Apr�s le lyc�e - 1Le Bac est pass�. La prochaine rentr�e se fera en fac. En attendant, mon p�re veut que je bosse. Il a us� de ses contacts et m'a trouv� un poste de r�ceptionniste dans un h�tel en Suisse. Je ne connais pas le travail mais je b�n�ficierai d'une formation sur place. Durant le trajet en train, je m'isole r�guli�rement dans les toilettes pour me branler. J'aime toujours autant �a. La nuit venu, le compartiment que j'occupe est pratiquement vide. Discr�tement, je sors deux revues de mon sac. Un magazine porno que je cache dans un magazine consacr� aux voitures. Les photos et la situation m'excitent. Je sors ma queue de mon jeans et je me branle doucement en regardant autour de moi pour ne pas me faire surprendre par le contr�leur. Je passe un doigt sur mon gland luisant, je r�cup�re la mouille qui s'en �chappe, je la porte � mes l�vres, c'est d�licieux. J'alterne des passages rapides tout le long de ma bite, et des mouvements plus lents. Je prends mon temps, je ne suis pas press� de jouir. Je savoure le moment. C'est bon de prendre son temps. Je suis tout transpirant. Mon jeans me colle � la peau. Tr�s excit�, je m'enhardi, et je fais glisser mon pantalon jusque sur mes genoux. Je continue � me branler en me caressant les couilles. Depuis quelques temps, je les rase. Elles sont lisses et douces. Mes doigts glissent vers mon anus. Il est tout humide de transpiration. Il palpite sous mes doigts. J'y enfonce le majeur. C'est bon, je me sens seul au monde, abandonn� au plaisir de ma branlette. Je ferme les yeux. En les ouvrants, je d�couvre devant moi, un grand gaillard, treillis militaire qui se tient devant moi. Il a sorti sa queue. Il me regarde en silence. Alors, sans qu'il ne m'ait rien demand�, j'engouffre sa queue. Je la t�te avec d�lice. Je prends enti�rement sa bite en bouche jusqu'� me coller le nez dans ses poils bruns. Je joue avec son gland. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa tige, puis je le reprends en bouche. Lui ne dit rien. Seule sa respiration qui s'acc�l�re me permet de deviner qu'il appr�cie mes efforts. Je poursuis ma pipe bien d�cid� � le faire gicler. Je me branle en m�me temps. Je ne vais pas tarder � gicler, la pression monte. J'aspire sa queue � fonds, je veux qu'il vienne lui aussi. Ma bouche se fait plus rapide sur sa bite, je n'en peux plus, je jouis. Mon foutre se r�pand sur mon tee-shirt. Je veux continuer � la sucer, aller jusqu'au bout de ma mission. Il se recule, prend sa queue en main et apr�s trois mouvements, gicle � son tour sur mon tee-shirt. Sans prendre le temps de se r�ajuster, il s'�loigne, la queue � l'air. Je me rhabille, et je m'endors. Au matin, c'est le contr�leur qui me r�veille � l'arriv�e du train en gare. Il me sourit. Reprenant mes esprits, je r�alise que mon tee-shirt porte les traces de mes activit�s nocturnes. Vite fait, j'enfile un pull, et je descends sur le quai. Au loin, j'aper�ois le soldat, il me sourit puis dispara�t dans la foule. Je sors de la gare, sur le parking, une voiture de l'h�tel m'attend. Au volant, un black. Il se pr�sente, Djallil. Le trajet jusqu'� l'h�tel se fait en silence. Sur place, le chef de r�ception m'attend, je le suis dans son bureau. Il me dit s'appeler Fabien. Il m'explique bri�vement quel sera ma t�che et comment va se d�rouler la formation. On sort de son bureau pour rejoindre la chambre que l'h�tel � mit � ma disposition. Je d�pose mes affaires et je suis Fabien jusqu'� la lingerie. Au milieu des machines et des �tag�res de linges, Simone, la ling�re nous attend pour l'essayage de mon uniforme. Vaincu, j'�te mon jeans. Me voil� enti�rement nu, les deux mains sur mon sexe, cherchant � cacher l'essentiel. Je reste seul avec Fabien que me regarde de bas en haut. Pour un premier jour de travail, �a commence bien. Heureusement, la ling�re revient rapidement, un slip blanc � la main. Mon calvaire touche � sa fin. Elle jette le slip dans ma direction. Je tends le bras pour l'attraper, mais il vient de poser sur une corde � linge. Je dois me bagarrer pour l'atteindre et le r�cup�rer. Fabien me raccompagne � ma chambre. Au moment de rejoindre ma chambre pour me changer et aller diner, ma coll�gue r�ceptionniste m'informe qu'il y a un paquet dans mon casier. Surpris, je prends le paquet et je monte dans ma chambre. Enfin seul, j'ouvre le paquet, et je d�couvre un string blanc. Peu importe, je l'essaie. C'est la premi�re fois que j'en porte. Face au miroir, j'admire le r�sultat. D�j� ma queue prend du volume. Le tissu se tend resserrant un plus la ficelle sur ma raie. Je suis super excit�. J'essaie de me calmer, j'enfile mon jeans et un tee-shirt pour descendre diner. � suivre. SorryLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |