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Apprenti m�canicien

Je vous ai racont� dans "Le fils du patron" que j'�tais m�canicien dans un garage plut�t sympa... En fait, j'ai fait mon apprentissage chez le voisin de mes parents. J'�tais pote avec son fils unique Julien. Nos maisons ne sont m�me pas s�par�es par une cl�ture tant et si bien qu'il �tait facile d'aller l'un chez l'autre sans pr�venir. Je connaissais les habitudes de sa famille. Sur leur terrain, ils avaient une maison accol�e � une grange qui servait de d�barras. C'est l� que j'avais planqu� mes revues porno gays achet�es pendant les vacances pour que les commer�ants de notre petite ville ne sachent pas quelles �taient mes pr�f�rences. Ainsi, si elles �taient d�couvertes, on penserait que c'�tait Julien qui �tait PD. Pas tr�s sympa, mais � 18 ans j'�tais un peu �go�ste.
Je venais donc les consulter durant leurs absences en m'installant dans un vieux fauteuil-relax pour me palucher tranquillement.

Un jour, alors que je m'astiquais, Thierry (le p�re de Julien) est entr� � mon insu dans la maison. Je ne l'ai su que lorsque je me suis retourn� sentant une pr�sence derri�re le fauteuil. Je me suis rapidement relev�, rouge de honte, le pantalon sur les chevilles et la queue entre les jambes (j'ai rapidement d�band�).
Thierry me toisait et m'a dit qu'il avait rep�r� mon petit man�ge depuis quelques temps. Il avait tout compris � ma combine ; j'�tais fichu.
Il m'a dit qu'il en informerait mon p�re et comme je protestais, il m'a propos� un arrangement : si je venais l'aider � bricoler ses motos pendant les prochaines vacances (une semaine plus tard), il se tairait. Il se d�brouillerait avec mon p�re vu qu'ils �taient copains et que je voulais me r�orienter dans la m�canique ; �a se d�fendrait.

Bizarrement, Julien devait passer toutes les vacances avec sa m�re dans leur maison de famille en Gironde pour r�viser le BAC qu'on passait tous les deux un mois et demi plus tard.
Le premier jour des vacances arriva. J'�tais un peu stress�. Non seulement j'avais �t� pris en flag, mais en plus je fantasmais sur Thierry depuis des mois : il faisait dans les 1m80, �tait assez mince, blond aux yeux bleus et ses chemises laissait deviner une l�g�re toison. On travaillait depuis deux heures d�j� dans la grange quand son beau fr�re Max nous rendit visite (brun, yeux noirs, sportifs, look italien). Thierry me demanda de continuer le boulot pendant qu'ils allaient voir un truc dans la caravane stock�e juste � c�t� de notre espace de travail.

Ils y �taient depuis 1/4 d'heure quand Max m'appela. Apr�s avoir franchi le seuil de la caravane, il m'a attrap� et jet� sur le lit du fond. Il m'a demand� si j'avais d�j� vu le loup. Pour ne pas passer pour un con, j'ai dit que oui. Il a rajout� : "T'as d�j� suc� un mec ? Tu t'es d�j� fait baiser ?" Sucer oui, baiser non. Fallait peut-�tre pas trop se la raconter non plus ! Je ne voyais pas o� il voulait en venir mais les caresses qu'il administra � Thierry me laissaient pr�sager de la suite des �v�nements. Il lui lan�a : "Toi qui voulait �tre actif, pour une fois, tu vas en avoir l'occasion !"
Il m'a demand� de me relever et me d�sapper en gardant mon slip. Je me suis ex�cut� pendant qu'il s'occupait de son beau-fr�re. Me voyant bander, il a souri puis m'a plaqu� contre un placard. Il s'est mis � me peloter et m'embrasser tandis que Thierry, � poil, se masturbait en pensant sans doute au ramonage qu'il allait m'administrer.
Je me suis ensuite assis � sa demande sur le bord du lit. L�, Thierry m'a pr�sent� sa queue (assez fine mais de belle longueur) et Max est mont� sur le lit pour qu'il le suce. Ils r�laient en concert.

Plus tard, Max m'a couch� sur le bloc de cuisson recouvert par un plateau escamotable. Il a retir� mon slip et s'est mis en 69 pour passer sous les placards suspendus pendant que je su�ais son beau pieu (aussi long que l'autre mais plus �pais). Thierry me lubrifiait avec sa langue tandis que Max �cartait mes fesses. Toutes ses sensations fantasm�es devenaient enfin une r�alit�. J'en pouvais plus ! Je me d�hanchais tellement j'�tais excit� !
Max lui dit au bout d'un moment que je devais �tre pr�t. Lui ne bougea pas mais je sentis une douleur quand ce corps �tranger p�n�tra en moi. Pourtant, il �tait doux. De toute fa�on je ne pouvais rien dire vu que j'avais la bouche pleine. La douleur s'estompa avec le temps et se transforma en plaisir. Je recommen�ais � me d�hancher depuis 10 minutes quand Max lui demanda d'arr�ter pour prendre sa place ! Il voulait profiter de ce petit cul quasi vierge car il avait l'impression que j'aimais la bite. Thierry a donc pris sa place apr�s avoir retir� sa capote pour que je le finisse en le su�ant. Heureusement que j'avais bien �t� pr�par� par Thierry car Max �tait moins pr�cautionneux.

S'il m'enfon�a sa teub petit-�-petit, il me lima avec moins de retenue. Toutefois, j'�tais aux anges. Alors qu'il jouait avec ma rondelle (il ressortait sa queue avant de la rentrer enti�rement), il me dit que j'�tais volontaire et que je me perfectionnerais rapidement � condition de m'entra�ner quotidiennement pendant les vacances vu que j'�tais une bonne petite salope... � ce moment, Thierry ne tint plus et sorta sa bite de ma bouche pour �jaculer de longs jets de spermes sur mon torse. Max d�cula et le suivit de peu. Il m'ont ensuite � peine touch� que je jouissais d�j� !

Une fois que j'ai eu pris une douche, ils m'ont dit que je tombais � pic pour �gayer leur duo secret ! Vous devinez la suite ?

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tybhot

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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