Apr�s le lyc�e - 2Ce matin, pour mon troisi�me jour � l'h�tel, j'enfile mon uniforme sur le string qu'un myst�rieux inconnu m'a offert. Cette sensation d'�tre nu, sans l'�tre vraiment sous mon pantalon me plait beaucoup. Habill� ainsi, je donne l'impression d'�tre un gar�on sage � l'ext�rieur et une petite salope en dedans. Cette id�e m'excite. Je descends � la r�ception. Je retrouve Fabien. Son sourire me para�t suspect. Est-ce lui qui m'a fait ce cadeau ? Djallil, qui est charg� de l'entretien et de la maintenance vient s'enqu�rir des travaux qu'il doit r�aliser aujourd'hui. Lui aussi, je le trouve particuli�rement souriant. J'essaie de travailler mais j'ai des difficult�s � ma concentrer. D�s que je me l�ve, j'ai l'impression que tous les regards fixent mon cul. Le soir, je monte rapidement dans ma chambre. Mais avant de descendre manger, je m'octroie une petite branlette. Allong� sur mon lit, toujours habill� de ma chemise blanche d�boutonn�e et de ma cravate, le pantalon noir juste ouvert et baiss� sur mes cuisses, je d�gage ma tige band�e du string. Je me branle ainsi en uniforme. De ma main libre, j'�carte la ficelle de ma raie, mes doigts se perdent en direction de mon anus. J'ai envie de jouir vide. J'acc�l�re les mouvements sur ma queue. Je bande tellement que j'en ai presque mal. Et dans un r�le, des flots de sperme viennent s'�craser sur mon ventre. Calm�, je file sous la douche. Avant d'aller diner, je lave mon string dans le lavabo et le laisse � s�cher sur le porte-serviette. Il file direct dans la salle de bain. J'entends l'eau couler. Puis Djallil m'appelle. Je n'ose pas entrer dans la salle de bain m�me si je cr�ve d'envie de le voir nu. A travers la porte, je lui demande ce qu'il veut. Je c�de � l'invitation. Il se tient devant moi, enti�rement nu. Des gouttes d'eau ruissellent sur son corps. Je d�couvre sa peau d'�b�ne, ses muscles saillants. Il ne cache rien de son intimit�. Son sexe au repos ne fait pas mentir la r�putation des blacks. Ses poils noirs courts et cr�pus entourent une tige impressionnante au gland circoncis. Ses couilles forment un petit sac compact. Je ne peux d�tacher mon regard de son corps. L'invitation tant attendue. Je ne fais pas prier. Je le rejoins sur le lit. Je passe ma langue sur son gland. Je resserre mes l�vres sur sa tige. Et je pompe avec gourmandise. Les deux mains sur la t�te, Djallil, tr�s viril me regarde m'activer sur sa queue. Je suce comme si ma vie en d�pendait. Pour seule r�ponse, je m'applique encore un peu plus � le sucer. Jamais je n'avais encore suc� une queue si volumineuse. J'�carte les m�choires au maximum, mais je ne parviens pas � l'engouffrer toute enti�re. J'ob�is avec regret, je veux encore me d�lecter de sa bite. Il fait glisser mon jeans, faisant appara�tre mon cul. Il resserre ma ceinture sur mes cuisses. Elles sont coll�es l'une � l'autre. Je n'y tiens plus, je veux le sentir au plus profond de moi. Je ne peux m�me pas me branler, mon sexe est toujours prisonnier de mon jeans qu'il a juste descendu pour lib�rer mon cul. Doucement, il reprend sa progression. Sa queue prend possession de mes entrailles. J'avais le cul en feu, je le suppliais de jouir. Puis, les mouvements dans mon cul se sont fait plus rapides. Il s'est mis � grogner, et j'ai senti tout son poids s'�tendre sur moi. Il est rest� quelques instant ainsi, sur moi, puis, doucement s'est retir�, me laissant comme une impression de vide. Il s'est �tendu sur le lit pour reprendre son souffle. Moi, je ne pouvais plus bouger, je sentais que mes jambes ne me porteraient pas. Ma cuisse gauche �tait humide et poisseuse. J'avais joui ainsi, sans me toucher. Les coups r�p�t�s de sa queue contre ma prostate m'avaient fait gicler. Epuis�, je l'ai rejoint sur le lit. SorryLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |