Les astuces de la couturi�reLuc ? Comme les trois lettres de son nom l'indiquent, il suffisait de le retourner pour avoir un cul. Et quel cul ! Et quelle queue, aussi. Mais j'anticipe... Sans rien savoir encore de lui, j'�tais all� trouver Mme " Marie-Jo ", ma couturi�re, une jolie femme dans la cinquantaine qui braquait doucement sur vous son �trange regard ironique. Elle m'avait fait entrer dans un petit couloir borgne de sa villa de banlieue, en me disant d'attendre quelques minutes, car elle avait un t�l�phone � faire � l'�tage. Je n'avais pas eu le temps de me morfondre que, d�j�, j'avisais sur la paroi une photo quand m�me un peu surprenante dans la salle d'attente d'une dame comme elle: l'image couleur s�pia d'un gar�on nu, muscl� et huil� comme un bodybuilder dans toute la gr�ce de ses premiers exploits - � cela pr�s qu'aucun string ni jock strap ne cachait ce que d�j� je me prenais � aimer par dessus tout chez lui, avec son torse d'athl�te: une queue bien �paisse, avec une �rection aussi rayonnante que le sourire de son visage... Mais la dame revenait. Je suis donc all� dans la pi�ce d'� c�t�, faisant glisser mon pantalon sur le string l�ger que je portais ce jour-l�. Et je me suis approch� de la biblioth�que, histoire d'attendre la fin de la r�paration sans bronzer idiot. Peyrefitte, Gide, Saikaku, Edmund White, Genet, Dominique Fernandez, Guy Hockenghem... Dame ! Dans la chambre de qui avais-je atterri au juste ? Etait-ce celle de Luc, ce beau gar�on dont la photo me laissait un peu penser qu'il �tait homo ? Ou �tait-ce celle de sa m�re lisant des auteurs gays pour mieux comprendre les go�ts de son fils ? Je me le demandais encore quand j'ai senti sur mes fesses rest�es nues la caresse d'une main l�g�re et pourtant chaude. Mais c'est " Monsieur " qu'il m'aurait fallu dire. Ou simplement: " Luc ! " Il �tait l�, adorable, impudique et superbe gar�on, aussi nu que sur la photo, sa queue dans les premiers �mois d'une �rection que j'avais sans doute fait na�tre quand il s'�tait gliss� doucement dans la pi�ce pour me surprendre. Pas le temps de soupeser les chances que je sois l� le " sujet " d'un heureux hasard ou la victime " d'un �trange petit pi�ge. D�j� il me prenait par la taille, d'une main appelant de la musique douce sur la cha�ne Hi-Fi, de l'autre m'enlevant chemise et string pour que nos corps s'apprivoisent � l'unisson. Lentement, le sourire aux l�vres, nous avons alors commenc� une de ces danses sensuelles comme seuls deux homos fascin�s l'un par l'autre peuvent la danser, tant leurs corps ont de quoi s'accrocher dans le frottis des peaux ! Nos bites gonflaient, durcissaient, irradiaient de d�sir. J'oubliais o� j'�tais, ondulant mon corps contre le sien comme dans un r�ve, lui se baissant pour sucer ma queue, moi d�posant des baisers enflamm�s sur son cul. J'ai explos� dans sa bouche en criant comme une femelle en chaleur, jamais je n'avais eu autant de plaisir. Sa langue aspirait mon sperme, je reprenais mon souffle pendant qu'il continuait doucement � me l�cher les couilles. Il s'est relev� et a enfoui sa langue entre mes l�vres. Sa bouche avait l'odeur de mon sperme et �a m'excitait. Comme deux amoureux nous avons alors march� vers le lit que je n'avais gu�re remarqu� en entrant. La suite a �t� divine. Il m'a fait mettre sur le dos, relev� mes jambes et je me suis retrouv� �cartel�, cuisses largement ouvertes. Sa langue est venue s'�craser sur mon anus. Et le beau Luc m'a dit " je vais t'enculer, mon ch�ri " Je sentais son gland contre mon anus. Reins cambr�s, cuisses �cart�es, j'ai g�mi de plaisir et de bonheur quand sa bite s'est enfonc�e en moi. Son pubis coll� sur mes fesses, sa tige toute enfonc�e au plus profond de mes reins, il est rest� ainsi sans bouger. La sensation d'�tre d�fonc� par un pareil �talon me faisait pleurer de bonheur. Tout doucement il a commenc� les va et vient, et je me cambrais au rythme qu'il m'imposait. Sa tige �paisse sortait et rentrait toute enti�re, je sentais ses couilles battre contre les miennes. Sa barre br�lante me d�fon�ait l'anus. Cette fa�on de me faire baiser me rendait fou de plaisir... Il m'enculait de plus belle tout en me c�linant: " Sam, p�d� de mon coeur" D'un seul coup, son corps s'est crisp�, et dans un cri rauque il a joui en moi, son sperme br�lant a gicl� dans mes reins, et nos rires se sont unis, nos corps tendus et coll�s par le plaisir. Tout l'apr�s-midi, nous n'avons fait que nous aimer dans une troublante odeur de sperme, de sueur, de culs et de latex parfum�. Ma queue, bien s�r, dure comme une barre mais douce et chaude comme un fruit, est all�e rendre aux fesses de Luc l'hommage qu'elles m�ritaient. Tous les deux nous nous inventions de nouvelles �treintes, je n'avais jamais v�cu une transe pareille. Ma bite avait une faim de son cul comme jamais gar�on ne m'en avait inspir�. Entre chacune de nos saillies, nous nous l�chions � n'en plus finir, nos corps dessinaient sur le lit toutes sortes de ballets amoureux. Impossible de dire combien de fois il m'a empal�, combien de fois je l'ai encul�. Nous avions perdu la notion du temps, et c'est la torpeur heureuse de l'�puisement qui nous a calm�s. - Luc, j'ose te poser une question ? - Voil�, tenez, votre pantalon est pr�t, m'a dit Mme Marie-Jo par la porte entrouverte. Un peu plus tard, quand je sortais, elle m'a encore fait cadeau d'un sourire merveilleusement complice et ironique: " Au revoir, je suis s�re que vous aurez d'autres fermetures �clair � faire r�parer... " R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |