dire et le sommeil a eu raison de nos envies. Au r�veil, Pascal �tait encore endormi, nous �tions dans le lit comme pour un 69. Chacun de nous tenait le sexe de l'autre en main. Pascal avait une belle trique matinale. De mon c�t�, j'�tais plut�t sage et au repos. Je n'ai pu m'emp�cher de lui gober doucement le sexe tendu. Il s'est r�veill� sans surprise. " D�j� au travail. Tu embauches de bonne heure Andr� ? " J'ai juste r�pondu : " Oui, et de tr�s bonne humeur ". Debout. Caf�. WC. Premi�re cigarette et ? ET � la douche. L� ? Oui ! L� ? Pascal a fait tr�s fort pour mon plus grand �tonnement et mon grand plaisir. La suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |