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Apr�s le lyc�e 3

Au matin du quatri�me jour, je poursuis ma formation � la r�ception de l'h�tel. Ma coll�gue, Corinne s'occupe bien de moi. Elle est sympa mais tr�s bavarde.
Djallil arrive vers 9h00 pour r�cup�rer le planning des r�parations � faire. Il me d�croche un sourire. Je rougis, un peu mal-�-l'aise mais excit�.

Ma queue se raidit dans mon string.
Il quitte la r�ception pour rejoindre son atelier et Corinne commence � me parler de lui. Elle m'explique qu'il rend de nombreux services dans l'h�tel. Elle me dit qu'il n'est jamais contre d�laisser la plomberie et l'�lectricit� pour s'occuper d'une cliente ou d'un client.

Elle me dit qu'elle-m�me a d�j� eu recours � ses services. Face � ma surprise �vidente, elle se marre.
-" C'est un baiseur. Il a une grosse queue, et il sait s'en servir. Il te fera peut-�tre l'honneur de te saillir un jour. " Je ne sais pas quoi r�pondre.
Elle poursuit :
-" Je suis s�r qu'il aime aussi les p'tits culs comme le tien. Et tu ne serais pas contre, n'est-ce pas ? " Je ne r�ponds rien, je la laisse parler.
-" Un jour, lors d'un contr�le de chambre, je suis mont�e sur un escabeau pour v�rifier la fixation des rideaux. Je portais des bas et un mini-string sous ma jupe. J'ai senti son regard sur mon cul. Puis ses mains sont remont�es le long de mes jambes. Accroch�e � l'escabeau, je l'ai laiss� faire. Il a fait glisser mon string. Ses doigts sont venus me caresser. Puis il a pass� sa langue sur mon sexe. J'�tais comme hypnotis�e.

J'�tais toute humide. Il est pass� dans mon dos et il m'a prise. C'est un super souvenir. " -" Alors, il baise les filles et les mecs ? " -" Oui, il aime le sexe, le reste il s'en fout. " Le reste de la matin�e f�t tranquille. Ponctu� par les d�parts des clients et quelques passages de Djallil.
Dans l'apr�s-midi, Corinne me demanda de descendre une feuille de maintenance � l'atelier.
Sur place, je retrouve Djallil, occup� � des travaux de peinture.
-" C'est bien que tu sois pass�, j'ai un truc pour toi. " Il me tend un sac en plastique. A l'int�rieur, je d�couvre un slip un peu sp�cial.
-" Qu'est-ce que c'est ? "
-" C'est un jock-strap. Essaye-le, tu vas tout de suite comprendre son int�r�t. " Alors, au milieu de l'atelier, j'ai �t� mon pantalon et mon string. J'ai enfil� le cadeau de Djallil.
-" Tu vois, ta petite queue est bien soutenue. Ton cul est bien rond et toujours disponible. Comme �a, d�s que j'en ai envie, tu as juste � baisser l�g�rement ton pantalon pour enfiler ma bite dans ton cul. "

Avec ce nouvel accessoire, je me sentais de plus en plus salope. N'y tenant plus, je m'avance vers lui, je descends la fermeture �clair de son bleu de travail jusqu'� l'�lastique de son cale�on. Je veux go�ter � sa queue raide mais il m'interrompt.
-" Allez, rhabille-toi. Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi pour l'instant. Maintenant, tu sais que je peux te baiser � tout moment si j'ai envie. " Un peu d��u mais tr�s excit�, j'ai quitt� l'atelier.

Le reste de l'apr�s-midi m'a sembl� interminable. Je suis impatient de rejoindre ma chambre pour me branler.
Ma journ�e termin�e, je monte dans ma chambre. En ouvrant la porte, j'entends l'eau couler dans la salle de bain. La porte est entrouverte. Sous la douche, Djallil se savonne. Je profite du spectacle.
-" Attends- moi dans la chambre, ne te change pas, j'arrive, j'ai une surprise pour toi. " Sans poser de question, je vais m'asseoir sur le lit. Il me rejoint, une serviette autour de la taille. Je veux lui arracher, je veux sa queue.
Il regarde sa montre.
-" Patience, ma surprise arrive. "
On frappe � la porte.
-" Va ouvrir. "
J'h�site mais j'ob�is. Derri�re la porte, trois blacks me sourient. Ils entrent sans rien dire. Je ne sais pas quoi penser. Ils ont entre 20 et 25 ans. L'un deux porte un jeans large qui lui descend sur les fesses laissant largement appara�tre son boxer. Un autre est en jogging blanc. Je peux deviner qu'il porte un slip � rayures. Le troisi�me, jeans noir et chemise rouge.
Au milieu de ces quatre mecs, je ne sais pas quoi faire.
-" Montre-leur que tu aimes la bite, viens me sucer. " Je suis � la fois honteux et excit�. Je rejoins Djallil sur le lit. Se saisissant de ma cravate, il me tire vers lui. Sa queue raide cogne mon menton. Il passe sa bite sur mon visage, m'emp�chant de la gober. Je dois me bagarrer pour enfin l'avaler.

Pendant que je m'applique � sucer Djallil, des mains parcourent mon corps. Je sens mon pantalon glisser, faisant appara�tre mon cul ouvert et disponible � leurs assauts. Bien vite, je n'ai plus que ma cravate et le jock-strap pour seul v�tement. A genoux sur le lit, le black en jogging me pr�sente sa queue. Djallil me guide vers la bite de son pote. D'une main sur ma t�te, il m'impose son rythme. Pendant que je suce le joggeur, une langue rappeuse fouille mon cul. Des mains m'�cartent les fesses, les malaxent. Le black en jeans noir et chemise rouge se rapproche. Djallil me pousse la t�te vers sa braguette. Je bouffe sa queue � travers le tissu. Il fait tomber sa chemise, ouvre un � un les boutons de son jeans faisant appara�tre un cale�on en soie noir. Il sort sa bite par l'ouverture du cale�on.

Pas besoin de consignes suppl�mentaires, je l'avale direct. Le joggeur me pr�sente � nouveau sa queue. J'alterne les bites dans ma bouche. Djallil se branle en profitant du spectacle. Les mains du quatri�me se posent sur ma taille me for�ant � me cambrer un peu plus. Je sens sa queue qui glisse le long de ma raie et qui trouve rapidement le chemin de ma rondelle. Il s'enfonce en moi en douceur. Je couine comme une chienne en chaleur. Un coup d'oeil dans le miroir me confirme que j'ai vraiment l'air d'une salope, agenouill� sur le lit, en jock et cravate, une queue dans la gueule et une dans le cul.

C'est une sensation �trange mais j'aime me voir ainsi. Je sens la queue du quatri�me abandonner mon cul. Dans le miroir, j'aper�ois Djallil de positionner et pr�senter sa bite � l'entr�e de mes fesses. Je le sens glisser doucement en moi. Il m'encule ainsi plusieurs minutes. Puis se retire et me force � me retourner. C'est maintenant au tour du joggeur de prendre possession de mes entrailles. Il joue avec mon cul, il alterne les passages rapides et les coups de buttoirs lents et profonds. Djallil de rapproche de lui et lui fait comprendre qu'il veut reprendre sa place dans mon cul. Mon baiseur se retire.

Djallil me couche sur le dos, se saisit de mes jambes et enfonce son pieu direct. Bais� ainsi, je peux voir sur son visage tout le plaisir que lui procure mon cul. Les bites de ses potes viennent me cogner les joues. Je suce. Je jette de nouveau un coup d'oeil dans le miroir. J'adore le spectacle que j'y vois. C'est comme un film porno dont je serai l'acteur principal.

Djallil se retire d'un coup.
" Encore. " Je veux qu'il me baise encore.
" Attends, j'ai une id�e. "
Il me fait descendre du lit, me positionne debout face au miroir, les mains de chaque c�t�, et s'enfonce en moi.

" Profites du spectacle. " Derri�re moi, les mecs se bousculent. Le joggeur reprend possession de mon cul, puis le quatri�me et vient enfin le tour du mec � la chemise rouge. Il a gard� son cale�on en soie. Le tissu me caresse les fesses pendant que sa bite me pilonne. Il m'encule quelques minutes face au miroir puis m'entraine de nouveau sur le lit sur lequel il s'allonge et me force � s'asseoir sur son pieu.

Il me soul�ve de ses bras puissants Je gueule mon plaisir. Djallil et ses deux autres potes se tiennent debout sur le lit et me pr�sente leur bite. Je les suce chacun leur tour. Bient�t, dans un jet puissant, je re�ois la semence �paisse du joggeur sur le visage. Le quatri�me gicle dans mes cheveux, sur mon front et sur mon nez. Djallil se met face � moi. Il acc�l�re les mouvements de sa main sur sa queue et se vide les couilles sur mes l�vres, sur mon menton et dans mon cou.

Dans le miroir, je vois la bite du mec au cale�on en soie dispara�tre dans mon cul. Je vois �galement mon visage de salope, rougi par le plaisir et recouvert du foutre de mes baiseurs.
Mon dernier amant me soul�ve de plus en vite. Sa queue appara�t puis disparait dans mon cul, quand dans un soupir, il jouit. D'un coup, ses bras se rel�chent et je viens m'empaler enti�rement sur sa bite. Ce dernier coup de buttoir contre ma prostate me fait jouir � mon tour.

Mon foutre s'�chappe des mailles �paisses de mon jock.
Mes baiseurs m'abandonnent sur le lit. Chacun leur tour, ils profitent de la douche puis quittent la chambre.
Je m'endors ainsi, la queue englu�e dans le jock et le visage recouvert de foutre.

Sorry

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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